Jeu vidéo et employabilité : Le festival du jeu vidéo d'Afrique engage les réflexions
La 8e édition du Festival de l'électronique et du jeu vidéo d'Afrique (Feja) a officiellement débuté le 13 novembre, dans la capitale économique ivoirienne. Avant le début des compétitions qui opposeront les gamers du continent, du 15 au 17 novembre, à Yopougon, le festival donne toute sa place aux réflexions sur l'industrie du jeu vidéo en Afrique. Cela, à travers une série de panels et conférences qui ont débuté hier mercredi 13 novembre, à l'Institut français, au Plateau.
L'objectif de ces journées scientifiques est de jeter un regard sur les opportunités d'emploi qu'offre le secteur du jeu en Afrique.
Sidick Bakayoko, fondateur de Paradise game et promoteur du festival, a insisté sur la nécessité pour l'Afrique de prendre sa part dans l'immense marché que représente le jeu vidéo dans le monde. Il a, en effet, rappelé que c'est le secteur culturel et créatif le plus rentable au monde. ''Avec un chiffre d'affaires estimé à près de 200 milliards de dollars, le jeu vidéo génère plus d'argent que les industries du cinéma et de la musique réunies'', a-t-il fait savoir. Par ailleurs, a-t-il indiqué, le jeu vidéo est un secteur qui comporte plus de 40 métiers divers en lien avec la science, l'informatique, l'art et la créativité.
C'est une véritable niche dont l'exploitation peut apporter une réponse significative au problème de l'emploi des jeunes en Afrique. C'est, en tout cas, l'avis d'Emmanuel Forsans, président de l'Agence française pour le jeu vidéo.
Pour y parvenir, cet expert des questions vidéo-ludiques a dressé une liste de recommandations. Notamment un changement de la perception exclusivement ludique que les Africains ont du jeu vidéo, une meilleure implication de l'Etat dans la formation et la promotion des métiers en lien avec le jeu vidéo ainsi que le renforcement des infrastructures technologiques.
Laurent Bonneau, conseiller de coopération et d'action culturelle, représentant l'ambassadeur de France en Côte d'Ivoire, a félicité le concepteur du Feja. Une initiative qu'il considère comme une réponse au défi que doit relever l'Afrique sur le marché international du jeu vidéo.
Des gamers locaux et en provenance du continent s'affronteront sur des jeux tels que e-football, Ea sport 2025 et Tekken 8.
Sidick Bakayoko, fondateur de Paradise game et promoteur du festival, a insisté sur la nécessité pour l'Afrique de prendre sa part dans l'immense marché que représente le jeu vidéo dans le monde. Il a, en effet, rappelé que c'est le secteur culturel et créatif le plus rentable au monde. ''Avec un chiffre d'affaires estimé à près de 200 milliards de dollars, le jeu vidéo génère plus d'argent que les industries du cinéma et de la musique réunies'', a-t-il fait savoir. Par ailleurs, a-t-il indiqué, le jeu vidéo est un secteur qui comporte plus de 40 métiers divers en lien avec la science, l'informatique, l'art et la créativité.
C'est une véritable niche dont l'exploitation peut apporter une réponse significative au problème de l'emploi des jeunes en Afrique. C'est, en tout cas, l'avis d'Emmanuel Forsans, président de l'Agence française pour le jeu vidéo.
Pour y parvenir, cet expert des questions vidéo-ludiques a dressé une liste de recommandations. Notamment un changement de la perception exclusivement ludique que les Africains ont du jeu vidéo, une meilleure implication de l'Etat dans la formation et la promotion des métiers en lien avec le jeu vidéo ainsi que le renforcement des infrastructures technologiques.
Laurent Bonneau, conseiller de coopération et d'action culturelle, représentant l'ambassadeur de France en Côte d'Ivoire, a félicité le concepteur du Feja. Une initiative qu'il considère comme une réponse au défi que doit relever l'Afrique sur le marché international du jeu vidéo.
Des gamers locaux et en provenance du continent s'affronteront sur des jeux tels que e-football, Ea sport 2025 et Tekken 8.