Afrobasket Rwanda 2021 : Costello, l’Éléphant blanc qui fait des merveilles
Si la Côte d’Ivoire a réussi son entrée dans l’Afrobasket, au Rwanda, c’est, en grande partie, grâce à Matthew Costello. Pourtant, cet ailier fort et pivot redoutable, déniché en Liga d’Espagne (Saski Baskonia), est peu connu du public ivoirien. Matt, comme on l’appelle affectueusement, est né en 1993, aux Etats-unis d’Amérique, dans le Michigan.
Rien ne prédisposait ce joueur, qui a côtoyé la célèbre Ligue Nord-américaine (Nba), à jouer pour la Côte d’Ivoire. Mais, Matt Costello est tombé amoureux du pays des Éléphants, juste après un premier contact avec le staff de la sélection nationale ivoirienne, dont le sélectionneur est Espagnol, Ignacio Lezkano dit Natxo.
« C’est comme cela au basket-ball. Vous avez la possibilité d’étoffer votre effectif avec le joueur que vous voulez et nous sommes tombés sous le charme de Matthew. Je crois que nous avons eu le nez creux », confie Carlo Viera, le « fou » de basket-ball qui fait office de scout pour la Fédération ivoirienne de basket-ball. En tout cas, pour l’heure, le pivot de 2,08 m, passé par les San Antonio Spurs, est indispensable pour le groupe.
Doté d’une belle adresse extérieure et un joli atout offensif, Costello a compilé 20 points, 8 rebonds, 3 passes décisives et 4 contres. Sur les papiers de Fiba Afrique, l’Éléphant blanc venait en deuxième position, derrière l’imposant Capverdien Tavares, auteur de 6 contres. Costello a joué un rôle déterminant dans le succès 88-70 contre le Kenya.
Le vendredi 27 août encore, l’Ivoirien d’origine américaine a mis l’Arena de Kigali à ses pieds. Matthew Costello a fait voir de toutes les couleurs aux Maliens (25 points). Une équipe des Aigles que l’on classe parmi les meilleures en Afrique et une des favorites au départ de cet Afrobasket 2021.
« Matt, c’est un joueur qui a une compréhension de jeu très élevée. Ce n’est pas nous qui l’avons intégré, c’est lui qui a su s’adapter et trouver la bonne place. Et on le voit, il fait un très bon job. C’est quelqu’un de super cool qui écoute. Son intégration a été très facile », estime le coach Naxto, fier de son poulain.
Le joueur, lui, se sent à l’aise sous les couleurs ivoiriennes. Dans un français approximatif, il n’hésite pas à vous dire : « J’aime la Côte d’Ivoire ». Matthew veut réaliser quelque chose de grand avec l’équipe de basket-ball de Côte d’Ivoire.
De notre envoyé spécial à Kigali (Rwanda)
« C’est comme cela au basket-ball. Vous avez la possibilité d’étoffer votre effectif avec le joueur que vous voulez et nous sommes tombés sous le charme de Matthew. Je crois que nous avons eu le nez creux », confie Carlo Viera, le « fou » de basket-ball qui fait office de scout pour la Fédération ivoirienne de basket-ball. En tout cas, pour l’heure, le pivot de 2,08 m, passé par les San Antonio Spurs, est indispensable pour le groupe.
Doté d’une belle adresse extérieure et un joli atout offensif, Costello a compilé 20 points, 8 rebonds, 3 passes décisives et 4 contres. Sur les papiers de Fiba Afrique, l’Éléphant blanc venait en deuxième position, derrière l’imposant Capverdien Tavares, auteur de 6 contres. Costello a joué un rôle déterminant dans le succès 88-70 contre le Kenya.
Le vendredi 27 août encore, l’Ivoirien d’origine américaine a mis l’Arena de Kigali à ses pieds. Matthew Costello a fait voir de toutes les couleurs aux Maliens (25 points). Une équipe des Aigles que l’on classe parmi les meilleures en Afrique et une des favorites au départ de cet Afrobasket 2021.
« Matt, c’est un joueur qui a une compréhension de jeu très élevée. Ce n’est pas nous qui l’avons intégré, c’est lui qui a su s’adapter et trouver la bonne place. Et on le voit, il fait un très bon job. C’est quelqu’un de super cool qui écoute. Son intégration a été très facile », estime le coach Naxto, fier de son poulain.
Le joueur, lui, se sent à l’aise sous les couleurs ivoiriennes. Dans un français approximatif, il n’hésite pas à vous dire : « J’aime la Côte d’Ivoire ». Matthew veut réaliser quelque chose de grand avec l’équipe de basket-ball de Côte d’Ivoire.
De notre envoyé spécial à Kigali (Rwanda)