L'éditorial d'Amedée Assi : Ici, on travaille !
Les lecteurs distraits ne l’ont sans doute pas remarqué : l’édito de ce jour n’est pas signé de Venance Konan. Il ne marque pas une rupture avec celui qui, pendant une dizaine d’années, en fut son principal animateur, autrement dit, le garant de la ligne éditoriale de votre quotidien progouvernemental Fraternité Matin. Loin s’en faut.
Bien au contraire, il s’inscrit dans la continuité de celui dont la qualité de la plume n’a d’égale valeur que son talent, son savoir-faire et son génie. Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, qu’on l’adore ou qu’on le déteste, parce que ses éditos sont du nectar pour les uns, de la nivaquine pour les autres, selon le camp dans lequel on se situe, toujours est-il que la plume de Venance Konan (VK pour les intimes) ne laissait personne indifférent. Ni insensible.
S’il est vrai qu’il ne signera plus les éditos, les lecteurs trouveront toujours ses écrits humoristiques, parfois sarcastiques, mais toujours pleins de sagesse et d’enseignement dans Fraternité Matin. Car VK est parti sans être parti. Puisqu’il sera toujours présent dans les colonnes du quotidien pro-gouvernemental qu’il a servi avec dévouement, passion et fidélité. VK aura sa chronique à lui. Non pas « la chronique des temps qui tanguent » de son illustre aîné le professeur Bernard Zadi Zaourou. Mais « la chronique de Venance Konan ». Trois fois par semaine (mardi, jeudi et samedi) il nous fera le récit de l’actualité politique dont les fameux télénovelas.
J’ai donc désormais la lourde responsabilité de poursuivre son œuvre, de marcher dans ses pas au niveau de l’Éditorial. De me mettre dans les pas de celui qui, pour moi, comme pour beaucoup de lecteurs, est un éditorialiste hors pair, à l’image de Laurent Dona Fologo, Auguste Sévérin Miremont, Kébé Yacouba, Michel Kouamé...
La tâche ne sera pas aisée, je le confesse. Car, je ne suis que moi. Et Venance Konan est et restera toujours Venance Konan. Avec son style inimitable, son écriture simple mais percutante, enveloppée dans un brin d’humour et de malice, sans jamais tomber dans la vulgarité ou la légèreté.
Mais plus que quiconque, Venance Konan lui-même sait aussi que dans ce passionnant métier, quelle que soit la qualité de la plume, peu importe le talent ou même qu’on ait beau maîtriser l’art de l’écriture journalistique, il arrivera un jour, un temps, un moment où il vous faudra passer le relais. Et ce jour là est arrivé. VK passe donc le témoin à votre humble serviteur Amédée Assi.
D’un hommage, passons à deux autres qui ont été rendus ces jours-ci à la Côte d’Ivoire et qui méritent qu’on s’y arrête. D’une part, celui du 24 août dernier, à l’occasion du premier rendez-vous des patrons francophones organisé par le Medef à Paris. Imaginez plus d’un demi-millier de chefs d’entreprises se lever et acclamer pendant de longues minutes le Premier ministre ivoirien à la fin du discours qu’il a prononcé. Un standing ovation en l’honneur de la Côte d’Ivoire et du Président de la République Alassane Ouattara dont Patrick Achi a exposé le programme de gouvernement, la vision à travers le projet « Une Côte d’Ivoire solidaire ».
Si au cours de sa brillante intervention il a souligné l’importance du continent africain, « vivier extraordinaire de croissance » dans le monde de demain, et a invité les dirigeants d’entreprises francophones à changer de regard sur l’Afrique, le Premier ministre a profité de cette tribune pour mettre en avant l’ambition économique de la Côte d’Ivoire de devenir l’un des « éléphants » de l’Afrique.
D’autre part, l’organisation réussie par notre pays du 27e congrès de l’Union postale universelle (Upu) qui a réuni près deux cents pays-membres à Abidjan. Et la désignation, sur proposition des autorités ivoiriennes, de M. Isaac Gnamba-Yao comme nouveau président du Conseil d’administration de cette organisation internationale est bien la preuve de la confiance que le monde entier place en notre pays.
On le voit, si depuis ces dix dernières années, la Côte d’Ivoire a retrouvé toute sa place dans toutes les plus hautes instances internationales telles que le Conseil de sécurité de l’Onu, elle le doit au leadership du Président Alassane Ouattara. Et Patrick Achi a eu raison de le réaffirmer haut et fort devant les patrons francophones : « en doublant en 10 ans son Pib par habitant au sortir de deux décennies de crise, au moyen d’une croissance de 8%/an jusqu’en 2019, les Ivoiriens ont accompli sous la gouvernance d’Alassane Ouattara une œuvre collective que bien peu imaginaient. »
Car, à la vérité, ici, on est au travail. Ici, on travaille ! .
S’il est vrai qu’il ne signera plus les éditos, les lecteurs trouveront toujours ses écrits humoristiques, parfois sarcastiques, mais toujours pleins de sagesse et d’enseignement dans Fraternité Matin. Car VK est parti sans être parti. Puisqu’il sera toujours présent dans les colonnes du quotidien pro-gouvernemental qu’il a servi avec dévouement, passion et fidélité. VK aura sa chronique à lui. Non pas « la chronique des temps qui tanguent » de son illustre aîné le professeur Bernard Zadi Zaourou. Mais « la chronique de Venance Konan ». Trois fois par semaine (mardi, jeudi et samedi) il nous fera le récit de l’actualité politique dont les fameux télénovelas.
J’ai donc désormais la lourde responsabilité de poursuivre son œuvre, de marcher dans ses pas au niveau de l’Éditorial. De me mettre dans les pas de celui qui, pour moi, comme pour beaucoup de lecteurs, est un éditorialiste hors pair, à l’image de Laurent Dona Fologo, Auguste Sévérin Miremont, Kébé Yacouba, Michel Kouamé...
La tâche ne sera pas aisée, je le confesse. Car, je ne suis que moi. Et Venance Konan est et restera toujours Venance Konan. Avec son style inimitable, son écriture simple mais percutante, enveloppée dans un brin d’humour et de malice, sans jamais tomber dans la vulgarité ou la légèreté.
Mais plus que quiconque, Venance Konan lui-même sait aussi que dans ce passionnant métier, quelle que soit la qualité de la plume, peu importe le talent ou même qu’on ait beau maîtriser l’art de l’écriture journalistique, il arrivera un jour, un temps, un moment où il vous faudra passer le relais. Et ce jour là est arrivé. VK passe donc le témoin à votre humble serviteur Amédée Assi.
D’un hommage, passons à deux autres qui ont été rendus ces jours-ci à la Côte d’Ivoire et qui méritent qu’on s’y arrête. D’une part, celui du 24 août dernier, à l’occasion du premier rendez-vous des patrons francophones organisé par le Medef à Paris. Imaginez plus d’un demi-millier de chefs d’entreprises se lever et acclamer pendant de longues minutes le Premier ministre ivoirien à la fin du discours qu’il a prononcé. Un standing ovation en l’honneur de la Côte d’Ivoire et du Président de la République Alassane Ouattara dont Patrick Achi a exposé le programme de gouvernement, la vision à travers le projet « Une Côte d’Ivoire solidaire ».
Si au cours de sa brillante intervention il a souligné l’importance du continent africain, « vivier extraordinaire de croissance » dans le monde de demain, et a invité les dirigeants d’entreprises francophones à changer de regard sur l’Afrique, le Premier ministre a profité de cette tribune pour mettre en avant l’ambition économique de la Côte d’Ivoire de devenir l’un des « éléphants » de l’Afrique.
D’autre part, l’organisation réussie par notre pays du 27e congrès de l’Union postale universelle (Upu) qui a réuni près deux cents pays-membres à Abidjan. Et la désignation, sur proposition des autorités ivoiriennes, de M. Isaac Gnamba-Yao comme nouveau président du Conseil d’administration de cette organisation internationale est bien la preuve de la confiance que le monde entier place en notre pays.
On le voit, si depuis ces dix dernières années, la Côte d’Ivoire a retrouvé toute sa place dans toutes les plus hautes instances internationales telles que le Conseil de sécurité de l’Onu, elle le doit au leadership du Président Alassane Ouattara. Et Patrick Achi a eu raison de le réaffirmer haut et fort devant les patrons francophones : « en doublant en 10 ans son Pib par habitant au sortir de deux décennies de crise, au moyen d’une croissance de 8%/an jusqu’en 2019, les Ivoiriens ont accompli sous la gouvernance d’Alassane Ouattara une œuvre collective que bien peu imaginaient. »
Car, à la vérité, ici, on est au travail. Ici, on travaille ! .