Afrobasket 2021 : Les Éléphants en quarts de finale avec panache
La Côte d’Ivoire affrontera, au prochain tour, le vainqueur de la rencontre entre le Rwanda (pays organisateur) et la Guinée Conakry qui se dispute ce soir, à la Kigali Arena.
La Côte d’Ivoire ne passera pas par les barrages pour accéder aux quarts de finale de l’Afrobasket qui se déroule depuis le 24 août, au Rwanda. Les vaillants Éléphants ivoiriens, conduits par un excellent Nisré Zouzoua (17 points, 5 rebonds, 4 passes décisives) ont pris le meilleur sur les D-Tigers du Nigeria (77-68), le dimanche 29 août, à Kigali Arena.
Un match plein où les Nigérians, par moments, ont forcé leur talent pour revenir à la hauteur des Ivoiriens. En vain. En effet, l’enjeu de cette troisième journée de la phase de poules était la première place du groupe C. L’équipe classée première se qualifiait directement pour les quarts de finale, tandis que son second doit gagner un match supplémentaire pour se qualifier.
C’est cette corvée que le capitaine Stéphane Konaté et ses équipiers ont évitée en triomphant du Nigeria. Cela va un peu gâcher l’ambiance à Nyamata Hôtel La Palisse où toutes les équipes du groupe sont logées, mais c’est cela la loi du sport. Il y a toujours un vainqueur et un vaincu. En tout cas, ce match contre les D-Tigers n’était pas gagné d’avance. La petite communauté ivoirienne de Kigali qui n’a pas été en reste l’a vécu intensément.
Les Nigérians avaient décidé de neutraliser l’arme fatale des Ivoiriens, Matthew Costello, le véloce ailier pivot des Éléphants. Mais c‘était mal connaître Nisré Zouzoua, le petit ailier meneur qui a explosé les D-Tigers. Mais Matthew a déjoué la vigilance de ses surveillants pour planter 12 points à l’adversaire, sans oublier ses 6 rebonds et 4 passes décisives. Quand tout semblait bloqué, le vieux briscard, Stéphane Konaté (41 ans) s’invitait dans le débat pour tirer le groupe vers le haut (8 points).
Vafessa Fofana, Bryan Pamba, que dire du jeune Bah Cédric, le fils du père. Il a été dans tous les bons coups ce dimanche soir. « Ce qui a fait la différence, c’est que nous sommes restés ensemble. Nous savons que nous n’avons pas d’individualité forte, du coup on a décidé de bien défendre et puis tout le monde dans ce groupe peut marquer des points. C’est cela notre force, sachant que nous avons un handicap au niveau de la taille, d’ailleurs c’est la particularité de la Côte d’Ivoire. Cela nous donne beaucoup plus de mobilité sur le terrain et ça fatigue les adversaires. On ne demande pas mieux », explique Edi Guy Landry, vice-capitaine de l’équipe ivoirienne qui revoit chaque jour ses ambitions à la hausse.
Après le Kenya, balayé (88-70) lors de la première journée et le Mali promené (90-67), la bande à Naxto attend de connaître son adversaire pour les quarts de finale. Ce sera le vainqueur du match Guinée-Rwanda qui se dispute tout à l'heure dans la même salle de Kigali.
De notre envoyé spécial à Kigali
C’est cette corvée que le capitaine Stéphane Konaté et ses équipiers ont évitée en triomphant du Nigeria. Cela va un peu gâcher l’ambiance à Nyamata Hôtel La Palisse où toutes les équipes du groupe sont logées, mais c’est cela la loi du sport. Il y a toujours un vainqueur et un vaincu. En tout cas, ce match contre les D-Tigers n’était pas gagné d’avance. La petite communauté ivoirienne de Kigali qui n’a pas été en reste l’a vécu intensément.
Les Nigérians avaient décidé de neutraliser l’arme fatale des Ivoiriens, Matthew Costello, le véloce ailier pivot des Éléphants. Mais c‘était mal connaître Nisré Zouzoua, le petit ailier meneur qui a explosé les D-Tigers. Mais Matthew a déjoué la vigilance de ses surveillants pour planter 12 points à l’adversaire, sans oublier ses 6 rebonds et 4 passes décisives. Quand tout semblait bloqué, le vieux briscard, Stéphane Konaté (41 ans) s’invitait dans le débat pour tirer le groupe vers le haut (8 points).
Vafessa Fofana, Bryan Pamba, que dire du jeune Bah Cédric, le fils du père. Il a été dans tous les bons coups ce dimanche soir. « Ce qui a fait la différence, c’est que nous sommes restés ensemble. Nous savons que nous n’avons pas d’individualité forte, du coup on a décidé de bien défendre et puis tout le monde dans ce groupe peut marquer des points. C’est cela notre force, sachant que nous avons un handicap au niveau de la taille, d’ailleurs c’est la particularité de la Côte d’Ivoire. Cela nous donne beaucoup plus de mobilité sur le terrain et ça fatigue les adversaires. On ne demande pas mieux », explique Edi Guy Landry, vice-capitaine de l’équipe ivoirienne qui revoit chaque jour ses ambitions à la hausse.
Après le Kenya, balayé (88-70) lors de la première journée et le Mali promené (90-67), la bande à Naxto attend de connaître son adversaire pour les quarts de finale. Ce sera le vainqueur du match Guinée-Rwanda qui se dispute tout à l'heure dans la même salle de Kigali.
De notre envoyé spécial à Kigali