Réconciliation nationale : Un atelier pour renforcer la cohésion sociale à Toumodi
Renforcer la cohésion sociale en Côte d’Ivoire, tel est l’un des objectifs majeurs du Programme national de cohésion sociale (Pncs) initié par le ministre en charge de la Réconciliation nationale, Kouadio Konan Bertin.
Son conseiller technique, Pr Amoa Urbain, l’a représenté le mercredi 1er septembre, à Toumodi, dans le cadre d’un atelier de sensibilisation à la culture de la paix, du vivre ensemble. L’objectif étant la mise en place d’activités génératrices de revenus (Agr) à caractère communautaire.
« Pour nous, l’honneur est d’autant plus grand qu’il participe de l’engagement que le Chef de l’État, Alassane Ouattara, qui, soucieux d’endiguer les perturbations sociales ici et là, a pris d’inaugurer une nouvelle forme de répartition des préjudices par le fait d’une fracture sociale, elle-même soutenue par une coexistence », a soutenu Amoa Urbain, au nom du ministre Kouadio Konan Bertin.
Pour lui, « puisque telle est la mission du Président de la République, vous comprenez notre empressement et notre détermination à œuvrer pour transformer de façon qualitative les conflits en projet de développement, c’est-à-dire ce qui aurait été perçu comme défaut en qualité », a-t-il ajouté. Aussi a-t-il invité les Ivoiriens à la solidarité, en se donnant la main, « pour un nouveau contrat social encore plus fraternel et plus humanisé ».
Pour sa part, Amoin Kouassi Arsène, le directeur général du Programme national de cohésion sociale, est revenu sur l’historique de ce nouvel outil de cohésion sociale. « Le Pncs a été créé depuis 2012 dans l’objectif de ressouder le tissu social, cultiver le vivre ensemble et trouver des solutions pour une paix durable », a-t-il indiqué. Il a ensuite affirmé sa foi en ce projet qui, selon lui, a pour « objectifs de consolider la paix à travers cette formation, mais aussi et surtout par le financement des activités génératrices de revenus (Agr) communautaires pour renforcer la résilience économique des populations. Je voudrais vous assurer du soutien du Pncs pour toutes les actions en faveur du vivre ensemble et du renforcement de la cohésion nationale ».
A l’instar de Bangolo, la première localité qui a accueilli le tout premier atelier, celui de Toumodi, a réuni autour de la même table, les autorités locales, les représentants de la chefferie traditionnelle et des chefs de communauté, des responsables d’association de femmes, etc.
A la suite des villes de Bangolo et Toumodi, d’autres localités « où la cohésion sociale a été mise à mal par les évènements de la crise post-électorale de 2020 » bénéficieront de cette formation. Notamment Tehiri, Daoukro, M’Batto, Bonoua.
(Source: Ministère de la Réconciliation nationale et de la Cohésion sociale)
« Pour nous, l’honneur est d’autant plus grand qu’il participe de l’engagement que le Chef de l’État, Alassane Ouattara, qui, soucieux d’endiguer les perturbations sociales ici et là, a pris d’inaugurer une nouvelle forme de répartition des préjudices par le fait d’une fracture sociale, elle-même soutenue par une coexistence », a soutenu Amoa Urbain, au nom du ministre Kouadio Konan Bertin.
Pour lui, « puisque telle est la mission du Président de la République, vous comprenez notre empressement et notre détermination à œuvrer pour transformer de façon qualitative les conflits en projet de développement, c’est-à-dire ce qui aurait été perçu comme défaut en qualité », a-t-il ajouté. Aussi a-t-il invité les Ivoiriens à la solidarité, en se donnant la main, « pour un nouveau contrat social encore plus fraternel et plus humanisé ».
Pour sa part, Amoin Kouassi Arsène, le directeur général du Programme national de cohésion sociale, est revenu sur l’historique de ce nouvel outil de cohésion sociale. « Le Pncs a été créé depuis 2012 dans l’objectif de ressouder le tissu social, cultiver le vivre ensemble et trouver des solutions pour une paix durable », a-t-il indiqué. Il a ensuite affirmé sa foi en ce projet qui, selon lui, a pour « objectifs de consolider la paix à travers cette formation, mais aussi et surtout par le financement des activités génératrices de revenus (Agr) communautaires pour renforcer la résilience économique des populations. Je voudrais vous assurer du soutien du Pncs pour toutes les actions en faveur du vivre ensemble et du renforcement de la cohésion nationale ».
A l’instar de Bangolo, la première localité qui a accueilli le tout premier atelier, celui de Toumodi, a réuni autour de la même table, les autorités locales, les représentants de la chefferie traditionnelle et des chefs de communauté, des responsables d’association de femmes, etc.
A la suite des villes de Bangolo et Toumodi, d’autres localités « où la cohésion sociale a été mise à mal par les évènements de la crise post-électorale de 2020 » bénéficieront de cette formation. Notamment Tehiri, Daoukro, M’Batto, Bonoua.
(Source: Ministère de la Réconciliation nationale et de la Cohésion sociale)