Formation au secourisme: Des dizaines d’étudiants de l’Université de Cocody reçoivent leur brevet national
Ces étudiants sont dorénavant prêts à secourir après une formation de deux mois, conduite par des moniteurs de l’Office national de la protection civile.
Dans le cadre de l’implémentation de ses missions, l’Office national de la protection civile (Onpc) a initié une série de formations au profit des populations au secourisme.
La première session à l’intention des étudiants de la Faculté des sciences médicales de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody (Abidjan) a pris fin le samedi 4 septembre 2021, par la remise du Brevet national de secourisme (Bns) à 85 récipiendaires. La cérémonie a eu pour cadre l’amphithéâtre 4 de la Faculté de médecine près du Chu de Cocody.
La sous-directrice de la communication de l’Onpc, Aline Gogo, représentant le directeur général de l’office, Amankou Kassi Gabin, s’est félicitée de cette initiative qui est le fruit d’un partenariat entre son institution et le Syndicat national des étudiants des sciences de la santé (Syness). Elle a assuré les étudiants de la disposition à poursuivre cette collaboration dans la mesure où elle s’inscrit dans la mission de sensibilisation des populations de premiers secours. Bien plus, du fait que le secourisme est en lien étroit avec les sciences médicales.
« Votre volonté de faire cette formation dénote à n’en point douter votre sens de la responsabilité et un aperçu de votre dévouement futur dans l’exercice de votre profession de médecin. Ces gestes d’urgence que vous avez appris vous permettront de sauver des vies », a fait remarquer la représentante du patron de l’Onpc.
Elle a notamment salué l’engagement des récipiendaires qui malgré les examens de fin d’année, au titre de leur formation à l’Université, ont donné de leur temps pour maîtriser les gestes qui leur ont été inculqués. « Les spécialistes de secours révèlent que les premiers instants d’un accident sont les plus importants pour les victimes », affirme Aline Gogo. Et pour répondre à cette situation, seules les notions de secourisme permettent d’intervenir avant l’arrivée des secours.
C’est pourquoi, souhaite-t-elle, que le secourisme s’exerce dans la vie quotidienne, qu’il intéresse tout le monde et son apprentissage demeure un réflexe pour tout citoyen.
Le secrétaire général national du Syndicat national des étudiants en sciences de la santé, Tanoh Stephen, a, quant à lui, invité les admis au brevet à faire la promotion de cette formation dans leur entourage. Ainsi dans l’optique de toucher le maximum de personnes, il en a profité pour lancer la deuxième session de formation.
Les participants à cet évènement ont eu droit à une série de démonstrations, des simulations de prise en charge en cas d’incident ou d’accident. Il s’agit notamment des gestes appris au cours des deux mois de formation qui se résument en la réanimation cardio-pulmonaire en cas d’arrêt cardiaque, le bilan circonstanciel d’une victime, l’évaluation de la conscience et de l’état de respiration, etc.
La sous-directrice de la communication de l’Onpc, Aline Gogo, représentant le directeur général de l’office, Amankou Kassi Gabin, s’est félicitée de cette initiative qui est le fruit d’un partenariat entre son institution et le Syndicat national des étudiants des sciences de la santé (Syness). Elle a assuré les étudiants de la disposition à poursuivre cette collaboration dans la mesure où elle s’inscrit dans la mission de sensibilisation des populations de premiers secours. Bien plus, du fait que le secourisme est en lien étroit avec les sciences médicales.
« Votre volonté de faire cette formation dénote à n’en point douter votre sens de la responsabilité et un aperçu de votre dévouement futur dans l’exercice de votre profession de médecin. Ces gestes d’urgence que vous avez appris vous permettront de sauver des vies », a fait remarquer la représentante du patron de l’Onpc.
Elle a notamment salué l’engagement des récipiendaires qui malgré les examens de fin d’année, au titre de leur formation à l’Université, ont donné de leur temps pour maîtriser les gestes qui leur ont été inculqués. « Les spécialistes de secours révèlent que les premiers instants d’un accident sont les plus importants pour les victimes », affirme Aline Gogo. Et pour répondre à cette situation, seules les notions de secourisme permettent d’intervenir avant l’arrivée des secours.
C’est pourquoi, souhaite-t-elle, que le secourisme s’exerce dans la vie quotidienne, qu’il intéresse tout le monde et son apprentissage demeure un réflexe pour tout citoyen.
Le secrétaire général national du Syndicat national des étudiants en sciences de la santé, Tanoh Stephen, a, quant à lui, invité les admis au brevet à faire la promotion de cette formation dans leur entourage. Ainsi dans l’optique de toucher le maximum de personnes, il en a profité pour lancer la deuxième session de formation.
Les participants à cet évènement ont eu droit à une série de démonstrations, des simulations de prise en charge en cas d’incident ou d’accident. Il s’agit notamment des gestes appris au cours des deux mois de formation qui se résument en la réanimation cardio-pulmonaire en cas d’arrêt cardiaque, le bilan circonstanciel d’une victime, l’évaluation de la conscience et de l’état de respiration, etc.