Lutte contre la corruption : Les Institutions des droits de l'homme francophones renforcent leurs capacités pour un meilleur respect des droits de l’homme
« La lutte contre la corruption pour un meilleur respect des droits de l’homme ». Telle est la thématique de l’atelier de renforcement des capacités des Institutions nationales des droits de l’homme (Indh) qui se tient, du mardi 7 au mercredi 8 septembre 2021, au Conseil national des droits de l’homme (Cndh).
À cet atelier qui réunit plusieurs acteurs francophones des droits de l'homme (Bénin, Cameroun, Comores, Djibouti, Congo, Rwanda, Côte d’Ivoire), il est question d’échange, de partage... Ce, afin de mieux appréhender les impacts de la corruption sur la réalisation des droits de l’homme ; de partager des bonnes pratiques relatives aux techniques de sensibilisation de lutte contre la corruption ; de proposer des solutions pour protéger efficacement les droits des citoyens à travers la prévention et la lutte contre la corruption...
Selon la présidente du Cndh, Namizata Sangaré, lutter contre la corruption, c’est garantir les meilleures conditions de vie pour les populations en mettant en place des institutions efficaces, responsables et transparentes à tous les niveaux. Et pour y arriver, il est primordial d’établir un dialogue multi-acteurs permanent ce qui permettra d’outiller les acteurs afin de relever les défis liés à la lutte contre ce fléau qui minent les sociétés.
Intervenant à cette cérémonie d’ouverture dudit atelier, Delphine Couveinhes Matsumoto et Michel Forst, respectivement les représentantes de l’Oif et de l’Afcndh, abondant dans le même sens, ont ensemble indiqué que la corruption touche tous les pays à différents niveaux d’où les enjeux de cette activité.
Prenant la parole, Epiphane Zoro Bi Ballo, le ministre de la Promotion de la Bonne gouvernance, du Renforcement des capacités et de la Lutte contre la corruption, a, quant à lui, rassuré les partenaires de la volonté du gouvernement ivoirien à accompagner toutes les initiatives visant à promouvoir la bonne gouvernance à travers les principes de la recevabilité, de la transparence et du respect des droits humains.
Initiée par l’Association francophone des commissions nationales des droits de l’homme (Afcndh), en partenariat avec l’Oif et l’Agence française du développement (Afd), cette rencontre fait suite à d’autres réunions tenues, notamment celle du mois de Juin 2019, au siège de l’Oif, à Paris.
Selon la présidente du Cndh, Namizata Sangaré, lutter contre la corruption, c’est garantir les meilleures conditions de vie pour les populations en mettant en place des institutions efficaces, responsables et transparentes à tous les niveaux. Et pour y arriver, il est primordial d’établir un dialogue multi-acteurs permanent ce qui permettra d’outiller les acteurs afin de relever les défis liés à la lutte contre ce fléau qui minent les sociétés.
Intervenant à cette cérémonie d’ouverture dudit atelier, Delphine Couveinhes Matsumoto et Michel Forst, respectivement les représentantes de l’Oif et de l’Afcndh, abondant dans le même sens, ont ensemble indiqué que la corruption touche tous les pays à différents niveaux d’où les enjeux de cette activité.
Prenant la parole, Epiphane Zoro Bi Ballo, le ministre de la Promotion de la Bonne gouvernance, du Renforcement des capacités et de la Lutte contre la corruption, a, quant à lui, rassuré les partenaires de la volonté du gouvernement ivoirien à accompagner toutes les initiatives visant à promouvoir la bonne gouvernance à travers les principes de la recevabilité, de la transparence et du respect des droits humains.
Initiée par l’Association francophone des commissions nationales des droits de l’homme (Afcndh), en partenariat avec l’Oif et l’Agence française du développement (Afd), cette rencontre fait suite à d’autres réunions tenues, notamment celle du mois de Juin 2019, au siège de l’Oif, à Paris.