Promotion et valorisation de la cardiologie : La Sicard dévoile son plan d’actions 2021-2023
Les nouveaux responsables de la Société ivoirienne de cardiologie (Sicard) s’engagent à promouvoir et valoriser la cardiologie en Côte d’Ivoire, à travers des travaux scientifiques qu’ils entendent organiser au cours du mandat 2021-2023.
L’annonce a été faite, le mercredi 8 septembre 2021, au sein de l’Institut de cardiologie d’Abidjan (Ica) à Treichville, lors d’une conférence de presse animée par le président de la Sicard, Pr Roland N’Guetta.
Selon le conférencier, son bureau qui a pour tâche principale de mettre en œuvre les objectifs assignés à la Sicard, va développer des relations de confraternité entre les cardiologues. Mieux, il sera question d’assurer la formation continue des cardiologues, avoir des cardiologues toujours performants, au fait de l’actualité et des techniques de la prise en charge des maladies cardio-vasculaires.
En outre, selon le professeur N’Guetta, des avis sur la planification et l’exercice de la cardiologie seront communiqués aux autorités compétentes. « Nous allons leur proposer un programme de prise en charge des urgences cardio-vasculaires. Mais également élaborer et appliquer des programmes de sensibilisation et de prévention », a-t-il confié.
Il est également prévu, selon le premier responsable de la Sicard, la publication au mois de décembre 2022 des résultats d’une étude importante menée qui porte sur l’insuffisance cardiaque en Côte d’Ivoire.
« Nous comptons mener en collaboration avec un partenaire, une étude sur la fibrillation atriale dans la population générale. Cette pathologie est l'une des causes fréquentes des accidents vasculaires cérébraux. Il s’agit pour nous d’apporter des éléments sur la prévalence et les caractéristiques de cette affection grave », a-t-il fait savoir.
Pour l’année 2023, la Société de cardiologie espère pouvoir conclure une enquête nationale sur les capacités de prise en charge des affections cardio-vasculaires.
Il sera question de faire une cartographie réelle, en termes de ressources humaines et de ressources matérielles. « Nous entendons évaluer le dépistage et le suivi de la maladie coronaire en Côte d’Ivoire. C’est une affection qui est encore sous diagnostiquée, mais qui malheureusement, est responsable de nombre de décès au niveau des populations. En tant que cardiologues, nous devons pouvoir apporter à l’issue de cette étude des données précises sur les capacités de dépistage de la maladie, sur les modalités de son suivi », a annoncé le professeur Roland N’Guetta.
Selon le conférencier, son bureau qui a pour tâche principale de mettre en œuvre les objectifs assignés à la Sicard, va développer des relations de confraternité entre les cardiologues. Mieux, il sera question d’assurer la formation continue des cardiologues, avoir des cardiologues toujours performants, au fait de l’actualité et des techniques de la prise en charge des maladies cardio-vasculaires.
En outre, selon le professeur N’Guetta, des avis sur la planification et l’exercice de la cardiologie seront communiqués aux autorités compétentes. « Nous allons leur proposer un programme de prise en charge des urgences cardio-vasculaires. Mais également élaborer et appliquer des programmes de sensibilisation et de prévention », a-t-il confié.
Il est également prévu, selon le premier responsable de la Sicard, la publication au mois de décembre 2022 des résultats d’une étude importante menée qui porte sur l’insuffisance cardiaque en Côte d’Ivoire.
« Nous comptons mener en collaboration avec un partenaire, une étude sur la fibrillation atriale dans la population générale. Cette pathologie est l'une des causes fréquentes des accidents vasculaires cérébraux. Il s’agit pour nous d’apporter des éléments sur la prévalence et les caractéristiques de cette affection grave », a-t-il fait savoir.
Pour l’année 2023, la Société de cardiologie espère pouvoir conclure une enquête nationale sur les capacités de prise en charge des affections cardio-vasculaires.
Il sera question de faire une cartographie réelle, en termes de ressources humaines et de ressources matérielles. « Nous entendons évaluer le dépistage et le suivi de la maladie coronaire en Côte d’Ivoire. C’est une affection qui est encore sous diagnostiquée, mais qui malheureusement, est responsable de nombre de décès au niveau des populations. En tant que cardiologues, nous devons pouvoir apporter à l’issue de cette étude des données précises sur les capacités de dépistage de la maladie, sur les modalités de son suivi », a annoncé le professeur Roland N’Guetta.