Sportivement : Triste nouvelle pour le football
Comme une traînée de poudre, la nouvelle s’est répandue, le lundi 20 septembre, après-midi, en Côte d’Ivoire et dans d’autres pays de l’Afrique. La dernière mission de la Confédération africaine de football (Caf) n’a pas accepté que le stade de Yamoussoukro accueille la rencontre Côte d’Ivoire-Malawi au mois d’octobre prochain.
Une rencontre qui compte pour les éliminatoires de la Coupe du monde de la Fifa Qatar 2022. Entre autres raisons invoquées, l’absence de tableau électronique, de parking... C’est qu’il n’y a pas eu de test au préalable ; ce qui aurait permis de découvrir et corriger tous ces manquements. Et comme ça, on voulait y organiser un match aussi important aux yeux de la Fifa. A présent, il va falloir chercher une terre d’accueil pour notre football. C’est un camouflet qui tombe à pic.
A 18 mois du coup d’envoi de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations qui aura lieu à Abidjan, cette décision de la Caf et de la Fifa interpelle au plus haut niveau le ministre de la Promotion des sports et du développement de l’économie sportive, Claude Danho et le Premier ministre Patrick Achi.
Il faut qu’ils ouvrent davantage leurs yeux sur ce qui se passe dans l’environnement du sport national. Parce que cette sanction des faîtières internationales du sport roi dans le monde n’est que le résultat d’une négligence de la part de ceux qui gèrent le sport.
Depuis au moins sept mois, tout le monde sait que le stade d’Ebimpé a de sérieux soucis concernant sa pelouse. Et la seule alternative qui se présentait au pays, c’était le stade de Yamoussoukro qui, disait-on, était achevé. Enfin, dans le chronogramme initial, ce stade dont la construction est confiée au géant français Sogea Satom devait être achevé depuis le mois de juin 2021. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’on a décidé finalement de raser la pelouse monstrueuse d’Ebimpé pour la remettre aux normes.
Croyant aveuglement que Yamoussoukro offrirait toutes les garanties. Et nous voilà tombés les pieds joints dans le trou. Si rien n’est fait, cette fête africaine mémorable de la jeunesse dont rêve le Président Alassane Ouattara en 2023 ne sera qu’un leurre.
Il faut surtout arrêter de faire les querelles inutiles de passation de marchés et permettre aux préparatifs d’avancer. Depuis sa nomination à la tête du comité d’organisation, le président François Amichia ne ménage aucun effort pour faire bouger les lignes.
Sa tournée des ministères techniques en relation avec l’événement a permis de dépoussiérer tous les dossiers. Il n’y a pas que les stades, mais surtout tout ce qu’il y a autour. A savoir la réalisation des terrains annexes d’entraînement, les différentes voies d’accès et les plateaux sanitaires.
Pendant ce temps, le comité de normalisation, conduit par Mme Dao Gabala, qui gère le football au quotidien, est en train de manœuvrer fort pour proroger son mandat.
Sinon comment comprendre ce jeu de ping-pong en plein assemblée générale avec son directeur exécutif ? Pourquoi Mariam Dao Gabala veut coûte que coûte statuer sur des faits qui ne portent pas sur l’année de sa gestion ? Pourquoi veut on remettre en cause des quitus qui datent de trois, voire quatre ans ? Pitié, ouvrons tous les yeux et regardons l’intérêt du pays.
A 18 mois du coup d’envoi de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations qui aura lieu à Abidjan, cette décision de la Caf et de la Fifa interpelle au plus haut niveau le ministre de la Promotion des sports et du développement de l’économie sportive, Claude Danho et le Premier ministre Patrick Achi.
Il faut qu’ils ouvrent davantage leurs yeux sur ce qui se passe dans l’environnement du sport national. Parce que cette sanction des faîtières internationales du sport roi dans le monde n’est que le résultat d’une négligence de la part de ceux qui gèrent le sport.
Depuis au moins sept mois, tout le monde sait que le stade d’Ebimpé a de sérieux soucis concernant sa pelouse. Et la seule alternative qui se présentait au pays, c’était le stade de Yamoussoukro qui, disait-on, était achevé. Enfin, dans le chronogramme initial, ce stade dont la construction est confiée au géant français Sogea Satom devait être achevé depuis le mois de juin 2021. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’on a décidé finalement de raser la pelouse monstrueuse d’Ebimpé pour la remettre aux normes.
Croyant aveuglement que Yamoussoukro offrirait toutes les garanties. Et nous voilà tombés les pieds joints dans le trou. Si rien n’est fait, cette fête africaine mémorable de la jeunesse dont rêve le Président Alassane Ouattara en 2023 ne sera qu’un leurre.
Il faut surtout arrêter de faire les querelles inutiles de passation de marchés et permettre aux préparatifs d’avancer. Depuis sa nomination à la tête du comité d’organisation, le président François Amichia ne ménage aucun effort pour faire bouger les lignes.
Sa tournée des ministères techniques en relation avec l’événement a permis de dépoussiérer tous les dossiers. Il n’y a pas que les stades, mais surtout tout ce qu’il y a autour. A savoir la réalisation des terrains annexes d’entraînement, les différentes voies d’accès et les plateaux sanitaires.
Pendant ce temps, le comité de normalisation, conduit par Mme Dao Gabala, qui gère le football au quotidien, est en train de manœuvrer fort pour proroger son mandat.
Sinon comment comprendre ce jeu de ping-pong en plein assemblée générale avec son directeur exécutif ? Pourquoi Mariam Dao Gabala veut coûte que coûte statuer sur des faits qui ne portent pas sur l’année de sa gestion ? Pourquoi veut on remettre en cause des quitus qui datent de trois, voire quatre ans ? Pitié, ouvrons tous les yeux et regardons l’intérêt du pays.