Les membres de RISE après la formation à l'Ens. (DR)
Lutte contre l’exploitation et les abus sexuels : Le RISE s’inscrit dans les exigences de l’UNICEF
Sous l’égide du Pr Adama Diawara, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, et par ailleurs président du Réseau ivoirien de suivi et d’évaluation (Rise), s’est tenu un atelier de formation, le 27 septembre, à la salle de réunions Henriette Dagri Diabaté de l’École normale supérieure (Ens), d'Abidjan-Cocody.
À cette occasion, Dr Mamadou Coulibaly, secrétaire permanent du Rise, représentant le Pr. Adama Diawara, a fait savoir que « le Rise s’engage à intégrer systématiquement la ‘’Prévention de l’exploitation et des abus sexuels (Peas)" dans les différents aspects de sa vie organisationnelle, et dans les projets d’évaluation à conduire ».
En fait, l’Organisation des nations unies pour l’enfance (Unicef), partenaire technique et financier du Rise, recommande la prise en compte de la Peas à toutes ses parties prenantes. C’est la raison pour laquelle « après des actions intégrées de sensibilisation, de prise en compte de la Peas dans les textes (Statuts et Règlement intérieur) qui régissent le réseau, que le Rise organise une formation pour sensibiliser ses membres à la Peas », a précisé Dr Mamadou Coulibaly.
Dans cette optique, deux membres du Réseau ivoirien de suivi et d’évaluation ont déjà participé à des formations sur la Peas au siège de l’Unicef à Abidjan pour s’imprégner des concepts. Ce sont eux qui ont animé cet atelier de formation pour transmettre le message aux autres membres de leur réseau.
Mme Yakiema Diakité Kouyaté, experte en Genre et Développement, et responsable du Groupe thématique ‘’Genre et Droits humains’’ au sein du Rise, a, lors de la formation, fait ressortir les définitions des notions de prévention de l’exploitation et d’abus sexuels, les sanctions lorsqu’il y a des cas avérés, les dispositifs et mécanismes mis en place par l’Onu à travers ses organes comme l’Unicef et autres, et la prise en compte de ces notions dans la conduite des travaux de suivi et d’évaluation du Rise.
Avant d’insister sur le fait que la prise en compte de la Peas s’impose désormais au Rise. « L’Organisation des nations unies (Onu) et plusieurs partenaires techniques tels que l’Unicef, adoptent la tolérance ‘’zéro’’ en la matière. Et nous sommes aussi concernés par cette exigence, si nous voulons continuer à travailler avec notre partenaire qu’est l’Unicef », a précisé Yakiema Diakité Kouyaté.
Me Nicolas Kouakou, juriste-consultant, trésorier adjoint du Rise, quant à lui, a indiqué : « l’Unicef étant notre partenaire, il a fallu inscrire la Peas dans notre manuel de procédure et sensibiliser les membres du Rise pour qu’ils s’imprègnent des contraintes auxquelles les travailleurs de notre partenaire sont soumis ». Avant d’insister sur l’importance de continuer une telle sensibilisation afin que tous les membres du réseau luttent, eux aussi, contre l’exploitation des personnes en situation de vulnérabilité.
En fait, l’Organisation des nations unies pour l’enfance (Unicef), partenaire technique et financier du Rise, recommande la prise en compte de la Peas à toutes ses parties prenantes. C’est la raison pour laquelle « après des actions intégrées de sensibilisation, de prise en compte de la Peas dans les textes (Statuts et Règlement intérieur) qui régissent le réseau, que le Rise organise une formation pour sensibiliser ses membres à la Peas », a précisé Dr Mamadou Coulibaly.
Dans cette optique, deux membres du Réseau ivoirien de suivi et d’évaluation ont déjà participé à des formations sur la Peas au siège de l’Unicef à Abidjan pour s’imprégner des concepts. Ce sont eux qui ont animé cet atelier de formation pour transmettre le message aux autres membres de leur réseau.
Mme Yakiema Diakité Kouyaté, experte en Genre et Développement, et responsable du Groupe thématique ‘’Genre et Droits humains’’ au sein du Rise, a, lors de la formation, fait ressortir les définitions des notions de prévention de l’exploitation et d’abus sexuels, les sanctions lorsqu’il y a des cas avérés, les dispositifs et mécanismes mis en place par l’Onu à travers ses organes comme l’Unicef et autres, et la prise en compte de ces notions dans la conduite des travaux de suivi et d’évaluation du Rise.
Avant d’insister sur le fait que la prise en compte de la Peas s’impose désormais au Rise. « L’Organisation des nations unies (Onu) et plusieurs partenaires techniques tels que l’Unicef, adoptent la tolérance ‘’zéro’’ en la matière. Et nous sommes aussi concernés par cette exigence, si nous voulons continuer à travailler avec notre partenaire qu’est l’Unicef », a précisé Yakiema Diakité Kouyaté.
Me Nicolas Kouakou, juriste-consultant, trésorier adjoint du Rise, quant à lui, a indiqué : « l’Unicef étant notre partenaire, il a fallu inscrire la Peas dans notre manuel de procédure et sensibiliser les membres du Rise pour qu’ils s’imprègnent des contraintes auxquelles les travailleurs de notre partenaire sont soumis ». Avant d’insister sur l’importance de continuer une telle sensibilisation afin que tous les membres du réseau luttent, eux aussi, contre l’exploitation des personnes en situation de vulnérabilité.