Perception des droits d’auteur : Le Burida et la Sacem réchauffent leur relation
Dans le cadre de sa stratégie d’élargissement de l'assiette de recouvrement des ressources pour les artistes, la direction du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida), depuis quelques mois, est très active sur le terrain.
Après une série de conventions signées avec plusieurs structures dont l’Union des villes et communes et de Côte d’Ivoire (Uvicoci), des délégations du Burida ont investi les communes d’Abidjan et celles de l’intérieur en vue de traduire en acte ces partenariats qui devraient soulager les artistes de Côte d’Ivoire.
Par ailleurs, Karim Ouattara, directeur général du Burida, a décidé de s'orienter maintenant vers l'extérieur pour une meilleure collaboration avec les sociétés sœurs.
Le 14 octobre, au siège de la Société des auteurs compositeurs et éditeurs de musique (Sacem), à Neuilly-sur-Seine en France, Cécile Rap-Veber, directrice générale par intérim de la Sacem, a eu une longue séance de travail avec le directeur général du Burida.
Cette rencontre visait à réchauffer les relations entre le Burida et la plus grande société de gestion collective de droits d'auteur au monde et poser les jalons d’une collaboration plus étroite qui permettrait aux deux structures de satisfaire leurs sociétaires.
Selon Karim Ouattara qui nous a joint par téléphone après son audience, plusieurs thématiques ont meublé ladite séance de travail, notamment le renforcement des capacités des agents du Burida, le recouvrement des droits d’auteurs sur l’exploitation des œuvres digitales et les échanges d’expériences en matière de gestion des œuvres.
Ont pris part à cette séance de travail, Caroline Champarnaud, directrice du développement international et Akotchayé Okio, chargé de développement international Afrique de la Sacem.
Depuis son arrivée à la tête de la maison des artistes, Karim Ouattara s’est assigné pour mission d’œuvrer à la satisfaction des préoccupations de ses mandants que sont les sociétaires du Burida.
Pour ce faire, il a traduit cette vision dans un plan dit d’actions stratégiques qui s’articule autour de trois grands axes majeurs : la modernisation des outils et des procédures, la gouvernance, l’élargissement de l’assiette de perception en vue d’accroître le niveau des revenus. Ajouté à cela, une stratégie pour le personnel du Burida qui va permettre de mettre en place des mécanismes de performance et de motivation.
Par ailleurs, Karim Ouattara, directeur général du Burida, a décidé de s'orienter maintenant vers l'extérieur pour une meilleure collaboration avec les sociétés sœurs.
Le 14 octobre, au siège de la Société des auteurs compositeurs et éditeurs de musique (Sacem), à Neuilly-sur-Seine en France, Cécile Rap-Veber, directrice générale par intérim de la Sacem, a eu une longue séance de travail avec le directeur général du Burida.
Cette rencontre visait à réchauffer les relations entre le Burida et la plus grande société de gestion collective de droits d'auteur au monde et poser les jalons d’une collaboration plus étroite qui permettrait aux deux structures de satisfaire leurs sociétaires.
Selon Karim Ouattara qui nous a joint par téléphone après son audience, plusieurs thématiques ont meublé ladite séance de travail, notamment le renforcement des capacités des agents du Burida, le recouvrement des droits d’auteurs sur l’exploitation des œuvres digitales et les échanges d’expériences en matière de gestion des œuvres.
Ont pris part à cette séance de travail, Caroline Champarnaud, directrice du développement international et Akotchayé Okio, chargé de développement international Afrique de la Sacem.
Depuis son arrivée à la tête de la maison des artistes, Karim Ouattara s’est assigné pour mission d’œuvrer à la satisfaction des préoccupations de ses mandants que sont les sociétaires du Burida.
Pour ce faire, il a traduit cette vision dans un plan dit d’actions stratégiques qui s’articule autour de trois grands axes majeurs : la modernisation des outils et des procédures, la gouvernance, l’élargissement de l’assiette de perception en vue d’accroître le niveau des revenus. Ajouté à cela, une stratégie pour le personnel du Burida qui va permettre de mettre en place des mécanismes de performance et de motivation.