
Ce premier salon de l’énergie et du développement durable a enregistré la participation de plusieurs acteurs du secteur de l’Energie, venus de divers pays africains. (Dr)
Ce premier salon de l’énergie et du développement durable a enregistré la participation de plusieurs acteurs du secteur de l’Energie, venus de divers pays africains. (Dr)
Efficacité énergétique : Les opérateurs du secteur en Afrique partagent leurs expériences
La première édition du Salon de l’énergie et du développement durable s'est déroulée les vendredi 15 et samedi 16 octobre 2021, à l’hôtel Radisson Blu d’Abidjan.
« L’innovation au service de l’énergie pour améliorer les conditions de vie des populations ». C’est le thème de la première édition du Salon de l’énergie et du développement durable (Sedd) qui s’est déroulée les vendredi 15 et samedi 16 octobre 2021, à l’hôtel Radisson Blu d’Abidjan, en zone aéroportuaire. C’est une initiative de « Light On », une association de jeunes africains qui encourage l’entrepreneuriat sur le continent.
Le but de cette édition 2021 était de promouvoir l’excellence et le savoir-faire local dans le domaine de l’énergie à travers des solutions innovantes et la promotion du genre.
Les participants, composés essentiellement d’opérateurs et autres acteurs clé du secteur de l’énergie, ont saisi cette occasion pour partager leurs expériences et sensibiliser les populations aux bonnes techniques d’économie d’énergie. Ils ont aussi présenté les initiatives de quelques gouvernements africains en vue de faciliter l’accès à l’énergie.
A la cérémonie d’ouverture, Grace Gomé Kpan, présidente de l'association « Light On », a souligné que la complexité de la question de l’accès à l’énergie pour tous en Afrique est telle qu’il serait illusoire d’envisager une seule solution.
« Certains abordent la question sous un angle économique, d’autres sous un angle politique ou encore sous un angle environnemental. Moi je l’ai toujours vue sous un angle humain. En effet, si on place l’homme au centre des politiques, on sera obligé de penser, à parts raisonnables, à l’économie, à la politique et à l’environnement », a-t-elle déclaré.
Elle a aussi indiqué que son association entend créer des champions locaux dans les divers tissus socio-économiques des Etats africains, en guise de riposte aux problèmes majeurs rencontrés comme le manque d’accès à l’électricité. « Nous nous sommes donné comme mission de tenir la main aux jeunes africains qui aimeraient se positionner comme acteurs du changement dans le continent », a-t-elle annoncé.
Pour sa part, le conseiller technique du ministre des Mines, de l’Energie et de l’Eau du Mali, Moussa Ombotimbé, qui a pris part aux travaux, a souligné la nécessité de faire recours à l’innovation pour répondre au besoin énergétique de plus en plus croissant des populations et soutenir le développement économique et durable des Etats africains.
Les travaux ont été marqués par des sessions de partage d’expériences en matière d’accès à l’électricité et d’économie d’énergie.
Les participants, composés essentiellement d’opérateurs et autres acteurs clé du secteur de l’énergie, ont saisi cette occasion pour partager leurs expériences et sensibiliser les populations aux bonnes techniques d’économie d’énergie. Ils ont aussi présenté les initiatives de quelques gouvernements africains en vue de faciliter l’accès à l’énergie.
A la cérémonie d’ouverture, Grace Gomé Kpan, présidente de l'association « Light On », a souligné que la complexité de la question de l’accès à l’énergie pour tous en Afrique est telle qu’il serait illusoire d’envisager une seule solution.
« Certains abordent la question sous un angle économique, d’autres sous un angle politique ou encore sous un angle environnemental. Moi je l’ai toujours vue sous un angle humain. En effet, si on place l’homme au centre des politiques, on sera obligé de penser, à parts raisonnables, à l’économie, à la politique et à l’environnement », a-t-elle déclaré.
Elle a aussi indiqué que son association entend créer des champions locaux dans les divers tissus socio-économiques des Etats africains, en guise de riposte aux problèmes majeurs rencontrés comme le manque d’accès à l’électricité. « Nous nous sommes donné comme mission de tenir la main aux jeunes africains qui aimeraient se positionner comme acteurs du changement dans le continent », a-t-elle annoncé.
Pour sa part, le conseiller technique du ministre des Mines, de l’Energie et de l’Eau du Mali, Moussa Ombotimbé, qui a pris part aux travaux, a souligné la nécessité de faire recours à l’innovation pour répondre au besoin énergétique de plus en plus croissant des populations et soutenir le développement économique et durable des Etats africains.
Les travaux ont été marqués par des sessions de partage d’expériences en matière d’accès à l’électricité et d’économie d’énergie.