Lutte contre le terrorisme dans le Nord : Téné Birahima invite les populations à collaborer avec les autorités sécuritaires
Téne Birahima, ministre d'État, ministre de la défense, par ailleurs président du conseil régional du Tchologo, invite les populations de sa région et principalement celles de la frontière Nord Côte d’Ivoire-Burkina Faso, à collaborer avec les autorités administratives et les forces de défense, pour ensemble lutter contre le terrorisme qui naît dans la région.
Il a lancé cet appel, hier, à l’occasion de la cérémonie de lancement des travaux de réalisation de 40 forages équipés de pompes à motricité humaines, à Lareraba, village situé à 5km de la frontière nord Côte d’Ivoire-Burkina Faso.
« Cette partie de notre pays subit Malheureusement des affres du terrorisme. Et Pour faire face à cela, le Président de la République, S.E.M Alassane Ouattara ne cesse de dégager des moyens pour équiper nos forces de défense », a-t-il indiqué.
Avant de solliciter l'implication des populations de cette zone dans cette lutte. « On a beau avoir la meilleure armée du monde, sans l'implication des populations, on ne peut pas faire face à de telles situations. Il est de votre devoir, votre responsabilité de communiquer. Dénoncez la présence des personnes que vous ne connaissez pas. Conduisez-les chez les autorités sécuritaires ou administratives », a-t-il exhorté.
Ajoutant que la Côte d'Ivoire n'a pas besoin de ce genre de situations. Et d'insister : « Nous vivons en parfaite harmonie avec tous nos frères des autres pays. Il faut que vous puissiez nous aider dans cette lutte. Car, votre implication va nous aider à lutter efficacement contre ce fléau ».
Une exhortation bien saisie par le chef du village de Laleraba antenne qui n’a pas dans un entretien avec la presse, d’affirmer son adhésion à l’appel lancé par le ministre de la défense. Selon lui, c’est ce qu’il fait déjà. « Quand un étranger arrive dans le village qu’il n’a aucune pièce d’identité, il est directement conduit chez les autorités sécuritaires ou administratives par ses soins », a-t-il fait savoir.
Et de rassurer que les jihadistes n’ont jamais opéré dans leur zone. Toutefois, il dit qu’ils ont quand même la peur au ventre. Pour la question de collaboration et du vivre ensemble avec les frères des autres pays, selon lui, c’est la parfaite entente et harmonie. «Nous collaborons bien avec nos frères de l’autre côté de la frontière. Souvent, ils viennent nous aider à labourer nos champs et vice versa », a-t-il ajouté.
« Cette partie de notre pays subit Malheureusement des affres du terrorisme. Et Pour faire face à cela, le Président de la République, S.E.M Alassane Ouattara ne cesse de dégager des moyens pour équiper nos forces de défense », a-t-il indiqué.
Avant de solliciter l'implication des populations de cette zone dans cette lutte. « On a beau avoir la meilleure armée du monde, sans l'implication des populations, on ne peut pas faire face à de telles situations. Il est de votre devoir, votre responsabilité de communiquer. Dénoncez la présence des personnes que vous ne connaissez pas. Conduisez-les chez les autorités sécuritaires ou administratives », a-t-il exhorté.
Ajoutant que la Côte d'Ivoire n'a pas besoin de ce genre de situations. Et d'insister : « Nous vivons en parfaite harmonie avec tous nos frères des autres pays. Il faut que vous puissiez nous aider dans cette lutte. Car, votre implication va nous aider à lutter efficacement contre ce fléau ».
Une exhortation bien saisie par le chef du village de Laleraba antenne qui n’a pas dans un entretien avec la presse, d’affirmer son adhésion à l’appel lancé par le ministre de la défense. Selon lui, c’est ce qu’il fait déjà. « Quand un étranger arrive dans le village qu’il n’a aucune pièce d’identité, il est directement conduit chez les autorités sécuritaires ou administratives par ses soins », a-t-il fait savoir.
Et de rassurer que les jihadistes n’ont jamais opéré dans leur zone. Toutefois, il dit qu’ils ont quand même la peur au ventre. Pour la question de collaboration et du vivre ensemble avec les frères des autres pays, selon lui, c’est la parfaite entente et harmonie. «Nous collaborons bien avec nos frères de l’autre côté de la frontière. Souvent, ils viennent nous aider à labourer nos champs et vice versa », a-t-il ajouté.