Alliance politique : Quatre partis créent une plateforme
Quatre partis politiques ont signé, le 29 octobre 2021, au siège de l’Udcy à la Riviera Sainte Famille, à Abidjan, la charte créant leur plateforme politique dénommée Agir pour la paix et l’unité. Ce sont le Consensus des démocrates africains (Cda), le Collectif des démocrates ivoiriens (Cdi), le Rassemblement pour la République (Rpr) et l’Union démocratique et citoyenne (Udcy).
Agir pour la paix et l’unité est une plateforme dont l’objectif est la mise en commun des ressources politiques des partis et groupements adhérents afin de créer la synergie des actions nécessaires à la promotion des droits humains et des libertés démocratiques pour la conquête du pouvoir en Côte d’Ivoire.
Ce groupement politique, selon son porte-parole, par ailleurs président de Udcy, Anicet Guela Gnanzi, est un mouvement politique qui veut « rassembler toutes les personnes éprises de justice, de paix et de liberté, soucieuses d’apporter des changements profonds dans tous les secteurs d’activité en Côte d’Ivoire ».
Mieux, dira-t-il, il s’agit de ‘’construire une société juste, une société de droit qui assure à tous et à chacun des droits élémentaires tels que définis dans la Constitution’’.
Le mouvement s’engage également à faire la promotion de la cohésion sociale en Côte d’Ivoire fondée sur l’égalité de chances entre les citoyens et une meilleure rétribution des fruits de la croissance.
Ces partis politiques fondent beaucoup d’espoir sur la reprise du dialogue républicain. Toutefois, ils restent convaincus que « rien ne peut remplacer un dialogue direct pouvoir/opposition, s’il peut avoir lieu dans le respect et la considération dus à chacune des parties prenantes. »
Aussi, le porte-parole de ce groupement s’est-il félicité des résultats tangibles obtenus grâce aux séances de travail et audiences accordées par le Président de la République, Alassane Ouattara, aux leaders de l’opposition.
Relativement aux partis politiques, la plateforme s’est engagée à collaborer avec toutes les formations et groupements politiques qui aspirent au changement en vue d’évoquer les questions d’intérêt commun.
Agir projette dans les prochaines semaines de parcourir toute la Côte d’Ivoire pour prôner l’idée de réconciliation et de cohésion sociale. « Nous sommes à la disposition du gouvernement pour apporter notre contribution à la réconciliation nationale », a conclu M. Gnanzi
Ce groupement politique, selon son porte-parole, par ailleurs président de Udcy, Anicet Guela Gnanzi, est un mouvement politique qui veut « rassembler toutes les personnes éprises de justice, de paix et de liberté, soucieuses d’apporter des changements profonds dans tous les secteurs d’activité en Côte d’Ivoire ».
Mieux, dira-t-il, il s’agit de ‘’construire une société juste, une société de droit qui assure à tous et à chacun des droits élémentaires tels que définis dans la Constitution’’.
Le mouvement s’engage également à faire la promotion de la cohésion sociale en Côte d’Ivoire fondée sur l’égalité de chances entre les citoyens et une meilleure rétribution des fruits de la croissance.
Ces partis politiques fondent beaucoup d’espoir sur la reprise du dialogue républicain. Toutefois, ils restent convaincus que « rien ne peut remplacer un dialogue direct pouvoir/opposition, s’il peut avoir lieu dans le respect et la considération dus à chacune des parties prenantes. »
Aussi, le porte-parole de ce groupement s’est-il félicité des résultats tangibles obtenus grâce aux séances de travail et audiences accordées par le Président de la République, Alassane Ouattara, aux leaders de l’opposition.
Relativement aux partis politiques, la plateforme s’est engagée à collaborer avec toutes les formations et groupements politiques qui aspirent au changement en vue d’évoquer les questions d’intérêt commun.
Agir projette dans les prochaines semaines de parcourir toute la Côte d’Ivoire pour prôner l’idée de réconciliation et de cohésion sociale. « Nous sommes à la disposition du gouvernement pour apporter notre contribution à la réconciliation nationale », a conclu M. Gnanzi