Le Centre sportif, culturel et des Tic Alassane Ouattara. (Photo : DR)
Sportivement : Mission accomplie
Le Chef de l’État, Alassane Ouattara et le ministre de Promotion des sports et du Développement de l’économie sportive, Paulin Claude Danho, ont vivement félicité Bamba Cheick Daniel, président de la Fédération ivoirienne de taekwondo (Fitkd) lors de la cérémonie d'inauguration du centre ivoiro-coréen, jeudi. L’ambassade de Corée et l’Agence coréenne de coopération internationale (Koica) ont fait de même.
C’est que l’ancien ministre de l’Administration du territoire, aujourd’hui directeur général de l’importante Agence foncière rurale, qui quitte la tête de la Fédération ivoirienne de taekwondo après 12 ans de règne (2009-2021), a révolutionné la pratique de ce sport dans le pays.
« Je voudrais relever le rôle déterminant joué par le président de la Fédération ivoirienne de taekwondo (Fitkd) et directeur du projet, le ministre Bamba Cheick Daniel, qui n’a ménagé aucun effort pour la réalisation de cet ouvrage sportif. Je salue et félicite son engagement et son implication personnelle à tous les niveaux et avec lui, tous ses collaborateurs ainsi que toutes les personnes qui, de près ou de loin, ont participé à la réalisation de cet imposant ouvrage dont la construction a duré deux ans et mobilisé les efforts techniques et financiers de l’État de Côte d’Ivoire », a félicité le ministre.
En effet, sans la passion et la vision du patron du taekwondo ivoirien, ce centre d’une valeur de plus de 6 milliards de FCfa offert par la Corée n’aurait pas vu le jour. Dans un film institutionnel, en effet, on a vu le préfet hors grade aller démarcher auprès de la maison-mère du taekwondo (le Kukkiwon) et de l’Agence coréenne de coopération (Koica).
La construction d’une salle dédiée à la pratique de ce sport était consignée dans un programme qu’il gardait dans ses affaires depuis 1989. Ensuite, le Président de la République, au cours de sa visite historique, en octobre 2014, en Corée, a fait le travail qu’il fallait. En grand bâtisseur, il avait pris dans son avion le président Bamba Cheick Daniel.
Après trois mandats fructueux pendant lesquels le président Bamba Cheick Daniel a écrit en lettres d’or des pages de l’histoire de la discipline, l’héritage est immense : des médailles olympiques, des médailles de champion d’Afrique et du monde, de Grands Prix internationaux. Sans compter les nombreux opens remportés à travers l’Afrique et le monde.
Père du taekwondo moderne, l’homme n’a pas fait que transmettre aux athlètes et autres encadreurs sa rage de vaincre. Il a révolutionné la manière de pratiquer cet art martial coréen dans le pays à travers des modules de formation, au sein de structures qu’il a mises en place et avec des hommes bien choisis pour harmoniser la manière de le faire.
Aujourd’hui, le taekwondo ivoirien, avec une population de 48 000 licenciés, est un sport majeur. Des faits qui sautent aux yeux et qui réjouissent tout le monde. Grâce à Bamba Cheick Daniel, cette discipline n’est plus l’apanage des habitants des quartiers précaires, volant au ras de pâquerettes, comme on le voit avec les autres arts martiaux venus eux aussi d’Asie. Aujourd’hui, les salles d’entraînement du taekwondo en Côte d’Ivoire grouillent de monde.
Depuis les médailles glanées aux Jeux olympiques de Rio de Janeiro, en 2016, on y trouve de plus en plus de bourgeois qui y accompagnent leurs enfants, des directeurs de société, des magistrats, des banquiers, etc. Sûrement que le Centre Alassane Ouattara qui est l’une des retombées de cette bonne organisation et des résultats probants de la Fédération va accroître la notoriété de ce sport dans le pays.
C’est pourquoi il était important que l’on trouve un accord-cadre pour donner un statut juridique à l’organe de gestion du Centre : ses attributions, les dispositions financières et le contrôle de sa gestion financière et comptable. Une doléance à laquelle le Président Alassane Ouattara a accédé, jeudi, dans son allocution.
« Je voudrais relever le rôle déterminant joué par le président de la Fédération ivoirienne de taekwondo (Fitkd) et directeur du projet, le ministre Bamba Cheick Daniel, qui n’a ménagé aucun effort pour la réalisation de cet ouvrage sportif. Je salue et félicite son engagement et son implication personnelle à tous les niveaux et avec lui, tous ses collaborateurs ainsi que toutes les personnes qui, de près ou de loin, ont participé à la réalisation de cet imposant ouvrage dont la construction a duré deux ans et mobilisé les efforts techniques et financiers de l’État de Côte d’Ivoire », a félicité le ministre.
En effet, sans la passion et la vision du patron du taekwondo ivoirien, ce centre d’une valeur de plus de 6 milliards de FCfa offert par la Corée n’aurait pas vu le jour. Dans un film institutionnel, en effet, on a vu le préfet hors grade aller démarcher auprès de la maison-mère du taekwondo (le Kukkiwon) et de l’Agence coréenne de coopération (Koica).
La construction d’une salle dédiée à la pratique de ce sport était consignée dans un programme qu’il gardait dans ses affaires depuis 1989. Ensuite, le Président de la République, au cours de sa visite historique, en octobre 2014, en Corée, a fait le travail qu’il fallait. En grand bâtisseur, il avait pris dans son avion le président Bamba Cheick Daniel.
Après trois mandats fructueux pendant lesquels le président Bamba Cheick Daniel a écrit en lettres d’or des pages de l’histoire de la discipline, l’héritage est immense : des médailles olympiques, des médailles de champion d’Afrique et du monde, de Grands Prix internationaux. Sans compter les nombreux opens remportés à travers l’Afrique et le monde.
Père du taekwondo moderne, l’homme n’a pas fait que transmettre aux athlètes et autres encadreurs sa rage de vaincre. Il a révolutionné la manière de pratiquer cet art martial coréen dans le pays à travers des modules de formation, au sein de structures qu’il a mises en place et avec des hommes bien choisis pour harmoniser la manière de le faire.
Aujourd’hui, le taekwondo ivoirien, avec une population de 48 000 licenciés, est un sport majeur. Des faits qui sautent aux yeux et qui réjouissent tout le monde. Grâce à Bamba Cheick Daniel, cette discipline n’est plus l’apanage des habitants des quartiers précaires, volant au ras de pâquerettes, comme on le voit avec les autres arts martiaux venus eux aussi d’Asie. Aujourd’hui, les salles d’entraînement du taekwondo en Côte d’Ivoire grouillent de monde.
Depuis les médailles glanées aux Jeux olympiques de Rio de Janeiro, en 2016, on y trouve de plus en plus de bourgeois qui y accompagnent leurs enfants, des directeurs de société, des magistrats, des banquiers, etc. Sûrement que le Centre Alassane Ouattara qui est l’une des retombées de cette bonne organisation et des résultats probants de la Fédération va accroître la notoriété de ce sport dans le pays.
C’est pourquoi il était important que l’on trouve un accord-cadre pour donner un statut juridique à l’organe de gestion du Centre : ses attributions, les dispositions financières et le contrôle de sa gestion financière et comptable. Une doléance à laquelle le Président Alassane Ouattara a accédé, jeudi, dans son allocution.