Valorisation de la production de volaille: Des abattoirs industriels seront construits dans sept localités
Au nom du ministre des Ressources animales et halieutiques, le ministre-gouverneur du District des savanes vient de lancer le début des travaux à Korhogo.
Dans deux ans, sortiront de terre, au total, sept abattoirs industriels de volaille, précisément dans les localités de Korhogo, Man, Bondoukou, Daloa, Tiébissou, Azaguié et Dabou. Et c’est la capitale de la région de Poro qui a été choisie par le ministère des Ressources animales et halieutiques afin d’abriter la cérémonie officielle de lancement des travaux de ces infrastructures à haute valeur ajoutée.
Sidi Tiémoko Touré, ministre des Ressources animales et halieutiques, s’est fait représenter par le général Issa Coulibaly, ministre-gouverneur du district autonome des savanes en vue de procéder, le jeudi 4 novembre, à Kafiné, un village de la commune de Korhogo, à la pose de la première pierre.
Et ce, en présence de Zoumana Méïté, directeur de cabinet du ministre des Ressources animales et halieutiques, du corps préfectoral, des élus et cadres de Korhogo, avec à leur tête Lazani Coulibaly, maire de la commune de Korhogo, et une population en liesse qui s’est fortement mobilisée afin de réserver un accueil chaleureux à leurs hôtes.
Portant la parole du ministre des Ressources animales et halieutiques, le général Issa Coulibaly a tenu à rappeler que cette cérémonie de pose de première pierre se tient exactement 15 jours après le lancement officiel des Projets d’abattoirs industriels de volaille en Côte d’ivoire (Pav-Ci) et de modernisation du secteur avicole (Pmsa).
Selon lui, il s’agit donc d’une traduction concrète de la stratégie du gouvernement déclinée dans le Plan stratégique de relance de l’aviculture (Psra).
Également, si l’on en croit le ministre Sidi Touré, à travers le discours qui a été lu par le ministre-gouverneur du district autonome des savanes, cette stratégie du gouvernement n’aurait pu être mise en œuvre sans la claire vision du Président de la République, Alassane Ouattara, un homme pragmatique et sincère. Qui avait une grande complicité avec le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly.
Et d’affirmer que c’est sous le leadership justement du défunt Premier ministre que le projet abattoir industriel de volaille en Côte d’ivoire a vu le jour. « Il l’a même inscrit dans les priorités du gouvernement et dans tous les documents transmis au niveau sous-régional et international », s’est rappelé l’ex-ministre de la Fonction publique.
Revenant sur le Pav-Ci, le porte-parole du ministre des Ressources animales et halieutiques a révélé que c’est une initiative mûrie dans un cadre de partenariat public-privé.
A cette étape, dira-t-il, ce projet prend toute sa place dans le processus de développement de l’aviculture ivoirienne, notamment avec le Psra II qui vise une production d’environ 200 000 tonnes de viande de volaille à l’horizon 2030.
« Au-delà, la volonté du gouvernement est de faire de l’aviculture ivoirienne une filière compétitive respectueuse de l’environnement dans un écosystème commercial régional et mondial concurrentiel à l’horizon 2030 », a-t-il souligné. Non sans affirmer qu’il s’agit d’arriver à couvrir les besoins de la Côte d’Ivoire avec au moins 6 kg de viande de volaille pour chaque habitant annuellement dans des conditions de biosécurité, d’hygiène, de salubrité et de qualité acceptables pour le bonheur et la bonne santé des populations.
« C’est tout l’intérêt que revêt le Pav-Ci », a-t-il fait savoir.
Le Pav-Ci entend contribuer à l’amélioration de la compétitivité des produits avicoles locaux par la modernisation du circuit de commercialisation des poulets, à travers les abattages contrôlés de poulets.
En plus de cela, le Pav-Ci permet d’assurer un meilleur encadrement des aviculteurs et revendeurs de volaille tout en les préservant des zoonoses aviaires telles que la grippe aviaire hautement pathogène.
« Avec cet abattoir installé dans votre zone, vos soucis de commercialisation seront complètement réglés », a assuré le ministre-gouverneur. Avant de clore ses propos, le général Issa Coulibaly a tenu, au nom du ministre des Ressources animales et halieutiques, à traduire toute sa gratitude à l’Italie et à toutes les structures financières ivoiriennes qui ont permis de couvrir la totalité du besoin financier sollicité en vue de la réalisation de ce projet dont le coût est estimé à plus de 15 milliards de FCfa.
Au nom de l’ambassade de l’Italie en Côte d’ivoire, Andréa Rossy a affirmé que son pays est fier d’être aux côtés du gouvernement ivoirien pour réaliser ces abattoirs qui vont améliorer la filière volaille du pays. Il a félicité le gouvernement pour cette belle initiative.
Quant à Lazani Coulibaly, il a rendu un vibrant hommage au défunt Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, qui a voulu que cet abattoir soit construit dans le village de Kafiné. Aussi, a-t-il souhaité que l’essentiel de la main d’œuvre de cette infrastructure soit recruté à Korhogo et singulièrement dans le village de Kafiné.
Au nom des heureux bénéficiaires, Tiéfing Koné a remercié l’État de Côte d’ivoire avec à sa tête, le Président de la République, Alassane Ouattara, qui a choisi Korhogo pour réaliser une telle infrastructure. Ils ont souhaité vivement qu’une fois la première pierre posée que le projet puisse aller jusqu’à son terme pour le bonheur des populations de Kafiné et de Korhogo.
Envoyé spécial à Korhogo
Et ce, en présence de Zoumana Méïté, directeur de cabinet du ministre des Ressources animales et halieutiques, du corps préfectoral, des élus et cadres de Korhogo, avec à leur tête Lazani Coulibaly, maire de la commune de Korhogo, et une population en liesse qui s’est fortement mobilisée afin de réserver un accueil chaleureux à leurs hôtes.
Portant la parole du ministre des Ressources animales et halieutiques, le général Issa Coulibaly a tenu à rappeler que cette cérémonie de pose de première pierre se tient exactement 15 jours après le lancement officiel des Projets d’abattoirs industriels de volaille en Côte d’ivoire (Pav-Ci) et de modernisation du secteur avicole (Pmsa).
Selon lui, il s’agit donc d’une traduction concrète de la stratégie du gouvernement déclinée dans le Plan stratégique de relance de l’aviculture (Psra).
Également, si l’on en croit le ministre Sidi Touré, à travers le discours qui a été lu par le ministre-gouverneur du district autonome des savanes, cette stratégie du gouvernement n’aurait pu être mise en œuvre sans la claire vision du Président de la République, Alassane Ouattara, un homme pragmatique et sincère. Qui avait une grande complicité avec le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly.
Et d’affirmer que c’est sous le leadership justement du défunt Premier ministre que le projet abattoir industriel de volaille en Côte d’ivoire a vu le jour. « Il l’a même inscrit dans les priorités du gouvernement et dans tous les documents transmis au niveau sous-régional et international », s’est rappelé l’ex-ministre de la Fonction publique.
Revenant sur le Pav-Ci, le porte-parole du ministre des Ressources animales et halieutiques a révélé que c’est une initiative mûrie dans un cadre de partenariat public-privé.
A cette étape, dira-t-il, ce projet prend toute sa place dans le processus de développement de l’aviculture ivoirienne, notamment avec le Psra II qui vise une production d’environ 200 000 tonnes de viande de volaille à l’horizon 2030.
« Au-delà, la volonté du gouvernement est de faire de l’aviculture ivoirienne une filière compétitive respectueuse de l’environnement dans un écosystème commercial régional et mondial concurrentiel à l’horizon 2030 », a-t-il souligné. Non sans affirmer qu’il s’agit d’arriver à couvrir les besoins de la Côte d’Ivoire avec au moins 6 kg de viande de volaille pour chaque habitant annuellement dans des conditions de biosécurité, d’hygiène, de salubrité et de qualité acceptables pour le bonheur et la bonne santé des populations.
« C’est tout l’intérêt que revêt le Pav-Ci », a-t-il fait savoir.
Le Pav-Ci entend contribuer à l’amélioration de la compétitivité des produits avicoles locaux par la modernisation du circuit de commercialisation des poulets, à travers les abattages contrôlés de poulets.
En plus de cela, le Pav-Ci permet d’assurer un meilleur encadrement des aviculteurs et revendeurs de volaille tout en les préservant des zoonoses aviaires telles que la grippe aviaire hautement pathogène.
« Avec cet abattoir installé dans votre zone, vos soucis de commercialisation seront complètement réglés », a assuré le ministre-gouverneur. Avant de clore ses propos, le général Issa Coulibaly a tenu, au nom du ministre des Ressources animales et halieutiques, à traduire toute sa gratitude à l’Italie et à toutes les structures financières ivoiriennes qui ont permis de couvrir la totalité du besoin financier sollicité en vue de la réalisation de ce projet dont le coût est estimé à plus de 15 milliards de FCfa.
Au nom de l’ambassade de l’Italie en Côte d’ivoire, Andréa Rossy a affirmé que son pays est fier d’être aux côtés du gouvernement ivoirien pour réaliser ces abattoirs qui vont améliorer la filière volaille du pays. Il a félicité le gouvernement pour cette belle initiative.
Quant à Lazani Coulibaly, il a rendu un vibrant hommage au défunt Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, qui a voulu que cet abattoir soit construit dans le village de Kafiné. Aussi, a-t-il souhaité que l’essentiel de la main d’œuvre de cette infrastructure soit recruté à Korhogo et singulièrement dans le village de Kafiné.
Au nom des heureux bénéficiaires, Tiéfing Koné a remercié l’État de Côte d’ivoire avec à sa tête, le Président de la République, Alassane Ouattara, qui a choisi Korhogo pour réaliser une telle infrastructure. Ils ont souhaité vivement qu’une fois la première pierre posée que le projet puisse aller jusqu’à son terme pour le bonheur des populations de Kafiné et de Korhogo.
Envoyé spécial à Korhogo