Le président du Conareci, Angra Sébime et le Dga d’Ivosep, Chrystel Malan, ont signé le document qui les lie désormais. (DR)
Le président du Conareci, Angra Sébime et le Dga d’Ivosep, Chrystel Malan, ont signé le document qui les lie désormais. (DR)
Assistance funéraire : Un opérateur des pompes funèbres signe un protocole avec des retraités
Permettre aux retraités de choisir, de leur vivant, le type d’obsèques et de sépulture qu’ils souhaitent avoir à leur décès. Cela peut paraître surréaliste, mais c’est la nature du contrat qui lie désormais le Conseil national des retraités du public et du privé de Côte d’Ivoire (Conareci) et l’Ivoirienne de sépulture (Ivosep). La convention a été officiellement signée le 4 novembre, au Palm-Club de Cocody.
A en croire le président du Conareci, Angra Sébime, des parents de retraités sont souvent confrontés à des difficultés pour l’organisation d’obsèques dignes, lorsque ces derniers sont rappelés à Dieu. Puisque, explique-t-il, nombre de personnes, bien qu’étant à la retraite, continuent d’être les principales pourvoyeuses de ressources financières à la famille.
Face à ce tableau peu reluisant, l’opérateur des pompes funèbres et le Conseil des retraités ont convenu de mettre en place un mécanisme qui viendrait corriger ces difficultés face à la mort.
Le protocole prévoit que le retraité choisisse une formule qui part du package économique au package prestige. Qui prend en compte, entre autres l’enlèvement du corps, le cercueil, la conservation...
Selon son choix, le retraité doit solder, sur la base de sa pension, la totalité du coût de son choix, sur une période de 60 mois. Le prélèvement des sommes se font à la base, par la Caisse générale de retraite des agents de l’État (Cgrae).
Le président du Conareci a souhaité que l’opérateur des pompes funèbres démarche auprès de la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps), afin qu’elle accompagne le processus, pour le bonheur des retraités du privé. Aussi, le Conareci et son partenaire entendent-ils organiser une campagne de sensibilisation à l’endroit des retraités à travers le pays.
Au nom de la Cgrae, le directeur adjoint des prestations, Emoloh Da Silva, a rassuré les deux parties de ce que son institution ne ménagera aucun effort pour reverser les primes, afin de faciliter la mise en œuvre du projet.
La directrice générale adjointe d’Ivosep, Chrystel Malan, a enrichi les débats, pour rassurer davantage les membres de la Conareci, venus nombreux à la signature de convention.
Face à ce tableau peu reluisant, l’opérateur des pompes funèbres et le Conseil des retraités ont convenu de mettre en place un mécanisme qui viendrait corriger ces difficultés face à la mort.
Le protocole prévoit que le retraité choisisse une formule qui part du package économique au package prestige. Qui prend en compte, entre autres l’enlèvement du corps, le cercueil, la conservation...
Selon son choix, le retraité doit solder, sur la base de sa pension, la totalité du coût de son choix, sur une période de 60 mois. Le prélèvement des sommes se font à la base, par la Caisse générale de retraite des agents de l’État (Cgrae).
Le président du Conareci a souhaité que l’opérateur des pompes funèbres démarche auprès de la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps), afin qu’elle accompagne le processus, pour le bonheur des retraités du privé. Aussi, le Conareci et son partenaire entendent-ils organiser une campagne de sensibilisation à l’endroit des retraités à travers le pays.
Au nom de la Cgrae, le directeur adjoint des prestations, Emoloh Da Silva, a rassuré les deux parties de ce que son institution ne ménagera aucun effort pour reverser les primes, afin de faciliter la mise en œuvre du projet.
La directrice générale adjointe d’Ivosep, Chrystel Malan, a enrichi les débats, pour rassurer davantage les membres de la Conareci, venus nombreux à la signature de convention.