72 Heures du Burkina Faso : Tout feu, tout flamme
La 1ère édition des ‘’72 Heures du Burkina Faso’’ a tenu ses promesses.
Débuté le 5 novembre dernier, au Palais de la Culture de Treichville, les festivités pour la valorisation et la promotion de la culture burkinabè se sont achevées le dimanche 7 novembre.
Au cours de ce grand rendez-vous culturel, les populations sont venues des quatre coins de la Côte d’Ivoire pour vivre ces moments riches en sons et en couleurs. Elles se sont imprégnées des valeurs de cette communauté.
Personne ne voulait se faire conter ces trois jours d’aventure gastronomique, musicale, artistique...
Des rencontres d’échange, des expositions-vente de produits made in Burkina Faso, le défilé des pagnes traditionnels de ce pays (Faso Dafani et Koko Dunda), le diner gala ... ont émerveillé le public qui a fait le déplacement.
Présent, le consul Hervé Bazié, représentant l’ambassadeur du Burkina Faso s’est dit heureux que cet événement se tienne dans la capitale abidjanaise. Une façon de montrer au monde entier que nous sommes des pays frères. ‘’Il faut être fier de sa tradition, la conserver et la mettre en valeur afin d’avoir des repères sociétaux'', a-t-il affirmé.
C’est pourquoi, il a invité la diaspora à s’imprégner et tirer des enseignements de ce qu’offrent les us et les coutumes. Quant au président du réseau des jeunes serviables de la diaspora burkinabè en Côte d’Ivoire (Rjsb), Laziz Sawadogo, il s’est réjoui que ces ‘’ 72 Heures’’ soient des moments de retrouvailles et de partage pour le peuple burkinabè.
Selon lui, c’est une occasion d’exporter et de vendre l’industrie du Burkina Faso. Avant d’ajouter que ‘’ Nous les jeunes de la diaspora, nous sommes des ambassadeurs de notre pays. Seule la culture est le moyen pour nous faire connaître (...)’’.
Belle cérémonie qui a vu la participation de plusieurs autorités du pays des hommes intègres tels que Djénéba Ta Ouédrago, 2e adjointe au maire de Bobo-Dioulasso, Adam Belem, parrain de cette fête, des stylistes-modélistes et artistes de renom.
Florence Edie
Personne ne voulait se faire conter ces trois jours d’aventure gastronomique, musicale, artistique...
Des rencontres d’échange, des expositions-vente de produits made in Burkina Faso, le défilé des pagnes traditionnels de ce pays (Faso Dafani et Koko Dunda), le diner gala ... ont émerveillé le public qui a fait le déplacement.
Présent, le consul Hervé Bazié, représentant l’ambassadeur du Burkina Faso s’est dit heureux que cet événement se tienne dans la capitale abidjanaise. Une façon de montrer au monde entier que nous sommes des pays frères. ‘’Il faut être fier de sa tradition, la conserver et la mettre en valeur afin d’avoir des repères sociétaux'', a-t-il affirmé.
C’est pourquoi, il a invité la diaspora à s’imprégner et tirer des enseignements de ce qu’offrent les us et les coutumes. Quant au président du réseau des jeunes serviables de la diaspora burkinabè en Côte d’Ivoire (Rjsb), Laziz Sawadogo, il s’est réjoui que ces ‘’ 72 Heures’’ soient des moments de retrouvailles et de partage pour le peuple burkinabè.
Selon lui, c’est une occasion d’exporter et de vendre l’industrie du Burkina Faso. Avant d’ajouter que ‘’ Nous les jeunes de la diaspora, nous sommes des ambassadeurs de notre pays. Seule la culture est le moyen pour nous faire connaître (...)’’.
Belle cérémonie qui a vu la participation de plusieurs autorités du pays des hommes intègres tels que Djénéba Ta Ouédrago, 2e adjointe au maire de Bobo-Dioulasso, Adam Belem, parrain de cette fête, des stylistes-modélistes et artistes de renom.
Florence Edie