Cheick Bamba dit Medy, secrétaire général de la Fédération ivoirienne d’équitation. (DR)
Affiliation de clubs ivoiriens à la Fédération française/Médy Bamba (Sg de la Fie): « C'est inacceptable ! »
Cheick Bamba dit Medy, secrétaire général de la Fédération ivoirienne d’équitation (Fie) face à la presse n’a pas hésité à faire la lumière sur la crise que l’on veut créer dans la famille de l’équitation en Côte d’Ivoire.
Pour lui, « il ne s’agit ni plus, ni moins que le prolongement d’une guéguerre entre trois clubs ivoiriens affiliés à la fédération française et qui refusent de reconnaître l’autorité de la Fédération ivoirienne présidée par Stéphane Ouégnin », a-t-il insisté. Il a corroboré ses dires avec des documents qui révoltent plus d’un, 61 ans après les indépendances.
En effet, un courrier signé de Paul Lanchais adressé à la fin de l’année 2020 « aux dirigeants des centres équestres d’Afrique affiliés à la Fédération française d’équitation (Ffe) » est édifiant.
« Les soi-disant deux grands clubs que sont Horse Académie de Sophie Didier Laurent et le club Saint Michel de Charles Emmanuel Yacé agissent comme si l’on était encore en période coloniale et cela nous ne pouvons l’accepter ; C'est inacceptable qu'en 2021 des clubs ivoiriens soient affiliés à la fédération française d'équitation », a martelé le secrétaire général de la fédération. Qui commence à croire que cette entente secrète entre ces clubs en terre ivoirienne et l’association française plombe l’épanouissement du cheval en Côte d’Ivoire.
Depuis hier, il a pris son bâton de pèlerin pour sillonner les différents clubs équestres pour dit-il leur apporter l’information juste. Cheville ouvrière de la fédération ivoirienne, Cheick Bamba n’a pas parlé dans le vide.
« Ce que je ne comprends pas ; ils courent au ministère des Sports, sans honte, pour qu’on les aide à torpiller le beau travail abattu par la fédération. Heureusement M. le ministre est très vigilant. Pendant longtemps, ils ont berné les Ivoiriens en venant leur présenter des trophées de vacances de leurs enfants comme étant de gros exploits réalisés à l’international. Tout cela ne doit plus prospérer », estime Medy.
C’est pourquoi ce jeune chef d’entreprise, se joint au président Stéphane Ouégnin pour parler aux clubs démunis. « Il faut qu’ils comprennent que ceux qui se présentent aujourd’hui comme leurs défenseurs les utilisent. Est-ce qu’ils savent que M. Lonfo Moumouni, bien que n’ayant plus de club a perçu l’aide Covid-19 de la Fédération à hauteur de 1,5 million de F Cfa ? Savent-ils que tous ces présidents de clubs qui s’agitent ont voté pour adopter les statuts et le règlement intérieur de la fédération, qui ont été déposés à la préfecture et transmis à la Fédération équestre internationale (Fei) ? », s’interroge-t-il. Tel est le but de sa tournée du dimanche.
En effet, un courrier signé de Paul Lanchais adressé à la fin de l’année 2020 « aux dirigeants des centres équestres d’Afrique affiliés à la Fédération française d’équitation (Ffe) » est édifiant.
« Les soi-disant deux grands clubs que sont Horse Académie de Sophie Didier Laurent et le club Saint Michel de Charles Emmanuel Yacé agissent comme si l’on était encore en période coloniale et cela nous ne pouvons l’accepter ; C'est inacceptable qu'en 2021 des clubs ivoiriens soient affiliés à la fédération française d'équitation », a martelé le secrétaire général de la fédération. Qui commence à croire que cette entente secrète entre ces clubs en terre ivoirienne et l’association française plombe l’épanouissement du cheval en Côte d’Ivoire.
Depuis hier, il a pris son bâton de pèlerin pour sillonner les différents clubs équestres pour dit-il leur apporter l’information juste. Cheville ouvrière de la fédération ivoirienne, Cheick Bamba n’a pas parlé dans le vide.
« Ce que je ne comprends pas ; ils courent au ministère des Sports, sans honte, pour qu’on les aide à torpiller le beau travail abattu par la fédération. Heureusement M. le ministre est très vigilant. Pendant longtemps, ils ont berné les Ivoiriens en venant leur présenter des trophées de vacances de leurs enfants comme étant de gros exploits réalisés à l’international. Tout cela ne doit plus prospérer », estime Medy.
C’est pourquoi ce jeune chef d’entreprise, se joint au président Stéphane Ouégnin pour parler aux clubs démunis. « Il faut qu’ils comprennent que ceux qui se présentent aujourd’hui comme leurs défenseurs les utilisent. Est-ce qu’ils savent que M. Lonfo Moumouni, bien que n’ayant plus de club a perçu l’aide Covid-19 de la Fédération à hauteur de 1,5 million de F Cfa ? Savent-ils que tous ces présidents de clubs qui s’agitent ont voté pour adopter les statuts et le règlement intérieur de la fédération, qui ont été déposés à la préfecture et transmis à la Fédération équestre internationale (Fei) ? », s’interroge-t-il. Tel est le but de sa tournée du dimanche.