Arts plastiques / Pour célébrer ses 55 ans de carrière: Samir Zarour tout en bleu et vert
Le plasticien Samir Zarour sera de retour sur les cimaises le 9 décembre, au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire. Pour cette exposition qui marque la célébration de ses 55 ans de carrière picturale, le premier boursier et diplômé de l’État de Côte d'Ivoire, affecté à l’École des Beaux-Arts de Paris, présentera 38 tableaux de ses dernières créations.
Face à la presse, le 16 novembre, dans un restaurant à la Riviera 3, l'artiste peintre a donné les grandes lignes de cette exposition dont le vernissage sera présidé par le collectionneur Adama Toungara, Médiateur de la République.
Définissant son art, Samir Zarour, s’inscrit dans le figuratif, le surréalisme, mais aussi le romantique. « Chaque artiste doit avoir sa personnalité. L'abstrait, c'est la hauteur plus la profondeur. Quand on est figuratif, il faut donner autre chose. Dans la vie, il faut toujours prendre sa direction, avoir sa propre trajectoire et avancer », a-t-il expliqué.
Contrairement à ses inspirations passées, Samir Zarour puise aujourd’hui dans les couleurs chaudes, plus chaleureuses, vivantes et romantiques. « Avant, mes tableaux étaient un peu tristes, pâles, avec notamment le gris. J'ai explosé avec l'âge. Aujourd'hui, j'utilise les couleurs chaudes. Le vert et le bleu sont mes couleurs de prédilection. J'adore les coucher du soleil, la mer, etc. », a révélé l’artiste peintre qui, malgré le poids de l’âge, reste toujours inspiré. « Il n'y a pas d'âge pour un artiste pour créer. Je suis un peintre. Tout peut m'inspirer. Je ne me cloisonne pas dans un thème. Mais la femme est un sujet récurrent dans mes œuvres. On peut créer une œuvre d'art dans tout ce qu'on voit. La nature est tellement belle. On ne regarde pas assez le coucher du soleil. C'est toute la beauté de la nature, de la vie, que je fais ressortir dans mes œuvres », a décrit le formateur de James Houra, Monné Bou et Mathilde Moreau, de grosses pointures de la peinture ivoirienne.
Si des ennuis de santé et les contingences sociales l’ont éloigné des cimaises, il en a tout de même tiré avantage pour créer et préparer cette célébration.
« Cela fait trois années que je n'ai plus exposé en Côte d'Ivoire. En principe, j'organise tous les deux ans une exposition dans mon pays. Je n'ai pu le faire l'année dernière à cause de l'élection présidentielle, de la survenue de la Covid-19, mais aussi de mes opérations (au genou droit et à l'épaule gauche que j'ai cassée) et du suivi médical de mon épouse en France. Mais j'ai mis ce temps à profit. L'appétit venant en mangeant, j'étais tout le temps inspiré. Grâce à la Covid-19, mes opérations et le suivi médical de ma femme, j'ai donc beaucoup travaillé pendant ce temps de confinement en France. Avec cette exposition, je signe donc mon retour pour montrer aux amateurs d’art le fruit de mes nouvelles inspirations », a indiqué Samir Zarour, avant d’inviter tous les Ivoiriens à cette exposition, qui se présente comme la célébration de ses 55 ans de carrière artistique.
Définissant son art, Samir Zarour, s’inscrit dans le figuratif, le surréalisme, mais aussi le romantique. « Chaque artiste doit avoir sa personnalité. L'abstrait, c'est la hauteur plus la profondeur. Quand on est figuratif, il faut donner autre chose. Dans la vie, il faut toujours prendre sa direction, avoir sa propre trajectoire et avancer », a-t-il expliqué.
Contrairement à ses inspirations passées, Samir Zarour puise aujourd’hui dans les couleurs chaudes, plus chaleureuses, vivantes et romantiques. « Avant, mes tableaux étaient un peu tristes, pâles, avec notamment le gris. J'ai explosé avec l'âge. Aujourd'hui, j'utilise les couleurs chaudes. Le vert et le bleu sont mes couleurs de prédilection. J'adore les coucher du soleil, la mer, etc. », a révélé l’artiste peintre qui, malgré le poids de l’âge, reste toujours inspiré. « Il n'y a pas d'âge pour un artiste pour créer. Je suis un peintre. Tout peut m'inspirer. Je ne me cloisonne pas dans un thème. Mais la femme est un sujet récurrent dans mes œuvres. On peut créer une œuvre d'art dans tout ce qu'on voit. La nature est tellement belle. On ne regarde pas assez le coucher du soleil. C'est toute la beauté de la nature, de la vie, que je fais ressortir dans mes œuvres », a décrit le formateur de James Houra, Monné Bou et Mathilde Moreau, de grosses pointures de la peinture ivoirienne.
Si des ennuis de santé et les contingences sociales l’ont éloigné des cimaises, il en a tout de même tiré avantage pour créer et préparer cette célébration.
« Cela fait trois années que je n'ai plus exposé en Côte d'Ivoire. En principe, j'organise tous les deux ans une exposition dans mon pays. Je n'ai pu le faire l'année dernière à cause de l'élection présidentielle, de la survenue de la Covid-19, mais aussi de mes opérations (au genou droit et à l'épaule gauche que j'ai cassée) et du suivi médical de mon épouse en France. Mais j'ai mis ce temps à profit. L'appétit venant en mangeant, j'étais tout le temps inspiré. Grâce à la Covid-19, mes opérations et le suivi médical de ma femme, j'ai donc beaucoup travaillé pendant ce temps de confinement en France. Avec cette exposition, je signe donc mon retour pour montrer aux amateurs d’art le fruit de mes nouvelles inspirations », a indiqué Samir Zarour, avant d’inviter tous les Ivoiriens à cette exposition, qui se présente comme la célébration de ses 55 ans de carrière artistique.