Légende : Le ministre Siandou Fofana a présidé la cérémonie d’ouverture. (Dr)
1ère édition de l’Université africaine du tourisme: Les défis et les perspectives du secteur au cœur des débats
La première édition de l’Université africaine du tourisme a ouvert ses portes le mercredi 17 novembre 2021, au Radisson Blu hôtel Airport, à Port-Bouët (Abidjan). Une occasion idoine pour les différents acteurs d’échanger et de s’informer sur le secteur du tourisme.
Cette édition est une initiative d'Ethsun Institute, en collaboration avec le ministère du Tourisme et des Loisirs. Au cours de cette rencontre, le ministre du Tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana, par ailleurs recteur honorifique, a salué cette initiative qui entre dans le cadre du renforcement des capacités des acteurs du secteur du tourisme. Tout en relevant l’importance de cette université qui, selon lui, vient à point nommé à la sortie de la crise du Covid-19.
« Au moment où nous parlons de relance, il est important de répondre à des défis afin qu’il y ait des adaptations liées à la capacité, la compétence de certains acteurs pour que chacun puisse vivre ce changement avec beaucoup de motivation », a-t-il souligné.
Dans son grand oral sur le thème : “Formation des acteurs du secteur du tourisme en Côte d’Ivoire : Enjeux, réalités et perspectives”, le ministre Siandou Fofana a insisté sur la formation des différents acteurs afin d’avoir des ressources humaines de qualité car la qualité d’un homme réside dans sa formation et sa culture.
« Au niveau des enjeux, il y a ceux liés à la lutte contre la fracturation numérique dans le secteur du tourisme car il est fortement impacté par le numérique. L’on assiste à beaucoup d’innovations et en s’appuyant sur le digital plusieurs choses ont changé. Ainsi, il faut faire une anticipation afin d’avoir des personnes de qualité », a-t-il déclaré.
Plus loin, le ministre du Tourisme et des Loisirs a invité les acteurs à quitter le secteur informel s’ils veulent bénéficier des programmes d’apprentissage et des mécanismes de financement.
« En Côte d’Ivoire, certains acteurs se contentent de rester dans le secteur informel. En restant dans ce secteur, ils échappent à tous ce qui est innovations, formations car ils ne sont pas cotisants au niveau du Fdfp et ils ne bénéficient pas des taxes d’apprentissage pour qu’il y ait une remise de prise en compte de leur besoin de formation. Aussi, ils ne peuvent pas prétendre à des modes de financement et à la mise en place des mécanismes de financement de leur activité », exhorte-t-il.
Jean-Calvin Ethien, président exécutif d’Ethsun Institute, a situé les enjeux de cette édition. A l’en croire, cette initiative entre dans le cadre du renforcement des capacités des principaux acteurs dudit secteur, afin qu'ils soient capables d’accélérer la croissance de leur entreprise.
Cette première édition a été marquée par un panel autour du thème : « Résilience et relance des activités dans le secteur du tourisme et des loisirs dans le contexte de la Covid » animé par Diasso Gustave, représentant de la commission de l’Uemoa en Côte d’Ivoire.
ANGE KUMASSI (Stagiaire)
« Au moment où nous parlons de relance, il est important de répondre à des défis afin qu’il y ait des adaptations liées à la capacité, la compétence de certains acteurs pour que chacun puisse vivre ce changement avec beaucoup de motivation », a-t-il souligné.
Dans son grand oral sur le thème : “Formation des acteurs du secteur du tourisme en Côte d’Ivoire : Enjeux, réalités et perspectives”, le ministre Siandou Fofana a insisté sur la formation des différents acteurs afin d’avoir des ressources humaines de qualité car la qualité d’un homme réside dans sa formation et sa culture.
« Au niveau des enjeux, il y a ceux liés à la lutte contre la fracturation numérique dans le secteur du tourisme car il est fortement impacté par le numérique. L’on assiste à beaucoup d’innovations et en s’appuyant sur le digital plusieurs choses ont changé. Ainsi, il faut faire une anticipation afin d’avoir des personnes de qualité », a-t-il déclaré.
Plus loin, le ministre du Tourisme et des Loisirs a invité les acteurs à quitter le secteur informel s’ils veulent bénéficier des programmes d’apprentissage et des mécanismes de financement.
« En Côte d’Ivoire, certains acteurs se contentent de rester dans le secteur informel. En restant dans ce secteur, ils échappent à tous ce qui est innovations, formations car ils ne sont pas cotisants au niveau du Fdfp et ils ne bénéficient pas des taxes d’apprentissage pour qu’il y ait une remise de prise en compte de leur besoin de formation. Aussi, ils ne peuvent pas prétendre à des modes de financement et à la mise en place des mécanismes de financement de leur activité », exhorte-t-il.
Jean-Calvin Ethien, président exécutif d’Ethsun Institute, a situé les enjeux de cette édition. A l’en croire, cette initiative entre dans le cadre du renforcement des capacités des principaux acteurs dudit secteur, afin qu'ils soient capables d’accélérer la croissance de leur entreprise.
Cette première édition a été marquée par un panel autour du thème : « Résilience et relance des activités dans le secteur du tourisme et des loisirs dans le contexte de la Covid » animé par Diasso Gustave, représentant de la commission de l’Uemoa en Côte d’Ivoire.
ANGE KUMASSI (Stagiaire)