100e AG de la Fédération équestre internationale: Zaki et Souley racontent les coulisses d’Anvers 2021
La Fédération équestre internationale (Fei) était en conclave à Anvers, en Belgique du 14 au 17 novembre. La centième assemblée générale qui s’est tenue devant le gotha mondial a été marquée par la présence remarquée de la Côte d’Ivoire. Une des dernières nations de la planète à adhérer à cette auguste instance. C’était lors de l’assemblée générale de novembre 2019, à Moscou (Russie).
Deux ans après, le pays est heureux de s’asseoir à la même table que le président Ingmar De Vos et des dirigeants mondiaux de la discipline. « Ça s’est très bien passé. Plusieurs pays ont effectué le déplacement. Nous sommes plutôt heureux de pouvoir discuter avec des fédérations plus mâtures que nous et ayant plus d’expérience. Ce fut une occasion pour nous de tisser des partenariats et même de chercher à faire des jumelages avec des organisations plus outillées et plus nanties que nous », confie Ismaël Zaki, vice-président, président de la commission discipline qui représentait la fédération ivoirienne, avec Souleymane Fofana, vice-président.
Pour Souley, cette assemblée générale était spéciale : « c’est la première fois qu’elle se déroule en mode hybride (présentiel et virtuel) du fait de la pandémie à coronavirus ». En plus de leur participation remarquée à l’assemblée générale de la Fei, ils ont beaucoup œuvré dans le cadre de la Confédération africaine d’équitation.
« En effet, il y a eu une séance de travail pour préparer les Jeux de la jeunesse à Alger, en janvier prochain et surtout sur l’élection du nouveau président de la Confédération, en décembre prochain », note Ismaël Zaki.
Pour lui, « C’était un rendez-vous capital qui nous a permis de faire connaître la vision de notre président, Stéphane Ouégnin, pour le sport équestre dans notre pays et dans la sous-région ouest-africaine », précise Ismaël Zaki, qui annonce de belles perspectives pour la Côte d’Ivoire. « En plus du Maroc avec qui nous avons déjà de très bons liens, les fédérations belge, dominicaine et autrichienne sont très enthousiastes à l’idée de nous aider », annonce-t-il.
A noter qu’avec le Maroc, la Fie a bénéficié de plusieurs formations pour ses professionnels pendant 6 mois. Il y a un mois, un expert marocain, Radoine Elhaoussa, s’est déplacé à Abidjan pendant 1 mois pour former des spécialistes ivoiriens.
Résumant le grand rassemblement de haut niveau, en Belgique, Souley Fofana indique « qu’il était question de présenter les différents bilans de l’année dernière et de procéder à l’élection des différents présidents de commissions, voter de nouvelles propositions de règles. Par exemple, la compétition en équipe de 3 ou 4. Sur ce point, le choix de la Côte d’Ivoire a été bien évidemment porté sur les équipes de 3 (plus faciles et moins coûteuses dans la préparation pour les jeunes fédérations comme la nôtre) ».
Le vice-président de la Fie a souligné également le vote concernant les règles de qualification aux Jeux olympiques de Paris 2024 qu’ils ont eu à faire en Belgique.
Pour Souley, cette assemblée générale était spéciale : « c’est la première fois qu’elle se déroule en mode hybride (présentiel et virtuel) du fait de la pandémie à coronavirus ». En plus de leur participation remarquée à l’assemblée générale de la Fei, ils ont beaucoup œuvré dans le cadre de la Confédération africaine d’équitation.
« En effet, il y a eu une séance de travail pour préparer les Jeux de la jeunesse à Alger, en janvier prochain et surtout sur l’élection du nouveau président de la Confédération, en décembre prochain », note Ismaël Zaki.
Pour lui, « C’était un rendez-vous capital qui nous a permis de faire connaître la vision de notre président, Stéphane Ouégnin, pour le sport équestre dans notre pays et dans la sous-région ouest-africaine », précise Ismaël Zaki, qui annonce de belles perspectives pour la Côte d’Ivoire. « En plus du Maroc avec qui nous avons déjà de très bons liens, les fédérations belge, dominicaine et autrichienne sont très enthousiastes à l’idée de nous aider », annonce-t-il.
A noter qu’avec le Maroc, la Fie a bénéficié de plusieurs formations pour ses professionnels pendant 6 mois. Il y a un mois, un expert marocain, Radoine Elhaoussa, s’est déplacé à Abidjan pendant 1 mois pour former des spécialistes ivoiriens.
Résumant le grand rassemblement de haut niveau, en Belgique, Souley Fofana indique « qu’il était question de présenter les différents bilans de l’année dernière et de procéder à l’élection des différents présidents de commissions, voter de nouvelles propositions de règles. Par exemple, la compétition en équipe de 3 ou 4. Sur ce point, le choix de la Côte d’Ivoire a été bien évidemment porté sur les équipes de 3 (plus faciles et moins coûteuses dans la préparation pour les jeunes fédérations comme la nôtre) ».
Le vice-président de la Fie a souligné également le vote concernant les règles de qualification aux Jeux olympiques de Paris 2024 qu’ils ont eu à faire en Belgique.