Mahama Coulibaly, président de la Fédération ivoirienne de basket-ball. (Dr)
Mahama Coulibaly (président de la Fibb) : « Il faut que la deuxième fenêtre se tienne à Abidjan »
Après la brillante performance des Éléphants, du 26 au 29 novembre 2021, en Angola, le patron national de la balle au panier veut voir l'équipe jouer devant son public au Palais des Sports de Treichville.
Que doit-on retenir de cette 1ère fenêtre des qualifications du Mondial 2023 ?
La mission a été accomplie. La Côte d’Ivoire a confirmé son statut de leader africain. Figurez-vous que nous avons évolué dans un contexte particulier, mais nous avons réussi à battre l’Angola pour la première fois depuis 1985. Nous sommes partis dans ce pays sans notre effectif au complet. Mais on a démontré qu’on n’a pas usurpé notre 2e place à l’Afrobasket de Kigali. Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire a une vraie équipe. Et le Mondial 2023 devient une priorité pour nous.
Pensez-vous déjà à la prochaine fenêtre ?
Dans un premier temps, il faut que nous rentrions à Abidjan pour faire le point sur cette première fenêtre. Ensuite, nous verrons ce qu’il y a lieu de faire. Mais le fait d’avoir plané sur cette fenêtre 1 nous met dans une position favorable. Nous allons permettre aux joueurs de rentrer dans leurs clubs respectifs, afin de se préparer pour la prochaine fenêtre prévue en juin-juillet 2022.
Il était prévu que cette première fenêtre se déroule à Abidjan. Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
En effet, nous avions souhaité organiser la première fenêtre au Palais des sports de Treichville pour permettre aux Ivoiriens de communier avec leur équipe. Malheureusement, nous n’avons pas eu le soutien de l’État de Côte d’Ivoire et de Fiba Afrique. Il est inutile de revenir sur ce rendez-vous manqué d’Abidjan. Il faut se concentrer sur ce qui arrive...
Il y a encore des fenêtres à venir. Pensez-vous que l’une d’elles pourra se tenir en Côte d’Ivoire ?
Bien évidemment ! Nous sommes encore candidat pour la 2e fenêtre prévue en juin prochain. Avec le résultat que nous avons réalisé en Angola, nous espérons que cette fois-ci, le soutien de l’État ne va pas nous faire défaut. Nous avons besoin d’une compétition de cette envergure à Abidjan pour entretenir la flamme que nous avons allumée depuis que nous sommes aux affaires. C’est important pour notre politique de repositionnement du basket-ball dans le cœur des Ivoiriens.
Pensez-vous déjà à la prochaine fenêtre ?
Dans un premier temps, il faut que nous rentrions à Abidjan pour faire le point sur cette première fenêtre. Ensuite, nous verrons ce qu’il y a lieu de faire. Mais le fait d’avoir plané sur cette fenêtre 1 nous met dans une position favorable. Nous allons permettre aux joueurs de rentrer dans leurs clubs respectifs, afin de se préparer pour la prochaine fenêtre prévue en juin-juillet 2022.
Il était prévu que cette première fenêtre se déroule à Abidjan. Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
En effet, nous avions souhaité organiser la première fenêtre au Palais des sports de Treichville pour permettre aux Ivoiriens de communier avec leur équipe. Malheureusement, nous n’avons pas eu le soutien de l’État de Côte d’Ivoire et de Fiba Afrique. Il est inutile de revenir sur ce rendez-vous manqué d’Abidjan. Il faut se concentrer sur ce qui arrive...
Il y a encore des fenêtres à venir. Pensez-vous que l’une d’elles pourra se tenir en Côte d’Ivoire ?
Bien évidemment ! Nous sommes encore candidat pour la 2e fenêtre prévue en juin prochain. Avec le résultat que nous avons réalisé en Angola, nous espérons que cette fois-ci, le soutien de l’État ne va pas nous faire défaut. Nous avons besoin d’une compétition de cette envergure à Abidjan pour entretenir la flamme que nous avons allumée depuis que nous sommes aux affaires. C’est important pour notre politique de repositionnement du basket-ball dans le cœur des Ivoiriens.