Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara: Bamba Cheick, Pca pour parachever l’œuvre
« Au titre du ministère de la Promotion des Sports et du Développement de l'économie sportive, le conseil a donné son accord en vue de la nomination de monsieur Bamba Cheick Daniel en qualité de président du Conseil d'administration du centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara », c’est ainsi que le communiqué du Conseil des ministres du mercredi 1er décembre a annoncé la nouvelle destination de l’homme qui a révolutionné la pratique des arts martiaux en Côte d’Ivoire.
Le Conseil d’administration que dirigera l’ancien ministre de l’Administration du territoire, grand maître de taekwondo (Ceinture noire, 7e Dan), est composé de dix membres nommés en Conseil des ministres tenu le 20 octobre dernier au Palais de la Présidence de la République.
Il s’agit de MM. Sangaré Brahima, conseiller technique, représentant la ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora, Kouadio Jean-Jacques Konan, administrateur principal des services financiers, représentant le ministre de l’Économie et des Finances, Fayama Mohamed, administrateur principal des services financiers, représentant le ministre du Budget et du Portefeuille de l’État, Brou Kouao Narcisse, juriste, représentant le ministre de la Promotion des Sports et du Développement de l’économie sportive, Mme Isabelle Vovor, conseiller technique, représentant le ministre de l’Économie numérique, des Télécommunications et de l’Innovation, Koffi Kossounou Paul-Marie, conseiller technique, représentant la ministre de la Culture et de l’Industrie des arts et du spectacle, M. Lyu Gunjung, conseiller politique, représentant l’ambassade de la République de Corée et Madame Kim Soomin, directrice pays adjointe, représentante de l’Agence coréenne de coopération internationale.
Avec eux, aux côtés de Me Bamba Cheick Daniel, siègera également Me Diarra Hippolyte, en qualité de représentant de la Fédération ivoirienne de taekwondo (Fitkd).
Cette nomination de Bamba Cheick au poste de Pca par le gouvernement sonne comme une récompense pour le Préfet hors grade, actuel directeur général de l’Agence foncière rurale (Afor). Mais pour tous ceux qui ont suivi l’évolution du taekwondo ivoirien ces douze dernières années, ce n’est qu’un juste retour des choses. Car ce temple du taekwondo était, avant tout, un de ses rêves les plus fous.
Avant même d’accéder à la tête de la Fédération ivoirienne de taekwondo, en 2009, il avait consigné cet édifice dans un programme que ses prédécesseurs avaient du mal à concrétiser. C’est une fois à la tête de la Fédération qu’il a fait la démarche auprès des Coréens qui lui ont montré la voie à suivre pour décrocher ce gros cadeau.
Fervent chrétien, il avait confié la suite au Seigneur. Et lors de la visite historique de travail du Président Alassane Ouattara en République de Corée en octobre 2014, la construction du centre a été validée au compte des acquis de la coopération entre les deux nations.
Bamba Cheick Daniel, devenu un trait d’union entre la Corée et la Côte d’Ivoire, il faut l’avouer, bénéficie de la totale confiance de la Corée ; en témoigne cette distinction qu’il accroche fièrement à chaque grand événement (il est le seul non asiatique à bénéficier de cette marque d’attention de l’État coréen). Il s’est alors investi corps et âme afin que ce projet voit le jour.
La construction du centre sportif, débuté en 2017, s’est achevée en octobre 2020. Un temps de réalisation plutôt record qui a été possible grâce à la témérité de l’ex-patron du Dojang national. « Je n’ai pas brigué le poste de président de la Fédération pour étoffer mon carnet d’adresses. J’avais à cœur de structurer le taekwondo, lui donner une assise solide. Aucune œuvre humaine n’est parfaite, mais je crois que j’ai réussi ma mission », confiait Bamba Cheick au moment où il faisait ses adieux à la fédération.
A la tête du Conseil d’administration du centre, bien que vice-président de la Confédération africaine de taekwondo, Bamba Cheick Daniel sera au dessus de la mêlée. Le Centre Alassane Ouattara, au-delà du taekwondo, abrite un centre de Technologies de l’information et de la communication, une bibliothèque et une salle polyvalente pour la culture. Un grand centre multifonctionnel avec en son sein une grosse entreprise qui devra générer des ressources aux fins de faire vivre le centre.
Il s’agit de MM. Sangaré Brahima, conseiller technique, représentant la ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora, Kouadio Jean-Jacques Konan, administrateur principal des services financiers, représentant le ministre de l’Économie et des Finances, Fayama Mohamed, administrateur principal des services financiers, représentant le ministre du Budget et du Portefeuille de l’État, Brou Kouao Narcisse, juriste, représentant le ministre de la Promotion des Sports et du Développement de l’économie sportive, Mme Isabelle Vovor, conseiller technique, représentant le ministre de l’Économie numérique, des Télécommunications et de l’Innovation, Koffi Kossounou Paul-Marie, conseiller technique, représentant la ministre de la Culture et de l’Industrie des arts et du spectacle, M. Lyu Gunjung, conseiller politique, représentant l’ambassade de la République de Corée et Madame Kim Soomin, directrice pays adjointe, représentante de l’Agence coréenne de coopération internationale.
Avec eux, aux côtés de Me Bamba Cheick Daniel, siègera également Me Diarra Hippolyte, en qualité de représentant de la Fédération ivoirienne de taekwondo (Fitkd).
Cette nomination de Bamba Cheick au poste de Pca par le gouvernement sonne comme une récompense pour le Préfet hors grade, actuel directeur général de l’Agence foncière rurale (Afor). Mais pour tous ceux qui ont suivi l’évolution du taekwondo ivoirien ces douze dernières années, ce n’est qu’un juste retour des choses. Car ce temple du taekwondo était, avant tout, un de ses rêves les plus fous.
Avant même d’accéder à la tête de la Fédération ivoirienne de taekwondo, en 2009, il avait consigné cet édifice dans un programme que ses prédécesseurs avaient du mal à concrétiser. C’est une fois à la tête de la Fédération qu’il a fait la démarche auprès des Coréens qui lui ont montré la voie à suivre pour décrocher ce gros cadeau.
Fervent chrétien, il avait confié la suite au Seigneur. Et lors de la visite historique de travail du Président Alassane Ouattara en République de Corée en octobre 2014, la construction du centre a été validée au compte des acquis de la coopération entre les deux nations.
Bamba Cheick Daniel, devenu un trait d’union entre la Corée et la Côte d’Ivoire, il faut l’avouer, bénéficie de la totale confiance de la Corée ; en témoigne cette distinction qu’il accroche fièrement à chaque grand événement (il est le seul non asiatique à bénéficier de cette marque d’attention de l’État coréen). Il s’est alors investi corps et âme afin que ce projet voit le jour.
La construction du centre sportif, débuté en 2017, s’est achevée en octobre 2020. Un temps de réalisation plutôt record qui a été possible grâce à la témérité de l’ex-patron du Dojang national. « Je n’ai pas brigué le poste de président de la Fédération pour étoffer mon carnet d’adresses. J’avais à cœur de structurer le taekwondo, lui donner une assise solide. Aucune œuvre humaine n’est parfaite, mais je crois que j’ai réussi ma mission », confiait Bamba Cheick au moment où il faisait ses adieux à la fédération.
A la tête du Conseil d’administration du centre, bien que vice-président de la Confédération africaine de taekwondo, Bamba Cheick Daniel sera au dessus de la mêlée. Le Centre Alassane Ouattara, au-delà du taekwondo, abrite un centre de Technologies de l’information et de la communication, une bibliothèque et une salle polyvalente pour la culture. Un grand centre multifonctionnel avec en son sein une grosse entreprise qui devra générer des ressources aux fins de faire vivre le centre.