Commerce numérique et électronique : Près d’un milliard de Fcfa à Smart Africa Alliance pour renforcer l’écosystème dans 10 pays d’Afrique

Le e-commerce doit se développer en Afrique (DR)
Le e-commerce doit se développer en Afrique (DR)
Le e-commerce doit se développer en Afrique (DR)

Commerce numérique et électronique : Près d’un milliard de Fcfa à Smart Africa Alliance pour renforcer l’écosystème dans 10 pays d’Afrique

Le 18/12/21 à 13:34
modifié 18/12/21 à 16:18
Le Groupe de la Banque africaine de développement (Bad) a approuvé une subvention de près d’un milliard de Fcfa pour évaluer les lacunes des politiques dans les écosystèmes du commerce numérique et du commerce électronique dans 10 pays d'Afrique.

Selon la Bad, ces fonds provenant du Fonds africain de développement, du guichet concessionnel de la Banque, seront versés à l’Alliance Smart Africa, une alliance de 32 pays africains, d’organisations internationales et de sociétés mondiales ayant pour objectif de créer un marché numérique unique en Afrique d’ici 2030.

Nicholas Williams, directeur de la division des opérations Tic de la Banque, a déclaré : « Ce projet est à la fois opportun et vital. Pour que le continent crée un marché numérique unifié d'ici 2030, les efforts doivent se concentrer sur l'harmonisation et la construction d'un environnement politique cohérent pour le commerce intra-continental. La Banque est ravie de s'associer à la Smart Africa Alliance pour faire progresser les principaux objectifs stratégiques qui soutiendront le développement numérique dans toute l'Afrique ».

Le projet étudiera l'environnement politique dans 10 pays Que sont notamment, la Côte d’Ivoire, Bénin, Ghana, Libéria, Ouganda, Soudan du Sud, Zimbabwe, République du Congo, São Tomé et Príncipe et République démocratique du Congo.

Smart Africa consultera les acteurs des secteurs public et privé pour développer un programme de formation en ligne qui bénéficiera directement à 600 parties prenantes (comprenant des fonctionnaires, des petites et moyennes entreprises, des opérateurs de réseaux mobiles du secteur privé) et indirectement à 2 500 autres.


Le 18/12/21 à 13:34
modifié 18/12/21 à 16:18