La Poste Côte d’Ivoire : 3 syndicats condamnent le “mouvement de bandeaux rouges“ observé lundi
Dans une déclaration faite le mardi 4 janvier 2022, à Abidjan-Treichville, trois syndicats des agents de la Poste Côte d'Ivoire, à savoir le Synapostel, le Syntraposte et le Novistrapostel « condamnent avec la dernière énergie » un mouvement dit de « bandeaux rouges » observé le lundi 3 janvier 2022 dans certaines agences.
Dans cette déclaration, les signataires Gbeu Tokpa représentant le Synapostel ; Kangah Kodjo, secrétaire général du Syntraposte et Sablé Serge, au nom du Novistrapostel, appellent l’ensemble des agents à la sérénité, au calme et à la reprise du travail dans les différentes agences.
« Nous sommes en contact permanent avec notre ministère et nous ferons un retour le plus tôt possible », disent-ils. Avant d’inviter la direction générale de La Poste Côte d’Ivoire à continuer à suivre les instructions des autorités gouvernementales pour sortir définitivement l’entreprise de la difficile situation que vit le personnel.
Selon les signataires de ladite déclaration, les meneurs du mouvement intimaient l’ordre à leurs collègues de sortir des agences avec brutalité. Ceux-ci vandalisaient certains bureaux, empêchant les occupants d’y avoir accès. « Cette attitude engendrera des frais pour notre entreprise qui sera obligée de remplacer des serrures vandalisées », déplorent-ils.
Pour le Synapostel, le Syntraposte et le Novistrapostel, une grève actuellement s’avère inopportune, au moment où, disent-ils, la direction est à la recherche du moindre centime pour faire face aux charges quotidiennes surtout les salaires.
« Nous sommes en contact permanent avec notre ministère et nous ferons un retour le plus tôt possible », disent-ils. Avant d’inviter la direction générale de La Poste Côte d’Ivoire à continuer à suivre les instructions des autorités gouvernementales pour sortir définitivement l’entreprise de la difficile situation que vit le personnel.
Selon les signataires de ladite déclaration, les meneurs du mouvement intimaient l’ordre à leurs collègues de sortir des agences avec brutalité. Ceux-ci vandalisaient certains bureaux, empêchant les occupants d’y avoir accès. « Cette attitude engendrera des frais pour notre entreprise qui sera obligée de remplacer des serrures vandalisées », déplorent-ils.
Pour le Synapostel, le Syntraposte et le Novistrapostel, une grève actuellement s’avère inopportune, au moment où, disent-ils, la direction est à la recherche du moindre centime pour faire face aux charges quotidiennes surtout les salaires.