Transition énergétique : La Bad approuve plus d’un demi-milliard de FCfa pour soutenir le Botswana
Le Fonds pour l’énergie durable en Afrique (Sefa), géré par la Banque africaine de développement (Bad), a approuvé une subvention de plus de 500 millions de Fcfa pour faciliter la transition du Botswana vers l’énergie propre.
Selon la Banque africaine de développement, le projet d'assistance technique aide le gouvernement botswanais à combler les lacunes critiques dans les cadres politique, réglementaire et juridique qui ont été identifiées à l'Africa Energy Market Place (Aemp 2019).
A l’en croire, il s'agit notamment de l'introduction d'une planification à moindre coût, de la réduction des effets néfastes sur l'environnement et de l'appui à une participation accrue du secteur privé aux investissements dans la production d'énergie renouvelable.
Parmi les extrants notables du projet, il est mentionné un code national du réseau, une étude sur le coût du service de l'électricité et un cadre d'attribution de licences visant à réglementer les activités du secteur de l'électricité.
Les résultats du projet contribueront à la mise en oeuvre du premier plan intégré de gestion des ressources (Pir) du Botswana, facilitant ainsi les investissements dans de nouvelles capacités de production d’énergie solaire photovoltaïque et éolienne, d’au moins 100 MW et 50 MW, respectivement, d’ici 2030.
Grâce à son appui au développement du secteur de la production d'énergie renouvelable au Botswana, le projet contribue également à l'initiative Mega Solar, lancée en 2012 en collaboration avec la Namibie et les partenaires de développement, dans le but de renforcer les capacités des deux pays en matière d'énergie renouvelable, afin de permettre les exportations d'électricité vers le reste de la région.
Conceptualisé dans le cadre de la composante "charge de base verte" du Sefa, le projet "contribuera à l’élaboration de blocs de construction essentiels pour soutenir la transition énergétique du Botswana", a déclaré le Dr Daniel Schroth, Directeur par intérim pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique à la Banque africaine de développement.
A l’en croire, il s'agit notamment de l'introduction d'une planification à moindre coût, de la réduction des effets néfastes sur l'environnement et de l'appui à une participation accrue du secteur privé aux investissements dans la production d'énergie renouvelable.
Parmi les extrants notables du projet, il est mentionné un code national du réseau, une étude sur le coût du service de l'électricité et un cadre d'attribution de licences visant à réglementer les activités du secteur de l'électricité.
Les résultats du projet contribueront à la mise en oeuvre du premier plan intégré de gestion des ressources (Pir) du Botswana, facilitant ainsi les investissements dans de nouvelles capacités de production d’énergie solaire photovoltaïque et éolienne, d’au moins 100 MW et 50 MW, respectivement, d’ici 2030.
Grâce à son appui au développement du secteur de la production d'énergie renouvelable au Botswana, le projet contribue également à l'initiative Mega Solar, lancée en 2012 en collaboration avec la Namibie et les partenaires de développement, dans le but de renforcer les capacités des deux pays en matière d'énergie renouvelable, afin de permettre les exportations d'électricité vers le reste de la région.
Conceptualisé dans le cadre de la composante "charge de base verte" du Sefa, le projet "contribuera à l’élaboration de blocs de construction essentiels pour soutenir la transition énergétique du Botswana", a déclaré le Dr Daniel Schroth, Directeur par intérim pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique à la Banque africaine de développement.