Paulin Danho (ministre de la Promotion des Sports) : « Nous allons battre la Sierra Leone »
Comment trouvez-vous l’ambiance de cette Can ?
Cette Can se passe dans un contexte spécial marqué par la maladie à coronavirus qui a compliqué déjà la préparation des équipes, qui complique l’arrivée des supporters et même l’animation de cette grande compétition prestigieuse. Malgré tout cela, la Côte d’Ivoire est le seul pays à avoir ouvert ici au Cameroun, un village des Éléphants. Pour montrer que nous sommes une terre de fraternité et d’hospitalité. Nous sommes venus pour booster notre équipe et lui apporter tout le soutien nécessaire et je peux vous dire que l’ambiance est très bonne et le moral est très haut pour l’équipe ivoirienne.
Que pensez-vous de la première sortie de l’équipe face à la Guinée équatoriale ?
L’entrée en compétition a toujours été quelque chose de difficile pendant la Can. L’équipe de Côte d’Ivoire n’a pas été épargnée par le contexte sanitaire, cela a eu un impact sur leur préparation. Malgré tout cela, elle est entrée dans le jeu avec force, vigueur et beaucoup de témérité. Le résultat est à la hauteur de notre satisfaction. Il fallait prendre les trois points et l’essentiel a été assuré. Il y a eu quelques moments de frayeurs mais ce qui compte c’est la victoire.
Comment les Éléphants vont-ils aborder le prochain match contre la Sierra Leone ?
Nous prenons toutes les équipes avec la même force, la même vigueur et la même considération. Nous allons aborder ce match avec une exceptionnelle détermination de qualification. Nous avons besoin de gagner. Nous devons dès le départ mettre la pression, sans calculer, parce que nous n’avons pas besoin de nous donner des frayeurs pour la suite de la compétition. Les consignes sont claires, les Éléphants l’ont bien compris. Le match contre la Sierra Leone sera abordé avec une autre stratégie et avec beaucoup de détermination parce que nous voulons assurer la qualification dès dimanche.
A quoi doit-on s’attendre au niveau de l’animation et du soutien à l’équipe ?
Nous sommes venus non seulement avec des animateurs locaux grâce à l’implication de notre ambassade et notre consulat. La diaspora ivoirienne vivant à Douala et à Yaoundé s’est mobilisée pour nous donner plus de 500 supporters. Cela mérite d’être salué. Ils sont venus compléter le Cnse qui a un contingent de 50 personnes. Il y avait plus de 600 supporters au stade contre la Guinée équatoriale. Ils sont venus de plusieurs villes du Cameroun. Notre slogan c’est tous derrière les Éléphants.
Quel est votre pronostic contre la Sierra Leone ?
Il n’y a aucun calcul à faire, nous allons battre la Sierra Leone, c’est sûr. Pour le score, il faut dire que je n’aime pas les scores fleuves. Je veux seulement un but d’écart pour prendre les trois points, c’est l’essentiel. Maintenant, si on a la possibilité de cartonner, tant mieux. Les joueurs ont compris les consignes.
Quelle est votre appréciation concernant cette Can, au niveau de l’organisation ?
Ce n’est pas facile. Cette Can se dispute dans des conditions de bulle sanitaire avec beaucoup de restrictions or le football, c’est la convivialité, le rassemblement, c’est une dynamique. Celle-ci est freinée par des contrôles et des pass sanitaires. Les stades par conséquent ne sont pas garnis comme il le fallait. Nous devons apprendre désormais à vivre avec cet environnement du coronavirus. Sans compter les problèmes matériels et logistiques qui surgissent toujours lors des grandes organisations. Pour nous Ivoiriens, dans 15 mois, nous allons accueillir la Can. Nous sommes venus non seulement prendre le flambeau mais également nous imprégner des forces et faiblesses pour optimiser notre organisation afin de recevoir toute l’Afrique dans une Can exceptionnelle en 2023.
Que pensez-vous de la première sortie de l’équipe face à la Guinée équatoriale ?
L’entrée en compétition a toujours été quelque chose de difficile pendant la Can. L’équipe de Côte d’Ivoire n’a pas été épargnée par le contexte sanitaire, cela a eu un impact sur leur préparation. Malgré tout cela, elle est entrée dans le jeu avec force, vigueur et beaucoup de témérité. Le résultat est à la hauteur de notre satisfaction. Il fallait prendre les trois points et l’essentiel a été assuré. Il y a eu quelques moments de frayeurs mais ce qui compte c’est la victoire.
Comment les Éléphants vont-ils aborder le prochain match contre la Sierra Leone ?
Nous prenons toutes les équipes avec la même force, la même vigueur et la même considération. Nous allons aborder ce match avec une exceptionnelle détermination de qualification. Nous avons besoin de gagner. Nous devons dès le départ mettre la pression, sans calculer, parce que nous n’avons pas besoin de nous donner des frayeurs pour la suite de la compétition. Les consignes sont claires, les Éléphants l’ont bien compris. Le match contre la Sierra Leone sera abordé avec une autre stratégie et avec beaucoup de détermination parce que nous voulons assurer la qualification dès dimanche.
A quoi doit-on s’attendre au niveau de l’animation et du soutien à l’équipe ?
Nous sommes venus non seulement avec des animateurs locaux grâce à l’implication de notre ambassade et notre consulat. La diaspora ivoirienne vivant à Douala et à Yaoundé s’est mobilisée pour nous donner plus de 500 supporters. Cela mérite d’être salué. Ils sont venus compléter le Cnse qui a un contingent de 50 personnes. Il y avait plus de 600 supporters au stade contre la Guinée équatoriale. Ils sont venus de plusieurs villes du Cameroun. Notre slogan c’est tous derrière les Éléphants.
Quel est votre pronostic contre la Sierra Leone ?
Il n’y a aucun calcul à faire, nous allons battre la Sierra Leone, c’est sûr. Pour le score, il faut dire que je n’aime pas les scores fleuves. Je veux seulement un but d’écart pour prendre les trois points, c’est l’essentiel. Maintenant, si on a la possibilité de cartonner, tant mieux. Les joueurs ont compris les consignes.
Quelle est votre appréciation concernant cette Can, au niveau de l’organisation ?
Ce n’est pas facile. Cette Can se dispute dans des conditions de bulle sanitaire avec beaucoup de restrictions or le football, c’est la convivialité, le rassemblement, c’est une dynamique. Celle-ci est freinée par des contrôles et des pass sanitaires. Les stades par conséquent ne sont pas garnis comme il le fallait. Nous devons apprendre désormais à vivre avec cet environnement du coronavirus. Sans compter les problèmes matériels et logistiques qui surgissent toujours lors des grandes organisations. Pour nous Ivoiriens, dans 15 mois, nous allons accueillir la Can. Nous sommes venus non seulement prendre le flambeau mais également nous imprégner des forces et faiblesses pour optimiser notre organisation afin de recevoir toute l’Afrique dans une Can exceptionnelle en 2023.