Mes vérités: Le chien aboie...
Les contempteurs du gouvernement rient à gorge déployée actuellement. Avec la chanson de Tiken Jah Fakoly, ‘’Gouvernement 20 ans’’, ils croient avoir trouvé les paroles qui font mal. A la réalité, les paroles contenues dans sa chanson n’ont aucun sens. C’est juste bon pour amuser la galerie. Le chanteur qui veut se fait l’avocat des sans-voix pense-t-il qu’il est concevable de laisser sans sanction tous ceux qui, pendant la crise post-électorale, ont commis des crimes inimaginables en Côte d’Ivoire ? Nous n’avons pas encore oublié les exécutions sommaires qui ont eu lieu dans notre pays. Ceux qui rient aux éclats doivent demander aux parents des victimes de ‘’l’article 125’’ comment ils vivent aujourd’hui? L’artiste pense-t-il que l’on doit laisser dans la nature tous ceux qui croient que le pouvoir ne s’obtient que par les armes ? Croit-il que ceux qui ont poussé les gens dans les rues en octobre 2020 doivent se balader en poussant la chansonnette à dans le pays ?
Il crie partout qu’il y a un déficit de démocratie dans le pays. Et pourtant, il a été reçu à Abidjan sur une chaîne de télévision de grande audience. Il en est ressorti sans une seule égratignure. Nous avons en mémoire la visite de Guillaume Soro à la Rti, en juin 2003. Il a manqué de se faire lyncher par ‘’les jeunes patriotes’’ de Laurent Gbagbo, à l’époque Président de la République. Il faut éviter de prendre certains raccourcis, même si l’on veut dénigrer le régime et faire plaisir à quelqu’un. Depuis 2011, la Côte d’Ivoire est dans une nouvelle dynamique. Le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara et son équipe colmatent les brèches béantes laissées par tous ceux qui se sont succédé à la tête de notre pays, à la mort du Président Félix Houphouët-Boigny.
Il y a eu d’abord l’héritier putatif qui a bénéficié de la pluie de milliards d’après la dévaluation. Il n’a pas su les utiliser pour donner le progrès pour tous et le bonheur pour chacun qu’il avait promis aux Ivoiriens Il s’est contenté de faire ripaille. Lorsqu’il a voulu récupérer de sa gueule de bois, il a eu devant lui ‘’les jeunes gens’’ et après, un général qui a voulu manier l’épée avec lui. Il y a eu ensuite celui qui voulait qu’on lui donne le pouvoir pour qu’il le nous rende. Mais il a tellement aimé le pouvoir qu’il a refusé de nous le rendre en octobre 2010. Et pourtant, son incurie et celle de ses compagnons avaient mis le pays plus bas que terre.
Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire a complètement changé. Le Président Ouattara, comme le veut la nature, essaie de faire mieux que son ‘’père’’, Félix Houphouët-Boigny. Dans tous les secteurs, notre pays bouge. On a de nouvelles routes, de nouveaux ponts. C’est sûr que d’où il se trouve, le Bélier de Yamoussoukro, le grand bâtisseur qui a façonné la Côte d’Ivoire, se réjouit de voir le pays à nouveau en chantier. Comme dans la parabole des talents dans le livre saint des chrétiens, il est fier du Président Ouattara qui, à la différence de celui qui s’est autoproclamé héritier du père, n’a pas enfoui son talent dans la terre mais l’a multiplié.
On comprend mieux pourquoi l’actuel Chef de l’Etat bénéficie de la baraka de là-haut et que l’autre qui pensait être le chêne est tombé, déraciné par le premier vent venu. Il n’a pas la protection divine. La Côte d’Ivoire, c’est aussi la transformation de son économie avec l’amorce de son industrialisation. Nous possédons une unité acceptable d’assemblage de véhicules, n’en déplaise aux esprits chagrins qui disent qu’une telle unité existait avant. Qu’ils aillent bien fouiller dans leurs archives, ils verront la différence. A ceux qui pensent avoir trouvé leur hymne national dans la chanson de Tiken Jah Fakoly, nous disons, à la suite de Félix Houphouët-Boigny, le chien aboie, la caravane passe. La caravane du développement passera. Nous complétons avec cette phrase d’un des couplets d’une chanson d’Alpha Blondy, ‘’ils aboient de jalousie’’. Pax et bonum ! Paix et bien !
Il y a eu d’abord l’héritier putatif qui a bénéficié de la pluie de milliards d’après la dévaluation. Il n’a pas su les utiliser pour donner le progrès pour tous et le bonheur pour chacun qu’il avait promis aux Ivoiriens Il s’est contenté de faire ripaille. Lorsqu’il a voulu récupérer de sa gueule de bois, il a eu devant lui ‘’les jeunes gens’’ et après, un général qui a voulu manier l’épée avec lui. Il y a eu ensuite celui qui voulait qu’on lui donne le pouvoir pour qu’il le nous rende. Mais il a tellement aimé le pouvoir qu’il a refusé de nous le rendre en octobre 2010. Et pourtant, son incurie et celle de ses compagnons avaient mis le pays plus bas que terre.
Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire a complètement changé. Le Président Ouattara, comme le veut la nature, essaie de faire mieux que son ‘’père’’, Félix Houphouët-Boigny. Dans tous les secteurs, notre pays bouge. On a de nouvelles routes, de nouveaux ponts. C’est sûr que d’où il se trouve, le Bélier de Yamoussoukro, le grand bâtisseur qui a façonné la Côte d’Ivoire, se réjouit de voir le pays à nouveau en chantier. Comme dans la parabole des talents dans le livre saint des chrétiens, il est fier du Président Ouattara qui, à la différence de celui qui s’est autoproclamé héritier du père, n’a pas enfoui son talent dans la terre mais l’a multiplié.
On comprend mieux pourquoi l’actuel Chef de l’Etat bénéficie de la baraka de là-haut et que l’autre qui pensait être le chêne est tombé, déraciné par le premier vent venu. Il n’a pas la protection divine. La Côte d’Ivoire, c’est aussi la transformation de son économie avec l’amorce de son industrialisation. Nous possédons une unité acceptable d’assemblage de véhicules, n’en déplaise aux esprits chagrins qui disent qu’une telle unité existait avant. Qu’ils aillent bien fouiller dans leurs archives, ils verront la différence. A ceux qui pensent avoir trouvé leur hymne national dans la chanson de Tiken Jah Fakoly, nous disons, à la suite de Félix Houphouët-Boigny, le chien aboie, la caravane passe. La caravane du développement passera. Nous complétons avec cette phrase d’un des couplets d’une chanson d’Alpha Blondy, ‘’ils aboient de jalousie’’. Pax et bonum ! Paix et bien !