Simone Gbagbo: «Les membres du Conseil constitutionnel ne devront plus être nommés par le Chef de l’Etat»
Lors d’une rencontre avec plusieurs membres de la société civile, le mercredi 19 janvier 2022, à Cocody-Riviera Golf, Simone Gbagbo, présidente d’honneur du Mouvement des générations capables (Mgc) a fait des propositions relatives au dialogue politique qui reprend ce jeudi 20 janvier 2022.
Elle est revenue notamment sur le mode de désignation des membres de la Commission électorale indépendante (Cei) et du Conseil constitutionnel. Concernant la recomposition du Conseil constitutionnel, Simone Gbagbo souhaite le changement du mode de désignation desdits membres. « La recomposition du Conseil constitutionnel par le changement du mode de désignation de ses membres qui ne devront plus être nommés par le Chef de l’Etat », a-t-elle fait savoir.
Quant à la Commission électorale indépendante, elle propose que l’institution ne comprenne aucun représentant des partis politiques, ni des institutions de l’Etat. « Les acteurs de cette Cei auront un statut particulier avec des salaires et des moyens conséquents, toutes choses qui garantissent leur indépendance vis-à-vis des partis et des autorités politiques et administratives. Ces acteurs de la Cei seront recrutés par appel d’offres et en dehors des partis et mouvements politiques », souligne l’ex-Première dame.
Elle précise même que les acteurs de cette institution ne seront pas des représentants « ni du pouvoir, ni de l’opposition ».
Dans toutes les étapes du processus électoral, à en croire la présidente d'honneur du Mgc, les représentants des partis, des mouvements politiques et des organisations de la société civile se constitueront en structure d’observation.
Quant à la Commission électorale indépendante, elle propose que l’institution ne comprenne aucun représentant des partis politiques, ni des institutions de l’Etat. « Les acteurs de cette Cei auront un statut particulier avec des salaires et des moyens conséquents, toutes choses qui garantissent leur indépendance vis-à-vis des partis et des autorités politiques et administratives. Ces acteurs de la Cei seront recrutés par appel d’offres et en dehors des partis et mouvements politiques », souligne l’ex-Première dame.
Elle précise même que les acteurs de cette institution ne seront pas des représentants « ni du pouvoir, ni de l’opposition ».
Dans toutes les étapes du processus électoral, à en croire la présidente d'honneur du Mgc, les représentants des partis, des mouvements politiques et des organisations de la société civile se constitueront en structure d’observation.