Yamoussoukro : L’UNESCO et l’INP-HB préparent la phase active du projet fonds-en-dépôt chinois
Le coordonnateur du projet Unesco-fonds en dépôt chinois (CFIT), Koné Zié Daouda, a conduit à Yamoussoukro, du jeudi 20 au vendredi 21 janvier 2022, une mission de travail en vue de mettre les points focaux et la nouvelle direction de l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INPHB) en phase avec ses les modalités de gestion administratives, financières et procédures de décaissement du projet.
Le CFIT consiste de manière générale à renforcer les capacités des établissements d’enseignement supérieur technique en vue d’améliorer l’employabilité des étudiants après la formation.
Il contribuera notamment à accompagner la Côte d’Ivoire pour pallier les difficultés des jeunes à s’insérer dans le monde du travail, en remédiant au problème de l’inadéquation entre l’enseignement supérieur et le besoin de l’économie nationale.
Il s’inscrit ainsi dans la droite ligne de la vision du gouvernement ivoirien qui, à travers le plan national de développement (PND) 2021-2025, ambitionne de développer une main d’œuvre qualifiée et compétente.
Selon Zié Daouda Koné, le projet va accompagner les instituts de formation et les étudiants à avoir les compétences nécessaires pour améliorer leur développement et apporter de la valeur ajoutée dans les entreprises pour lesquelles ils seront embauchés. Le coordonnateur a ajouté qu’à travers la composante ‘’analyse du marché du travail’’, les universités partenaires adapteront les curricula de formation, « de telle sorte que lorsque l’étudiant sort de l’école, il est beaucoup plus employable ».
Unesco-fonds en dépôt chinois prend en compte la problématique genre et entrevoit intéresser un plus grand nombre de filles aux disciplines scientifiques.
« Parce que nous avons constaté que très peu de filles sont orientées ou ont l’amour des filières scientifiques, nous allons informer, sensibiliser et renforcer les capacités des jeunes filles dès le lycée, pour qu’elles puissent avoir l’amour des filières scientifiques et voir comment elles peuvent participer au développement économique de la Côte d’Ivoire », a-t-il déclaré.
Le projet se déroule dans six pays d’Afrique dont trois francophones.
En Côte d’Ivoire, les écoles partenaires sont l’école supérieure d’industrie (ESI) de Yamoussoukro et le département de science de la structure, de la matière de la technologie au sein de l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan.
« Dans le processus de l’amélioration continue nous avons besoin de ce projet pour pouvoir développer les relations avec les entreprises et les institutions de l’insertion professionnelle », a soutenu le directeur de l’ESI, le Pr Tano Aka.
Il contribuera notamment à accompagner la Côte d’Ivoire pour pallier les difficultés des jeunes à s’insérer dans le monde du travail, en remédiant au problème de l’inadéquation entre l’enseignement supérieur et le besoin de l’économie nationale.
Il s’inscrit ainsi dans la droite ligne de la vision du gouvernement ivoirien qui, à travers le plan national de développement (PND) 2021-2025, ambitionne de développer une main d’œuvre qualifiée et compétente.
Selon Zié Daouda Koné, le projet va accompagner les instituts de formation et les étudiants à avoir les compétences nécessaires pour améliorer leur développement et apporter de la valeur ajoutée dans les entreprises pour lesquelles ils seront embauchés. Le coordonnateur a ajouté qu’à travers la composante ‘’analyse du marché du travail’’, les universités partenaires adapteront les curricula de formation, « de telle sorte que lorsque l’étudiant sort de l’école, il est beaucoup plus employable ».
Unesco-fonds en dépôt chinois prend en compte la problématique genre et entrevoit intéresser un plus grand nombre de filles aux disciplines scientifiques.
« Parce que nous avons constaté que très peu de filles sont orientées ou ont l’amour des filières scientifiques, nous allons informer, sensibiliser et renforcer les capacités des jeunes filles dès le lycée, pour qu’elles puissent avoir l’amour des filières scientifiques et voir comment elles peuvent participer au développement économique de la Côte d’Ivoire », a-t-il déclaré.
Le projet se déroule dans six pays d’Afrique dont trois francophones.
En Côte d’Ivoire, les écoles partenaires sont l’école supérieure d’industrie (ESI) de Yamoussoukro et le département de science de la structure, de la matière de la technologie au sein de l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan.
« Dans le processus de l’amélioration continue nous avons besoin de ce projet pour pouvoir développer les relations avec les entreprises et les institutions de l’insertion professionnelle », a soutenu le directeur de l’ESI, le Pr Tano Aka.