Enseignement supérieur : Une nouvelle structure syndicale présentée à Adama Diawara
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Pr. Adama Diawara, a accordé une audience, le mercredi 9 février 2022, au Mouvement pour la recherche et l’enseignement supérieur de Côte d’Ivoire (Mores-CI), à son cabinet à Abidjan-Plateau.
Cette nouvelle structure syndicale a été portée sur les fonts baptismaux, le samedi 29 janvier 2022, à l’issue d’un congrès constitutif qui s’est tenu à l’amphithéâtre Mamadou Coulibaly de l’École normale supérieure (Ens) d’Abidjan.
Selon le Pr. Othémés Apolos Christophe, membre du présidium du Mores-CI, la nouvelle organisation a été créée dans l’optique de la poursuite des activités syndicales en milieu universitaire. Avec pour triptyque « apolitisme - démocratie - transparence », ce syndicat vise à redorer le blason de l’enseignant du supérieur et du chercheur qui, a un moment donné, a été écorné.
« Il s’agit pour nous de tourner la page sombre de la Coordination nationale des enseignants du supérieur et chercheur (Cnec) avec la mise en place d’une nouvelle manière de diriger », a insisté Pr Othémés. Il s’agira pour la structure, selon son porte-parole, de travailler en synergie avec la tutelle afin de voir ce qui pourra être fait à court, moyen et long termes.
À côté dudit syndicat, les enseignants comptent à terme, créer une mutuelle pour la satisfaction de certains projets sociaux.
Revenant sur les origines de la création de ce mouvement, le Pr Othémés Apolos a reconnu que la Cnec a connu quelques soucis dans son fonctionnement, ce qui a donné naissance à un bicéphalisme. Il a donc fallu un travail bien mené qui a permis depuis septembre 2019 à la réunification des deux tendances.
Un comité de suivi comprenant les 4 secrétaires généraux de la Cnec, à savoir les deux premiers (Pr Traoré Flavien et Pr Ouattara Mamadou) et les Pr Johnson Zamina et Othémés Apolos Christophe a été mis en place à cet effet. C’est donc avec l’accord de la base et les différents responsables que le congrès constitutif du Mores-CI s’est tenu.
Tout en félicitant les représentants du Mores-CI pour cette initiative, le ministre Adama Diawara leur a apporté sa bénédiction, tout en leur demandant d’être réaliste dans leurs revendications. « Dans vos revendications, il faut savoir raison garder. Il ne faut pas demander l’impossible à l’État », a conseillé le ministre.
Sercom
Selon le Pr. Othémés Apolos Christophe, membre du présidium du Mores-CI, la nouvelle organisation a été créée dans l’optique de la poursuite des activités syndicales en milieu universitaire. Avec pour triptyque « apolitisme - démocratie - transparence », ce syndicat vise à redorer le blason de l’enseignant du supérieur et du chercheur qui, a un moment donné, a été écorné.
« Il s’agit pour nous de tourner la page sombre de la Coordination nationale des enseignants du supérieur et chercheur (Cnec) avec la mise en place d’une nouvelle manière de diriger », a insisté Pr Othémés. Il s’agira pour la structure, selon son porte-parole, de travailler en synergie avec la tutelle afin de voir ce qui pourra être fait à court, moyen et long termes.
À côté dudit syndicat, les enseignants comptent à terme, créer une mutuelle pour la satisfaction de certains projets sociaux.
Revenant sur les origines de la création de ce mouvement, le Pr Othémés Apolos a reconnu que la Cnec a connu quelques soucis dans son fonctionnement, ce qui a donné naissance à un bicéphalisme. Il a donc fallu un travail bien mené qui a permis depuis septembre 2019 à la réunification des deux tendances.
Un comité de suivi comprenant les 4 secrétaires généraux de la Cnec, à savoir les deux premiers (Pr Traoré Flavien et Pr Ouattara Mamadou) et les Pr Johnson Zamina et Othémés Apolos Christophe a été mis en place à cet effet. C’est donc avec l’accord de la base et les différents responsables que le congrès constitutif du Mores-CI s’est tenu.
Tout en félicitant les représentants du Mores-CI pour cette initiative, le ministre Adama Diawara leur a apporté sa bénédiction, tout en leur demandant d’être réaliste dans leurs revendications. « Dans vos revendications, il faut savoir raison garder. Il ne faut pas demander l’impossible à l’État », a conseillé le ministre.
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