Crise au Mali : Un opposant annonce la formation d’un gouvernement civil de transition le 27 février
Le président du Mouvement républicain (Mr) du Mali, Ainea Ibrahim Camara, a annoncé, le mardi 22 février 2022, au jardin des Rails à Abidjan-Plateau, au cours d’une conférence de presse, la formation d’un gouvernement civil de transition le 27 février 2022.
Cette date, dit le conférencier coïncide avec la fin légale de la transition de la junte militaire au Mali. Ce gouvernement va conduire le pays vers des élections générales dans un délai de six mois. « Nous allons également renouer les relations cordiales que nous avons toujours eues avec nos voisins de la Cedeao et avec tous nos partenaires. Je tiens à préciser que ce programme est initié par les Maliens dans le seul but de redorer le blason de notre pays. Et que nous puissions retrouver notre place dans le concert des nations », a expliqué le président du Mr.
Selon lui, il est important de mettre en place les institutions légales du Mali. « Nous le faisons par devoir. Car c’est l’article 24 de notre constitution qui nous l’exige en toute circonstance, de défense la constitution. Pour ceux qui me connaissent, ils vous diront que je suis plus du monde des finances que de la politique. Mais lorsque la patrie est en danger toutes les filles et tous les fils sont appelés à joindre leurs forces pour sauver le bateau malin », a relevé l’opposant malien.
Et le même jour, une marche pacifique est également annoncée dans toutes les grandes villes du Mali à l’initiative de la coalition de partis politiques dénommée le Mouvement faso dambé, présidé également par Ibrahim Camara. L’objectif, a expliqué le conférencier, est de montrer au monde entier que la grande majorité des Maliens sont pour la démocratie, la paix et la concorde tant au Mali que dans la sous-région.
« Nous sommes déterminés à ce que l’image de notre pays soit redorée. Nous sommes déterminés à ce que la grandeur de notre pays soit restaurée. Le Mali n’est pas ce que certains qui le dirigent aujourd’hui par effraction souhaiteraient vous montrer comme image. Le Mali n’est pas un pays hostile à ses voisins », a expliqué le président du mouvement républicain. « Nous osons espérer que nous pourrons démonter pacifiquement que nous sommes soutenus dans tous les pays », a poursuivi le conférencier.
Aussi, a-t-il précisé qu’ils ne sont sous aucune influence étrangère. « Nous voulons tout simplement que nos concitoyens puissent vivre en paix dans notre pays », dit-il. A l’en croire, la majorité des Maliens sont en Côte d’Ivoire. « La plus part des Maliens souffrent des rapports entre la junte militaire au Mali et les autorités ivoiriennes », a déploré Ibrahim Camara, promettant la normalisation de ces relations dès qu’un gouvernement civil sera à la tête du pays.
Pour le président du Mouvement républicain, le départ de la force Barkhane du Mali est regrettable.
Selon lui, il est important de mettre en place les institutions légales du Mali. « Nous le faisons par devoir. Car c’est l’article 24 de notre constitution qui nous l’exige en toute circonstance, de défense la constitution. Pour ceux qui me connaissent, ils vous diront que je suis plus du monde des finances que de la politique. Mais lorsque la patrie est en danger toutes les filles et tous les fils sont appelés à joindre leurs forces pour sauver le bateau malin », a relevé l’opposant malien.
Et le même jour, une marche pacifique est également annoncée dans toutes les grandes villes du Mali à l’initiative de la coalition de partis politiques dénommée le Mouvement faso dambé, présidé également par Ibrahim Camara. L’objectif, a expliqué le conférencier, est de montrer au monde entier que la grande majorité des Maliens sont pour la démocratie, la paix et la concorde tant au Mali que dans la sous-région.
« Nous sommes déterminés à ce que l’image de notre pays soit redorée. Nous sommes déterminés à ce que la grandeur de notre pays soit restaurée. Le Mali n’est pas ce que certains qui le dirigent aujourd’hui par effraction souhaiteraient vous montrer comme image. Le Mali n’est pas un pays hostile à ses voisins », a expliqué le président du mouvement républicain. « Nous osons espérer que nous pourrons démonter pacifiquement que nous sommes soutenus dans tous les pays », a poursuivi le conférencier.
Aussi, a-t-il précisé qu’ils ne sont sous aucune influence étrangère. « Nous voulons tout simplement que nos concitoyens puissent vivre en paix dans notre pays », dit-il. A l’en croire, la majorité des Maliens sont en Côte d’Ivoire. « La plus part des Maliens souffrent des rapports entre la junte militaire au Mali et les autorités ivoiriennes », a déploré Ibrahim Camara, promettant la normalisation de ces relations dès qu’un gouvernement civil sera à la tête du pays.
Pour le président du Mouvement républicain, le départ de la force Barkhane du Mali est regrettable.