Art plastique : Jacobleu dans le Souffle de l’Esprit
"Là où souffle l’Esprit", c’est le thème de la prochaine exposition de l’artiste Jacobleu. Dont le vernissage est prévu pour le jeudi 24 février 2022, à la Fondation BJKD, sise à Abidjan-Riviera 3, rue E 31. Les œuvres de l’artiste trôneront sur les cimaises de cette espace d’exposition jusqu’au 24 avril 2022.
Qu’est-ce que le plasticien veut véhiculer comme message à travers son thème ? Tout simplement traduire en images l’énergie vitale qui entoure des manifestations de notre culture collective telle que la danse, la musique et les retrouvailles festives. Il s’agit pour lui de matérialiser par son art, les vibrations immatérielles qui font vivre la culture au sein des communautés.
"Là où souffle l’Esprit", "C’est une percée vers le surnaturel, l’irréel et le dynamique. L’expérience physique de la fête est aussi une expérience mystique... Derrière chaque fête se cachent des coutumes, des histoires, un fil conducteur vers les « archives » d’un peuple, d’un groupe ethnique. Elle permet à l’homme de se travestir pour se dépasser et s’approprier les forces surhumaines des esprits, de la nature et des animaux », détaille-t-il.
Avant de poursuivre « Chez les Dan par exemple, il est dit que « le village où il n’y a pas de musiciens et de danses, n’est pas un endroit où l’homme peut rester. Car, ce sont des arts qui permettent de s’entretenir avec l’au-delà ».
Pour l’artiste, la fête, la musique, la danse, le masque, sont des accumulateurs d’énergie qu’incarne l’ancêtre ou dieu. Aussi soutient-il que la culture africaine peut nous aider à concevoir et à vivre des rapports fructueux avec l’homme universel.
Pas que des rapports simplement techniques ou scientifiques, mais aussi esthétiques. Ce sont autant de mystères et de mystiques reflétés dans ses œuvres que Jacobleu s’apprête à dévoiler, sans les désacraliser à travers son exposition.
"Là où souffle l’Esprit", "C’est une percée vers le surnaturel, l’irréel et le dynamique. L’expérience physique de la fête est aussi une expérience mystique... Derrière chaque fête se cachent des coutumes, des histoires, un fil conducteur vers les « archives » d’un peuple, d’un groupe ethnique. Elle permet à l’homme de se travestir pour se dépasser et s’approprier les forces surhumaines des esprits, de la nature et des animaux », détaille-t-il.
Avant de poursuivre « Chez les Dan par exemple, il est dit que « le village où il n’y a pas de musiciens et de danses, n’est pas un endroit où l’homme peut rester. Car, ce sont des arts qui permettent de s’entretenir avec l’au-delà ».
Pour l’artiste, la fête, la musique, la danse, le masque, sont des accumulateurs d’énergie qu’incarne l’ancêtre ou dieu. Aussi soutient-il que la culture africaine peut nous aider à concevoir et à vivre des rapports fructueux avec l’homme universel.
Pas que des rapports simplement techniques ou scientifiques, mais aussi esthétiques. Ce sont autant de mystères et de mystiques reflétés dans ses œuvres que Jacobleu s’apprête à dévoiler, sans les désacraliser à travers son exposition.