Le parrain de la promotion, Touré Faman et ses filleuls. (Ph: Dr)
Médiation professionnelle : Neuf nouveaux diplômés reçoivent leur parchemin
Ils constituent la 5e promotion du Centre de recherche et de formation professionnelle à la médiation, l’arbitrage et la négociation (Cerfopman) sis à la Faculté de Droit civil de l'Ucao-Uua d’Abidjan.
Au nombre de neuf, ils ont reçu le 26 février, leur diplôme après huit mois de formation. La cérémonie de remise s’est déroulée à l’amphithéâtre de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-Ci), à Abidjan-Plateau.
A cette occasion, Soro Natogoma Gon Coulibaly, présidente de la 5e promotion des médiateurs professionnels certifiés, a pris l’engament de contribuer à la promotion de la médiation en Côte d’Ivoire.
En effet, la médiation est un moyen de règlement de conflits dans les communautés. Les médiateurs constituaient ainsi des maillons essentiels dans le système juridico-politique des communautés.
Pour Soro Natogoma Gon Coulibaly, la médiation, au cœur des règlements des conflits, serait une solution durable pour le règlement des différents conflits pour une société ivoirienne apaisée. « Cette médiation devrait être un outil primordial dans la recherche de la conciliation ou la résolution des conflits vu qu’il est moins coûteux et que les solutions sont durables parce qu’elles proviennent des parties en conflits », a-t-elle proposé.
Non sans manquer de rassurer leurs formateurs que le certificat reçu va leur permettre de contribuer au règlement des conflits en qualité de médiateurs professionnels. Pendant huit mois, les auditeurs se sont frottés aux techniques de règlement à l’amiable, de règlement pacifique de conflits.
Le parrain de la promotion, Touré Faman, par ailleurs président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d'Ivoire, a, quant à lui, invité ses filleuls à tout mettre en œuvre pour impacter la société en lui donnant un visage humain.
Il les a exhortés à faire preuve de neutralité et d’impartialité dans l’exercice de leur profession. L’École professionnelle de la médiation et de la négociation de Côte d’Ivoire a été créée en 2001.
La médiation est désormais un métier à part entière avec une loi de 2014 qui la préconise en Côte d’Ivoire. Notre pays compte plus d'une cinquantaine de médiateurs faisant de lui le premier pays de l’Afrique à disposer d’un nombre important de ces nouveaux professionnels.
A cette occasion, Soro Natogoma Gon Coulibaly, présidente de la 5e promotion des médiateurs professionnels certifiés, a pris l’engament de contribuer à la promotion de la médiation en Côte d’Ivoire.
En effet, la médiation est un moyen de règlement de conflits dans les communautés. Les médiateurs constituaient ainsi des maillons essentiels dans le système juridico-politique des communautés.
Pour Soro Natogoma Gon Coulibaly, la médiation, au cœur des règlements des conflits, serait une solution durable pour le règlement des différents conflits pour une société ivoirienne apaisée. « Cette médiation devrait être un outil primordial dans la recherche de la conciliation ou la résolution des conflits vu qu’il est moins coûteux et que les solutions sont durables parce qu’elles proviennent des parties en conflits », a-t-elle proposé.
Non sans manquer de rassurer leurs formateurs que le certificat reçu va leur permettre de contribuer au règlement des conflits en qualité de médiateurs professionnels. Pendant huit mois, les auditeurs se sont frottés aux techniques de règlement à l’amiable, de règlement pacifique de conflits.
Le parrain de la promotion, Touré Faman, par ailleurs président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d'Ivoire, a, quant à lui, invité ses filleuls à tout mettre en œuvre pour impacter la société en lui donnant un visage humain.
Il les a exhortés à faire preuve de neutralité et d’impartialité dans l’exercice de leur profession. L’École professionnelle de la médiation et de la négociation de Côte d’Ivoire a été créée en 2001.
La médiation est désormais un métier à part entière avec une loi de 2014 qui la préconise en Côte d’Ivoire. Notre pays compte plus d'une cinquantaine de médiateurs faisant de lui le premier pays de l’Afrique à disposer d’un nombre important de ces nouveaux professionnels.