Lutte contre la traite des personnes: l’UE apporte son appui à la validation de nouveaux documents stratégiques
Des documents de la lutte contre la traite des personnes, à savoir le rapport de la revue de la mise en œuvre du plan d’action 2016/2020, la stratégie nationale de lutte contre la traite des personnes 2021-2025 et le plan national de lutte contre la traite des personnes 2021-2025 ont été adoptés.
Ce, à l’issue d’un atelier organisé du lundi 21 au vendredi 25 février 2022 à Yamoussoukro par le comité national de lutte contre la Traite des Personnes (Cnltp), avec l’appui d’Expertise France et du financement de l’Union européenne.
Intervenant au nom de Alessandro Rabbiosi, Directeur régional du projet Appui à la Lutte contre la Traite des Personnes dans les pays du golfe de Guinée (Altp), Modeste Krah, Chargé de projet national, a souligné que l’atelier de Yamoussoukro marque l’une des activités importantes qui achèvent une étape d’un long processus.
Pour lui, il s’est agi donc de compléter les contenus des documents qui seront présentés par le consultant dans le sens de les améliorer tout en recherchant une complémentarité avec les actions existantes.
Il a en outre, recommandé aux autorités nationales de renforcer l’appropriation de ces documents qui sont des outils stratégiques de la lutte contre la traite des personnes en Côte d’Ivoire.
Koné Faber, représentant le Premier ministre, président du Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (Cim) a salué l’Union européenne et Expertise France pour leur implication et leur appui à l’atteinte des objectifs fixés par la Côte d’Ivoire en matière de lutte contre la traite des personnes.
Selon elle : « il convient de mutualiser nos efforts pour améliorer ces documents en vue de les rendre opérationnels, toute chose qui faciliteront une lutte plus efficace contre la traite des personnes en Côte d’Ivoire ».
Outre la représentante du Premier ministre, cet atelier a enregistré la participation effective et active de l’ensemble des acteurs de la lutte contre la traite des personnes en Côte d’Ivoire, notamment le représentant du Cabinet de la Première Dame, présidente du Comité national de Surveillance des Actions de Lutte contre la Traite, l’Exploitation et le Travail des Enfants (CNS) ; le représentant de la ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté ; le représentant du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme ; des représentants de partenaires techniques et financiers (Oim, Onudc), des Ong et organisations de la société civile.
Pour rappel, la traite des personnes est un phénomène qui va grandissant en Côte d’Ivoire. Les personnes de couches défavorisées en sont les cibles idéales et « elles voient ainsi leur dignité dégradée et leurs droits violés ».
Sercom
Intervenant au nom de Alessandro Rabbiosi, Directeur régional du projet Appui à la Lutte contre la Traite des Personnes dans les pays du golfe de Guinée (Altp), Modeste Krah, Chargé de projet national, a souligné que l’atelier de Yamoussoukro marque l’une des activités importantes qui achèvent une étape d’un long processus.
Pour lui, il s’est agi donc de compléter les contenus des documents qui seront présentés par le consultant dans le sens de les améliorer tout en recherchant une complémentarité avec les actions existantes.
Il a en outre, recommandé aux autorités nationales de renforcer l’appropriation de ces documents qui sont des outils stratégiques de la lutte contre la traite des personnes en Côte d’Ivoire.
Koné Faber, représentant le Premier ministre, président du Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (Cim) a salué l’Union européenne et Expertise France pour leur implication et leur appui à l’atteinte des objectifs fixés par la Côte d’Ivoire en matière de lutte contre la traite des personnes.
Selon elle : « il convient de mutualiser nos efforts pour améliorer ces documents en vue de les rendre opérationnels, toute chose qui faciliteront une lutte plus efficace contre la traite des personnes en Côte d’Ivoire ».
Outre la représentante du Premier ministre, cet atelier a enregistré la participation effective et active de l’ensemble des acteurs de la lutte contre la traite des personnes en Côte d’Ivoire, notamment le représentant du Cabinet de la Première Dame, présidente du Comité national de Surveillance des Actions de Lutte contre la Traite, l’Exploitation et le Travail des Enfants (CNS) ; le représentant de la ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté ; le représentant du ministère de la Justice et des Droits de l’Homme ; des représentants de partenaires techniques et financiers (Oim, Onudc), des Ong et organisations de la société civile.
Pour rappel, la traite des personnes est un phénomène qui va grandissant en Côte d’Ivoire. Les personnes de couches défavorisées en sont les cibles idéales et « elles voient ainsi leur dignité dégradée et leurs droits violés ».
Sercom