Soutien à l’agriculture durable: Le sénateur de la Seine-Maritime (Normandie) donne des assurances à Kobenan Kouasssi Adjoumani
Le ministre d’État, ministre de l’Agriculture et du Développement rural a reçu en audience hier, dans une salle aménagée sur le stand de la Côte d’Ivoire, au premier étage du pavillon 5 du Salon international de l’agriculture (Sia 2022) qui se tient à Paris, le Sénateur, vice-présidente du Groupe d’amitié France-Afrique de l’Ouest pour la Côte d’Ivoire.
Les efforts de la Côte d’Ivoire pour développer une agriculture durable respectueuse de l’environnement, et qui fait la part belle à l’insertion des jeunes et des femmes, ont été salués, hier, à Paris, par Agnès Canayer, Sénateur de la Seine-Maritime (Normandie), vice-présidente du groupe d’amitié France-Afrique de l’Ouest en charge de la Côte d’Ivoire.
Le Sénateur a exprimé sa considération pour la politique agricole menée par le gouvernement ivoirien sous le leadership du Chef de l’État, Alassane Ouattara, et mise en œuvre par le ministre d’État, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Kobenan Kouassi Adjoumani, lors d’une audience que lui a accordée le ministre d’État ivoirien sur le stand de la Côte d’Ivoire sis au stand du pavillon 5 du Salon international de l’agriculture qui se tient du 26 février au 6 mars, au Parc d’exposition de Paris, porte de Versailles.
« Vous avez du potentiel, de la volonté et de l’énergie. C’est ce qui est toujours marquant quand nous on vient visiter votre pays. Même dans toutes vos politiques agricoles forestières, la jeunesse occupe une place importante », s’est félicitée Agnès Canayer. « Vous avez de la chance d’avoir cette jeunesse et de développer cette filière agricole qui est essentielle », a-t-elle poursuivi.
S’adressant à la presse à la fin de l’audience, le Sénateur de la Seine-Maritime a indiqué que son audience avec le ministre d’État ivoirien a permis d’évoquer les questions relatives aux relations franco-ivoiriennes et surtout, la nécessité de la renforcer pour aider la Côte d’Ivoire et faire bénéficier à la France de la capacité de développement de la filière agricole ivoirienne.
« Avec tout le potentiel de la Côte d’Ivoire, il est nécessaire que la France accompagne le pays dans ses filières à la fois de développement, de production locale mais aussi de développement des filières d’exportation de produits vers la France des produits ivoiriens », a-t-elle indiqué.
En ce qui concerne la bataille menée par les pays agricoles tels que la Côte d’Ivoire, pour convaincre les pays de l’Union européenne de leur bonne volonté de pratiquer une agriculture respectueuse de l’environnement, Agnès Canayer, a rappelé que le rôle du Groupe d’amitié France-Afrique de l’Ouest (pour la Côte d’Ivoire) dont elle est la vice-présidente, est de porter la voix de la coopération entre les deux pays.
« Et d’intervenir auprès du gouvernement français pour qu’il favorise ces relations et le développement des filières agricoles, notamment le cacao, mais aussi la noix de cajou pour faire en sorte que la production ivoirienne qui est la première production mondiale trouve ses voies et notamment ici en France », a-t-elle souligné.
Le ministre d’État, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, s’est fixé comme objectif, à ce Salon international de l’agriculture, de faire la promotion du nouveau modèle agricole du pays qui, adossé au Plan d’investissement agricole de deuxième génération (Pnia2), vise la transformation structurelle de l’économie agricole de la Côte d’Ivoire.
Notre envoyé spécial à Paris
« Vous avez du potentiel, de la volonté et de l’énergie. C’est ce qui est toujours marquant quand nous on vient visiter votre pays. Même dans toutes vos politiques agricoles forestières, la jeunesse occupe une place importante », s’est félicitée Agnès Canayer. « Vous avez de la chance d’avoir cette jeunesse et de développer cette filière agricole qui est essentielle », a-t-elle poursuivi.
S’adressant à la presse à la fin de l’audience, le Sénateur de la Seine-Maritime a indiqué que son audience avec le ministre d’État ivoirien a permis d’évoquer les questions relatives aux relations franco-ivoiriennes et surtout, la nécessité de la renforcer pour aider la Côte d’Ivoire et faire bénéficier à la France de la capacité de développement de la filière agricole ivoirienne.
« Avec tout le potentiel de la Côte d’Ivoire, il est nécessaire que la France accompagne le pays dans ses filières à la fois de développement, de production locale mais aussi de développement des filières d’exportation de produits vers la France des produits ivoiriens », a-t-elle indiqué.
En ce qui concerne la bataille menée par les pays agricoles tels que la Côte d’Ivoire, pour convaincre les pays de l’Union européenne de leur bonne volonté de pratiquer une agriculture respectueuse de l’environnement, Agnès Canayer, a rappelé que le rôle du Groupe d’amitié France-Afrique de l’Ouest (pour la Côte d’Ivoire) dont elle est la vice-présidente, est de porter la voix de la coopération entre les deux pays.
« Et d’intervenir auprès du gouvernement français pour qu’il favorise ces relations et le développement des filières agricoles, notamment le cacao, mais aussi la noix de cajou pour faire en sorte que la production ivoirienne qui est la première production mondiale trouve ses voies et notamment ici en France », a-t-elle souligné.
Le ministre d’État, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, s’est fixé comme objectif, à ce Salon international de l’agriculture, de faire la promotion du nouveau modèle agricole du pays qui, adossé au Plan d’investissement agricole de deuxième génération (Pnia2), vise la transformation structurelle de l’économie agricole de la Côte d’Ivoire.
Notre envoyé spécial à Paris