Les étudiants du club Dih de l’Université Nord-Sud. (Ph: Dr)
Promotion du Droit international humanitaire: Des étudiants de l’Université Nord-Sud mettent en place un club
Le Droit international humanitaire (Dih) vise à prévenir et soulager autant que possible les souffrances engendrées par la guerre en essayant de concilier les nécessités militaires et les exigences humanitaires.
Afin de faire la promotion dudit droit, le Club de droit international humanitaire de l’Université Nord-Sud a organisé une conférence autour du thème : « L’importance de la promotion du droit international humanitaire en milieu universitaire ». C’était le 4 mars 2022, à l’amphithéâtre de ladite université, à Cocody-Bonoumin.
Le conférencier Koué Stéphane Ourigbalé, Conseiller au Cicr, a indiqué que les étudiants qui représentent la future génération de décideurs, doivent être encouragés à s’intéresser au Dih. « S’ils acquièrent aujourd’hui une bonne connaissance des règles qui s’appliquent lors d’un conflit armé, ils seront en mesure de défendre et d’appliquer ces règles dans leurs futures professions respectives », a-t-il déclaré.
Selon lui, les universités doivent aussi offrir un cadre adéquat pour débattre des défis auxquels doit faire face le Dih et pour réfléchir aux voies à suivre.
C’est pourquoi il a encouragé l’intégration du Dih aux programmes de formation des universités. Proposant des collaborations autour d’événements ponctuels, à savoir des offres de formations en Dih pour les professeurs en vue d’encourager l’enseignement et la recherche dans cette matière. Puis de renforcer les réseaux d’experts nationaux, régionaux et internationaux susceptibles de jouer un rôle important pour le développement, l’enseignement et la mise en œuvre du Dih. « Les professeurs d’université et leurs étudiants peuvent faire rayonner et progresser cette branche du droit. Il est donc important pour le Cicr de stimuler leur contribution », a-t-il indiqué.
Le président du Club de droit international humanitaire de l’Université Nord-Sud (Cdih-Uns), Teka Yves Sidoine, a souligné que la mise en place de ce club vise à apporter sa pierre à toutes les actions menées par les différentes organisations pour vulgariser le Dih. « Ce club a pour vocation de faire la promotion du Droit international humanitaire auprès des étudiants, jeunes et également de toutes personnes concernées, que ce soit à l’extérieur du milieu universitaire ou à l’intérieur afin que tout le monde sache que même la guerre a des limites », dit Teka Yves.
Il a également tenu à remercier Mory Diabaté, le président fondateur, et Ibrahim Diabaté qui sont des modèles pour la jeunesse et les étudiants de l’université. Il faut souligner qu’un master class a été animé par Stéphane Tchriffo, présentateur et animateur télévision, sur le thème : « Je veux réussir, j’adopte les bons comportements ».
Stéphane Tchriffo a saisi de cette aubaine pour exhorter les étudiants à briser les addictions et cultiver l’excellence. « Vous devez être des champions dans vos domaines », a-t-il conseillé. Et d’inviter les participants à cette rencontre à une vision claire de leur avenir.
Le conférencier Koué Stéphane Ourigbalé, Conseiller au Cicr, a indiqué que les étudiants qui représentent la future génération de décideurs, doivent être encouragés à s’intéresser au Dih. « S’ils acquièrent aujourd’hui une bonne connaissance des règles qui s’appliquent lors d’un conflit armé, ils seront en mesure de défendre et d’appliquer ces règles dans leurs futures professions respectives », a-t-il déclaré.
Selon lui, les universités doivent aussi offrir un cadre adéquat pour débattre des défis auxquels doit faire face le Dih et pour réfléchir aux voies à suivre.
C’est pourquoi il a encouragé l’intégration du Dih aux programmes de formation des universités. Proposant des collaborations autour d’événements ponctuels, à savoir des offres de formations en Dih pour les professeurs en vue d’encourager l’enseignement et la recherche dans cette matière. Puis de renforcer les réseaux d’experts nationaux, régionaux et internationaux susceptibles de jouer un rôle important pour le développement, l’enseignement et la mise en œuvre du Dih. « Les professeurs d’université et leurs étudiants peuvent faire rayonner et progresser cette branche du droit. Il est donc important pour le Cicr de stimuler leur contribution », a-t-il indiqué.
Le président du Club de droit international humanitaire de l’Université Nord-Sud (Cdih-Uns), Teka Yves Sidoine, a souligné que la mise en place de ce club vise à apporter sa pierre à toutes les actions menées par les différentes organisations pour vulgariser le Dih. « Ce club a pour vocation de faire la promotion du Droit international humanitaire auprès des étudiants, jeunes et également de toutes personnes concernées, que ce soit à l’extérieur du milieu universitaire ou à l’intérieur afin que tout le monde sache que même la guerre a des limites », dit Teka Yves.
Il a également tenu à remercier Mory Diabaté, le président fondateur, et Ibrahim Diabaté qui sont des modèles pour la jeunesse et les étudiants de l’université. Il faut souligner qu’un master class a été animé par Stéphane Tchriffo, présentateur et animateur télévision, sur le thème : « Je veux réussir, j’adopte les bons comportements ».
Stéphane Tchriffo a saisi de cette aubaine pour exhorter les étudiants à briser les addictions et cultiver l’excellence. « Vous devez être des champions dans vos domaines », a-t-il conseillé. Et d’inviter les participants à cette rencontre à une vision claire de leur avenir.