
Le ministre Thomas Camara (au centre) a présidé le symposium sur les mines et les énergies. (Ph: Dr)
Le ministre Thomas Camara (au centre) a présidé le symposium sur les mines et les énergies. (Ph: Dr)
Mines et énergies : Des experts réfléchissent à la dynamisation de la recherche
Un symposium sur les mines et les énergies a réuni experts, professionnels, acteurs et partenaires de ce secteur les 23 et 24 mars 2022, à la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci) sise au Plateau, Sur le thème : « Comment dynamiser la recherche minière ? » C'est une initiative du Groupement professionnel des miniers de Côte d'Ivoire (Gpmci) et le ministère des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.
Jean-Claude Diplo, président du Groupement professionnel des miniers de Côte d’Ivoire (Gpmci), a expliqué que ce symposium vise à confirmer la place de la Côte d’Ivoire sur la carte minière en privilégiant une réflexion accrue sur le secteur ivoirien et en dégageant les opportunités et défis.
A travers ce symposium, il s’est agi, selon lui, d’accompagner la concrétisation de la volonté du Président de la République, Alassane Ouattara, de faire du secteur minier, un autre pilier de l’économie ivoirienne après l’agriculture.
Le président a également précisé que le bilan de la production d’or en Côte d’Ivoire à fin 2021 s’établit à 41,855 tonnes, avec une projection de 65 tonnes à l’horizon 2025. Avant, il a exhorté l’État à privilégier le dialogue pour rendre encore plus compétitif et attrayant le secteur minier ivoirien sur le plan national et international.
A cette occasion, le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, Thomas Camara, a annoncé plusieurs réformes dans le secteur. Entre autres, la mise en place d’une infrastructure géo-scientifique de base aux normes internationales pour une meilleure connaissance du potentiel géologique, et l’amélioration de la procédure d’octroi de titre minier ; l’organisation de l’exploitation minière à petite échelle pour maîtriser le phénomène de l’orpaillage illicite ; la promotion des investissements privés pour l’accroissement de la valeur ajoutée par la mise en place d’unités d’affinage, de transformation locale en produits semi-finis et finis des produits miniers.
Selon lui, la Côte d’Ivoire possède sur le plan géologique environ 35% des ceintures de roches vertes (le birrimien) de l’Afrique de l’ouest. D’où est extrait l’essentiel de la production de cette région, relativement aux données cartographiques du pays. Elle suscite l’intérêt des investisseurs internationaux.
Thomas Camara a, cependant, relevé quelques difficultés opérationnelles dans sa phase de recherche. Notamment, la question des indemnisations des populations, l’application des dispositions fiscales et douanières, et le respect des délais d’exécution des programmes de recherche.
A travers ce symposium, il s’est agi, selon lui, d’accompagner la concrétisation de la volonté du Président de la République, Alassane Ouattara, de faire du secteur minier, un autre pilier de l’économie ivoirienne après l’agriculture.
Le président a également précisé que le bilan de la production d’or en Côte d’Ivoire à fin 2021 s’établit à 41,855 tonnes, avec une projection de 65 tonnes à l’horizon 2025. Avant, il a exhorté l’État à privilégier le dialogue pour rendre encore plus compétitif et attrayant le secteur minier ivoirien sur le plan national et international.
A cette occasion, le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, Thomas Camara, a annoncé plusieurs réformes dans le secteur. Entre autres, la mise en place d’une infrastructure géo-scientifique de base aux normes internationales pour une meilleure connaissance du potentiel géologique, et l’amélioration de la procédure d’octroi de titre minier ; l’organisation de l’exploitation minière à petite échelle pour maîtriser le phénomène de l’orpaillage illicite ; la promotion des investissements privés pour l’accroissement de la valeur ajoutée par la mise en place d’unités d’affinage, de transformation locale en produits semi-finis et finis des produits miniers.
Selon lui, la Côte d’Ivoire possède sur le plan géologique environ 35% des ceintures de roches vertes (le birrimien) de l’Afrique de l’ouest. D’où est extrait l’essentiel de la production de cette région, relativement aux données cartographiques du pays. Elle suscite l’intérêt des investisseurs internationaux.
Thomas Camara a, cependant, relevé quelques difficultés opérationnelles dans sa phase de recherche. Notamment, la question des indemnisations des populations, l’application des dispositions fiscales et douanières, et le respect des délais d’exécution des programmes de recherche.