
Les participants à la conférence ont salué l'initiative qui apporte une plu-value à l'agriculture ivoire (Bavane)
Les participants à la conférence ont salué l'initiative qui apporte une plu-value à l'agriculture ivoire (Bavane)
Transformation du monde agricole : L’importance de la semence expliquée
Dans le cadre d’une campagne nationale d’information et de sensibilisation sur l’importance et l’impact de la semence pour la transformation du monde agricole et rural et de l’économie national, initiée par l’Association nationale des semenciers de Côte d'Ivoire (Anasemci), une conférence s’est ténue le mercredi 27 avril 2022, à la direction général de l’Anader sise au Plateau.
A travers cette rencontre, l’anasemci entend fédérer toutes les couches socio-professionnelles autour d’une vision dans laquelle l’agriculture ivoirienne n’aura sa raison d’être qu’avec une nouvelle industrie semencière.
C’est le président de l’anasemci, Azy Diby Leopold qui a animé la conférence dont l’objectif principal est de démontrer l’importance des semences dans le développement d’une agriculture durable.
L’occasion pour lui de situer le contexte de la « Campagne Nationale d'information et de Sensibilisation sur l'Importance et l'impact de la Semence pour la Transformation du Monde Agricole et Rural, et de l'Économie ». Celui qui s’est fixé comme rôle d’aider l’Etat à normaliser la filière semencière en Côte d’Ivoire, affirme militer pour l’avènement d’une nouvelle industrie semencière.
Un master en industrie de semences créé par l’université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan
C’est pourquoi, dit-il, pour parvenir à une meilleure productivité agricole, il faut une semence de qualité et en quantité. « Pour accompagner cette vision, un Master en industrie de semences, a été créé par l’université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan Cocody, en partenariat avec l’anasemci », a-t-il annoncé.
Avant d’ajouter que ce master a pour finalité la mise en place d’une banque de semences pour la durabilité de l’agriculture ivoirienne.
La directrice générale adjointe de l’Anader, Nicole Aphing Kouassi qui a pris part à la conférence, n’a pas manqué de saluer l’initiative qu’elle juge très instructive. « Nous nous sommes rendus compte que le monde des semences est très complexe. La semence peut être considérée comme une filière à part entière. Il faut aussi s’inscrire dans un cadre réglementaire. Il est donc très important d’informer et de sensibiliser tous les acteurs qui interviennent au niveau de la filière de la semence », s’est-elle félicitée.
Et d’ajouter que pour accompagner l’anasemci, l’Anader va répondre à la sollicitation de l’association dans la mesure de ses compétences en respectant sa mission.
L’Association Nationale des Semenciers de Côte d'Ivoire, faut-il le rappeler, est née en avril 2009. Elle vise à contribuer à la mise en place en Côte d’Ivoire d’une industrie semencière robuste au service de l’agriculture ivoirienne et les pays de la Cedeao. Et d’aider l’Etat à normaliser la filière semencière en Côte d’Ivoire.
C’est le président de l’anasemci, Azy Diby Leopold qui a animé la conférence dont l’objectif principal est de démontrer l’importance des semences dans le développement d’une agriculture durable.
L’occasion pour lui de situer le contexte de la « Campagne Nationale d'information et de Sensibilisation sur l'Importance et l'impact de la Semence pour la Transformation du Monde Agricole et Rural, et de l'Économie ». Celui qui s’est fixé comme rôle d’aider l’Etat à normaliser la filière semencière en Côte d’Ivoire, affirme militer pour l’avènement d’une nouvelle industrie semencière.
Un master en industrie de semences créé par l’université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan
C’est pourquoi, dit-il, pour parvenir à une meilleure productivité agricole, il faut une semence de qualité et en quantité. « Pour accompagner cette vision, un Master en industrie de semences, a été créé par l’université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan Cocody, en partenariat avec l’anasemci », a-t-il annoncé.
Avant d’ajouter que ce master a pour finalité la mise en place d’une banque de semences pour la durabilité de l’agriculture ivoirienne.
La directrice générale adjointe de l’Anader, Nicole Aphing Kouassi qui a pris part à la conférence, n’a pas manqué de saluer l’initiative qu’elle juge très instructive. « Nous nous sommes rendus compte que le monde des semences est très complexe. La semence peut être considérée comme une filière à part entière. Il faut aussi s’inscrire dans un cadre réglementaire. Il est donc très important d’informer et de sensibiliser tous les acteurs qui interviennent au niveau de la filière de la semence », s’est-elle félicitée.
Et d’ajouter que pour accompagner l’anasemci, l’Anader va répondre à la sollicitation de l’association dans la mesure de ses compétences en respectant sa mission.
L’Association Nationale des Semenciers de Côte d'Ivoire, faut-il le rappeler, est née en avril 2009. Elle vise à contribuer à la mise en place en Côte d’Ivoire d’une industrie semencière robuste au service de l’agriculture ivoirienne et les pays de la Cedeao. Et d’aider l’Etat à normaliser la filière semencière en Côte d’Ivoire.