Entrepreneuriat: La Banque populaire de Côte d'Ivoire appuie le développement de compétences féminines

Échange de parapheurs entre le DG de BPCI, Issa Fadiga et le directeur exécutif de Share, Sébastien Frendo. (Ph: Dr)
Échange de parapheurs entre le DG de BPCI, Issa Fadiga et le directeur exécutif de Share, Sébastien Frendo. (Ph: Dr)
Échange de parapheurs entre le DG de BPCI, Issa Fadiga et le directeur exécutif de Share, Sébastien Frendo. (Ph: Dr)

Entrepreneuriat: La Banque populaire de Côte d'Ivoire appuie le développement de compétences féminines

Le 09/05/22 à 12:44
modifié 09/05/22 à 13:57
L’accord de partenariat a été paraphé le 13 avril 2022, dans les locaux de la Banque populaire de Côte d’Ivoire à Abidjan-Plateau.
Issa Fadiga, directeur général de la Banque populaire de Côte d’Ivoire (Bpci) et Sébastien Frendo, directeur exécutif de Share, ont procédé récemment à la signature d’une convention portant sur l’appui de l’institution financière publique à la formation des femmes dans le cadre du Programme d’excellence pour les femmes en Afrique (Pefa).

Les femmes sélectionnées seront formées dans divers domaines, et verront leurs capacités managériales et entrepreneuriales renforcées de sorte à pouvoir porter des projets et aider à l’amélioration des conditions de vie des communautés.

Au cours de la cérémonie de signature qui s’est tenue dans les locaux de Bpci, à Abidjan-Plateau Rue des banques, Issa Fadiga a expliqué que cette convention intervient dans la droite ligne des partenariats qui lient la Banque à plusieurs structures publiques dont les ministères en charge des questions d’emplois jeunes et d’autonomisation des femmes.

Au dire du directeur général de Bpci, « ce partenariat cadre également avec la politique Rse de la maison ». Il a aussi exprimé son souhait de pouvoir évaluer le plus tôt possible le potentiel des premières femmes bénéficiaires du programme, afin que le processus de sélection soit relancé dans l’optique que d’autres soient retenues pour en profiter.

En outre, Issa Fadiga a dit espérer que cette convention soit le début d’un partenariat plus large et qui touchera de nombreux autres secteurs.

Pour sa part, Sébastien Frendo a tenu a souligné que les connaissances que les bénéficiaires du programme acquerront, serviront au développement de la Côte d’Ivoire. Parce que c’est « le contrat moral qui lie Share aux femmes bénéficiaires ».

Le directeur exécutif de Share a indiqué qu'à la suite de cette première phase qui prendra en compte entre 20 et 40 femmes qui démarre en mai 2022, une seconde est prévue en novembre 2022.


Le 09/05/22 à 12:44
modifié 09/05/22 à 13:57