Développement durable : Objectif «neutralité carbone» d'ici 2050 pour Eni
De plus en plus, des entreprises dans leur politique de développement durable, milite à limiter le changement climatique en activant deux leviers à l'échelle mondiale. C’est-à-dire, une réduction des émissions et un développement des puits de carbone. En un mot, la neutralité carbone.
C’est le cas de la société italienne d'hydrocarbures Eni qui, dans son 16e rapport volontaire de développement durable dont nous avons reçu copie, décrit sa contribution et ses objectifs pour une transition juste. En vue de partager les résultats sociaux et économiques sur la voie de la neutralité carbone d'ici 2050.
« Nous nous sentons fortement responsables de contribuer à donner accès à l'énergie à tous, à soutenir le développement des pays où nous sommes présents et à contribuer à la réalisation des plus hautes ambitions de l'Accord de Paris » a déclaré dans le rapport Claudio Descalzi, Pdg du groupe Eni.
Qui poursuit : « Cet engagement est plus fort aujourd'hui, à la lumière de la guerre en Ukraine, à un moment historique où il est nécessaire d'être encore plus inclusif et non diviseur, en recherchant le bien commun et en augmentant les efforts pour assurer la sécurité énergétique de l'Europe, tout en accélérant le processus de décarbonation ».
La stratégie de neutralité carbone 2050
Précisément, en ce qui concerne la stratégie de neutralité carbone 2050, l’entreprise indique renforcé ses objectifs en annonçant une réduction de 35% des émissions nettes des champs d'application 1, 2 et 3 d'ici 2030 et de 80% d'ici 2040 par rapport aux niveaux de 2018 (par rapport aux -25% et objectifs de -65 % dans le plan précédent).
Pour les émissions nettes de portée 1 et 2, l'entreprise atteindra 40 % d'ici 2025 (par rapport aux niveaux de 2018) et zéro émission nette d'ici 2035, cinq ans avant le plan précédent.
Il augmentera également la part des investissements dédiés aux nouvelles solutions énergétiques, visant 30 % d'ici 2025, doublant à 60 % d'ici 2030 et atteignant 80 % d'ici 2040.
Dans la réalisation des objectifs de décarbonation, elle annonce une attention croissante qui sera accordée au concept de "transition juste", à savoir la gestion de l'impact de la transformation énergétique sur les personnes.
Le rapport donne également un aperçu des projets et initiatives adoptés par l’entreprise pour assurer une transition équitable. Celles-ci s'inscrivent dans l'évolution constante de ses activités commerciales qui comprennent la conversion de raffineries en bioraffineries, des projets de conservation des forêts, le développement d'énergies renouvelables et la création d'agri-hubs qui fourniront des matières premières agricoles pour les bioraffineries. Créant ainsi des emplois et accompagne le développement de nouvelles activités dans les pays de présence dont la Côte d’Ivoire où elle découvert l'année dernière le gisement geant de Baleine.
La société a également a renforcé ses partenariats avec des organisations internationales de coopération au développement. Les principales initiatives pour les communautés menées en 2021 comprennent des activités visant à améliorer l'accès à l'eau pour la population de Bassorah, en Irak. Des projets de diversification économique dans le secteur agricole en Angola, au Congo et au Nigeria, et projets de soutien à l'entrepreneuriat local et des jeunes en Égypte.
L'engagement d'Eni dans la promotion de l'éducation et de la formation professionnelle reste central, comme le montrent les initiatives en Angola, en Égypte, en Irak, au Mexique et au Mozambique.
« Nous nous sentons fortement responsables de contribuer à donner accès à l'énergie à tous, à soutenir le développement des pays où nous sommes présents et à contribuer à la réalisation des plus hautes ambitions de l'Accord de Paris » a déclaré dans le rapport Claudio Descalzi, Pdg du groupe Eni.
Qui poursuit : « Cet engagement est plus fort aujourd'hui, à la lumière de la guerre en Ukraine, à un moment historique où il est nécessaire d'être encore plus inclusif et non diviseur, en recherchant le bien commun et en augmentant les efforts pour assurer la sécurité énergétique de l'Europe, tout en accélérant le processus de décarbonation ».
La stratégie de neutralité carbone 2050
Précisément, en ce qui concerne la stratégie de neutralité carbone 2050, l’entreprise indique renforcé ses objectifs en annonçant une réduction de 35% des émissions nettes des champs d'application 1, 2 et 3 d'ici 2030 et de 80% d'ici 2040 par rapport aux niveaux de 2018 (par rapport aux -25% et objectifs de -65 % dans le plan précédent).
Pour les émissions nettes de portée 1 et 2, l'entreprise atteindra 40 % d'ici 2025 (par rapport aux niveaux de 2018) et zéro émission nette d'ici 2035, cinq ans avant le plan précédent.
Il augmentera également la part des investissements dédiés aux nouvelles solutions énergétiques, visant 30 % d'ici 2025, doublant à 60 % d'ici 2030 et atteignant 80 % d'ici 2040.
Dans la réalisation des objectifs de décarbonation, elle annonce une attention croissante qui sera accordée au concept de "transition juste", à savoir la gestion de l'impact de la transformation énergétique sur les personnes.
Le rapport donne également un aperçu des projets et initiatives adoptés par l’entreprise pour assurer une transition équitable. Celles-ci s'inscrivent dans l'évolution constante de ses activités commerciales qui comprennent la conversion de raffineries en bioraffineries, des projets de conservation des forêts, le développement d'énergies renouvelables et la création d'agri-hubs qui fourniront des matières premières agricoles pour les bioraffineries. Créant ainsi des emplois et accompagne le développement de nouvelles activités dans les pays de présence dont la Côte d’Ivoire où elle découvert l'année dernière le gisement geant de Baleine.
La société a également a renforcé ses partenariats avec des organisations internationales de coopération au développement. Les principales initiatives pour les communautés menées en 2021 comprennent des activités visant à améliorer l'accès à l'eau pour la population de Bassorah, en Irak. Des projets de diversification économique dans le secteur agricole en Angola, au Congo et au Nigeria, et projets de soutien à l'entrepreneuriat local et des jeunes en Égypte.
L'engagement d'Eni dans la promotion de l'éducation et de la formation professionnelle reste central, comme le montrent les initiatives en Angola, en Égypte, en Irak, au Mexique et au Mozambique.