Genre et développement : La Chaire Unesco et l’Université de Montpellier signent un partenariat
En prélude à la célébration des dix ans du Compendium des compétences féminines de Côte d’Ivoire (Cocofci) prévue pour les 23, 24 et 25 juin, au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, Euphrasie Kouassi Yao, titulaire de la Chaire qui a en charge de sa gestion, Conseillère spéciale du Président de la République en charge du Genre, multiplie les actions en vue de rendre plus dynamique la structure.
En mission en France pour prendre part à la 11e Assemblée scientifique de l’Association internationale des sciences hydrologiques (Iash 2022), qui s’est tenue du 29 mai au 3 juin 2022, elle s’est alliée à l’Université de Montpellier, une institution de grande renommée en ce qui concerne les questions hydrauliques, à travers la signature d’une convention, le 31 mai.
Pour l’ancienne ministre, c’est un grand pas qui ouvre une nouvelle ère prometteuse à sa structure dans la mesure où ses apprenants profiteront de l’expérience et de l’expertise des experts et enseignants de cette institution au cours de leur formation.
Mieux, la Chaire Unesco « Eau, Femmes et Pouvoir de Décisions » qu’elle dirige, profitera de l’occasion pour accroître ses capacités et aussi mener des actions communes avec l’établissement. Une façon de promouvoir l’approche Genre, et favoriser un développement équitable, inclusif et durable en Côte d’Ivoire et au-delà.
La cérémonie marquant la signature de la convention a vu la participation d’Abou Amani, Directeur du Programme hydrologique international (Phi). Qui a estimé que cette union intervient au bon moment et vient combler un vide en la matière. D’autant plus que les questions qui seront prises en compte demeurent au cœur de l’une des plus fortes problématiques posées au continent depuis la période de l’indépendance. Celle de l’accès aux ressources en eau potable et la formation des ressources humaines.
Le Cocofci, il faut le rappeler, est un programme présidentiel né de la volonté du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Il s’inscrit dans une dynamique de poursuivre les efforts du gouvernement en vue d’assurer le développement économique et social de la Côte d’Ivoire.
Sercom
Pour l’ancienne ministre, c’est un grand pas qui ouvre une nouvelle ère prometteuse à sa structure dans la mesure où ses apprenants profiteront de l’expérience et de l’expertise des experts et enseignants de cette institution au cours de leur formation.
Mieux, la Chaire Unesco « Eau, Femmes et Pouvoir de Décisions » qu’elle dirige, profitera de l’occasion pour accroître ses capacités et aussi mener des actions communes avec l’établissement. Une façon de promouvoir l’approche Genre, et favoriser un développement équitable, inclusif et durable en Côte d’Ivoire et au-delà.
La cérémonie marquant la signature de la convention a vu la participation d’Abou Amani, Directeur du Programme hydrologique international (Phi). Qui a estimé que cette union intervient au bon moment et vient combler un vide en la matière. D’autant plus que les questions qui seront prises en compte demeurent au cœur de l’une des plus fortes problématiques posées au continent depuis la période de l’indépendance. Celle de l’accès aux ressources en eau potable et la formation des ressources humaines.
Le Cocofci, il faut le rappeler, est un programme présidentiel né de la volonté du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Il s’inscrit dans une dynamique de poursuivre les efforts du gouvernement en vue d’assurer le développement économique et social de la Côte d’Ivoire.
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