Serge-Philippe Raux Yao, défenseur de Rodez-Ligue 2 France. (Ph: Dr)
Serge-Philippe Raux Yao (défenseur de Rodez-Ligue 2 France): ‘‘Je rêve de la sélection nationale de mon pays’’
Parlez-nous de votre parcours en tant que footballeur ?
J’ai commencé le football dans ma ville de naissance, à Pontoise où j’y suis resté jusqu’à 16 ans. Je suis ensuite allé à Samois Saint Gratien. Après j’ai atterri dans le centre de formation de l’AJ Auxerre d’où j’ai été transféré au Cercle de Bruges en Belgique. J’ai passé un an et demi dans ce club. Malheureusement, à cause de quelques petits problèmes extra sportifs, je n’ai pas eu l’occasion de prouver mes qualités. Depuis le 31 janvier 2022, j’évolue à Rodez en Ligue 2 de France où je suis sous contrat jusqu’en 2024.
Quelle est votre poste de prédilection ?
Je suis défenseur central et je peux jouer central dans une défense à quatre. Je peux également jouer avec une défense à trois.
Que retenez-vous de votre passage en Belgique ?
Pendant un an et demi, j’ai pu m’entraîner et j’ai découvert un autre football qui est différent de celui de la France. Là-bas, j’ai progressé au niveau de l’agressivité. Mais en dehors du football, ce n’était pas la même culture ni la même langue. Je n’ai pas joué avec l’équipe première mais, j’ai pu apprendre beaucoup de choses que j’essaie d’appliquer avec Rodez.
Quel bilan faites-vous de votre première saison avec Rodez ?
Il est positif parce qu’on a pu se maintenir. Sur le plan personnel, j’ai pu rejouer après un an et demi de trêve. J’ai repris goût à la compétition. Durant les quatre mois que j’ai pu passer dans ce club, j’ai disputé au total 14 matches en quatre mois. C’est plus qu’en un an et demi au Cercles de Bruges. Pour l’instant, je suis bien dans ce club, je suis satisfait surtout après ce qui s’est passé en Belgique. Mentalement et physiquement, tout va bien.
Quelles sont les qualités que les dirigeants de ce club ont décelées en vous ?
Grâce à ma taille (ndlr : 1,97m), je ne me débrouille pas mal dans les duels aériens. Je dois cependant améliorer mon jeu de tête offensif. Au niveau technique, malgré ma taille, je suis également à l’aise. J’ai débuté en tant qu’attaquant quand j’étais jeune donc, j’ai gardé certaines aptitudes. A part cela, en tant que défenseur, je suis agressif. Il me faut avoir de l’expérience en disputant plus de match. J’aimerais bien apporter plus à l’équipe sur les coups de pied arrêtés. Naturellement, je suis un leader sur le terrain.
Quelles sont vos ambitions dans l’immédiat ?
Franchement, je n’ai pas de limites ; mais, je prends mon temps pour progresser car je ne suis pas pressé. Je travaille pour aller le plus haut possible. Je rêve de jouer une Champions league, la Coupe du monde, la Coupe d’Afrique avec la Côte d’Ivoire. Ce sont des objectifs que j’entends tout mettre en œuvre pour atteindre.
Avez-vous des contacts avec la sélection ivoirienne ?
Pas de contact mais je suis la sélection nationale en tant qu’Ivoirien. Quand je regarde un match de la Côte d’Ivoire, mon cœur bat comme chez tous les Ivoiriens. C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai suivi certains échecs de l’équipe. Notamment la finale perdue de la Can 2012, face à la Zambie ou encore l’élimination en Coupe du monde 2014, contre la Grèce. Je suis vraiment prêt à me battre pour défendre les couleurs de l’équipe nationale.
Votre gabarit constitue-t-il un avantage ?
C’est un avantage. En Afrique, le jeu est plus physique qu’en Europe. Après tout, c’est au coach qu’il revient de choisir son plan de jeu et les éléments qui vont avec. Si je dois être appelé en sélection, je mettrai mes qualités au service du collectif.
Quelle est votre poste de prédilection ?
Je suis défenseur central et je peux jouer central dans une défense à quatre. Je peux également jouer avec une défense à trois.
Que retenez-vous de votre passage en Belgique ?
Pendant un an et demi, j’ai pu m’entraîner et j’ai découvert un autre football qui est différent de celui de la France. Là-bas, j’ai progressé au niveau de l’agressivité. Mais en dehors du football, ce n’était pas la même culture ni la même langue. Je n’ai pas joué avec l’équipe première mais, j’ai pu apprendre beaucoup de choses que j’essaie d’appliquer avec Rodez.
Quel bilan faites-vous de votre première saison avec Rodez ?
Il est positif parce qu’on a pu se maintenir. Sur le plan personnel, j’ai pu rejouer après un an et demi de trêve. J’ai repris goût à la compétition. Durant les quatre mois que j’ai pu passer dans ce club, j’ai disputé au total 14 matches en quatre mois. C’est plus qu’en un an et demi au Cercles de Bruges. Pour l’instant, je suis bien dans ce club, je suis satisfait surtout après ce qui s’est passé en Belgique. Mentalement et physiquement, tout va bien.
Quelles sont les qualités que les dirigeants de ce club ont décelées en vous ?
Grâce à ma taille (ndlr : 1,97m), je ne me débrouille pas mal dans les duels aériens. Je dois cependant améliorer mon jeu de tête offensif. Au niveau technique, malgré ma taille, je suis également à l’aise. J’ai débuté en tant qu’attaquant quand j’étais jeune donc, j’ai gardé certaines aptitudes. A part cela, en tant que défenseur, je suis agressif. Il me faut avoir de l’expérience en disputant plus de match. J’aimerais bien apporter plus à l’équipe sur les coups de pied arrêtés. Naturellement, je suis un leader sur le terrain.
Quelles sont vos ambitions dans l’immédiat ?
Franchement, je n’ai pas de limites ; mais, je prends mon temps pour progresser car je ne suis pas pressé. Je travaille pour aller le plus haut possible. Je rêve de jouer une Champions league, la Coupe du monde, la Coupe d’Afrique avec la Côte d’Ivoire. Ce sont des objectifs que j’entends tout mettre en œuvre pour atteindre.
Avez-vous des contacts avec la sélection ivoirienne ?
Pas de contact mais je suis la sélection nationale en tant qu’Ivoirien. Quand je regarde un match de la Côte d’Ivoire, mon cœur bat comme chez tous les Ivoiriens. C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai suivi certains échecs de l’équipe. Notamment la finale perdue de la Can 2012, face à la Zambie ou encore l’élimination en Coupe du monde 2014, contre la Grèce. Je suis vraiment prêt à me battre pour défendre les couleurs de l’équipe nationale.
Votre gabarit constitue-t-il un avantage ?
C’est un avantage. En Afrique, le jeu est plus physique qu’en Europe. Après tout, c’est au coach qu’il revient de choisir son plan de jeu et les éléments qui vont avec. Si je dois être appelé en sélection, je mettrai mes qualités au service du collectif.