Mes vérités : Développer de nouveaux réflexes
La semaine qui s’achève a encore été marquée par le débat sur le péage de l’autoroute de Grand-Bassam située sur le corridor Abidjan-Lagos. Pour nous, c’est l’un des plus faux débats jamais mené sur la Toile. Que le prix du péage soit à 1 000F Cfa ou à 1 000 000, quel est le problème ? Il n’est pas obligatoire. Il existe l’ancienne route pour tous ceux qui ne veulent pas l’emprunter.
Pour nous qui sommes les habitués de la route de Grand-Bassam, avant même qu’il n’y ait le péage, nous utilisions l’ancienne voie quand nous allions au centre-ville de la première capitale de la Côte d’Ivoire et l’autoroute quand nous décidions d’aller à Bonoua ou à Aboisso. C’est plus rapide. Ceux donc qui poussent des cris d’orfraie parce que le prix du péage est à 1 000 F Cfa doivent arrêter ce piteux rôle de personne de mauvaise foi parce que le gouvernement n’oblige aucunement un citoyen à emprunter l’autoroute.
Le choix est offert. Le problème se poserait si les autorités décidaient de fermer l’ancienne voie. Mais ce n’est pas le cas. Est-ce qu’après l’ouverture du troisième pont Cocody-Marcory, l’on a fermé les ponts Félix Houphouët-Boigny et général De Gaulle ? Ceux qui ont juré de ne pas passer sur le pont HKB ne font-ils pas le long détour pour aller chez eux à Cocody lorsqu’ils sont à Marcory ou à Grand-Bassam ?
Nous demandons donc aux Ivoiriens passés maîtres dans l’art de la manipulation de développer de nouveaux réflexes et de présenter les faits tels qu’ils sont, et non de donner à la grande masse les films qu’ils se font dans leur tête. Leur attitude de bonimenteur a ouvert la voie à la hausse des titres de transport pour rallier Abidjan et Bonoua.
Des transporteurs véreux sont passés à 700 F Cfa au lieu de 600. Arrêtons de toujours jeter de l’huile sur le feu et de vouloir saborder la reconstruction en cours de la Côte d’Ivoire. Le projet de réhabilitation générale du pays entrepris depuis 2011, par le Chef de l’État, bénéficiera à tous sans exception.
La pluie de mercredi à jeudi a encore fait des morts. C’est vraiment dommage qu’à chaque saison des pluies, on déplore des pertes en vies humaines. Dans les débats, il y a des gens qui ont rejeté la faute sur le gouvernement. Nous les comprenons parce qu’il y a encore des travaux à faire. Mais nous ne sommes pas d’accord avec eux parce que les premières personnes à appeler les inondations, ce sont bien les populations. Ils sont nombreux, ceux qui jettent les sachets plastiques ici et là.
La nuit, le marché d’Adjamé est plein de sachets plastiques. Une fois drainés par les eaux de pluie, ces sachets, à coup sûr, se retrouveront quelque part à une intercession et boucheront les voies de circulation de l’eau. Or l’eau trouvant toujours un chemin, bonjour les inondations, les morts et tous les autres dégâts! Le civisme recommande que les populations respectent les prescriptions du gouvernement au cas échéant les y amener.
Mais ici, Il y a souvent beaucoup de laxisme de la part de certains agents dont la mission est de veiller à l’application des lois et autres textes édictés. Il faut user de la chicote pour faire le bonheur des populations. Le bâton, nous l’avons remarqué en nous référant aux cours d’histoire, aide à la compréhension des idées.
Le gouvernement doit travailler à ce que les actes des personnes qui ne sont pas loin d’être des ‘’terroristes’’ ne sapent pas tout ce qui est en train d’être fait. De nombreuses infrastructures sont sorties de terre. D’autres ont été réhabilitées et plusieurs encore seront réalisées, en particulier le pont du canal de Vridi.
Outre ces infrastructures, il y a la bonne santé de l’économie ivoirienne. L’agence Moody’s a attribué, à nouveau, la notation de long terme Ba3 à la Côte d’Ivoire, le 27 juin, tout en rehaussant sa perspective de stable à positive.
L’agence de notation financière explique que cette note long terme est soutenue par la résilience de l’économie, la diversification croissante et les perspectives de croissance saine. A ce niveau, la Côte d’Ivoire se trouve sur une bonne trajectoire. Le pays, malgré les différents chocs mondiaux, se porte bien.
Pour le maintenir dans cette dynamique, il faut développer de nouveaux réflexes, c’est-à-dire travailler, toujours travailler et respecter les textes édictés. En somme, être de bon citoyen. Pax et bonum ! Paix et bien !
Le choix est offert. Le problème se poserait si les autorités décidaient de fermer l’ancienne voie. Mais ce n’est pas le cas. Est-ce qu’après l’ouverture du troisième pont Cocody-Marcory, l’on a fermé les ponts Félix Houphouët-Boigny et général De Gaulle ? Ceux qui ont juré de ne pas passer sur le pont HKB ne font-ils pas le long détour pour aller chez eux à Cocody lorsqu’ils sont à Marcory ou à Grand-Bassam ?
Nous demandons donc aux Ivoiriens passés maîtres dans l’art de la manipulation de développer de nouveaux réflexes et de présenter les faits tels qu’ils sont, et non de donner à la grande masse les films qu’ils se font dans leur tête. Leur attitude de bonimenteur a ouvert la voie à la hausse des titres de transport pour rallier Abidjan et Bonoua.
Des transporteurs véreux sont passés à 700 F Cfa au lieu de 600. Arrêtons de toujours jeter de l’huile sur le feu et de vouloir saborder la reconstruction en cours de la Côte d’Ivoire. Le projet de réhabilitation générale du pays entrepris depuis 2011, par le Chef de l’État, bénéficiera à tous sans exception.
La pluie de mercredi à jeudi a encore fait des morts. C’est vraiment dommage qu’à chaque saison des pluies, on déplore des pertes en vies humaines. Dans les débats, il y a des gens qui ont rejeté la faute sur le gouvernement. Nous les comprenons parce qu’il y a encore des travaux à faire. Mais nous ne sommes pas d’accord avec eux parce que les premières personnes à appeler les inondations, ce sont bien les populations. Ils sont nombreux, ceux qui jettent les sachets plastiques ici et là.
La nuit, le marché d’Adjamé est plein de sachets plastiques. Une fois drainés par les eaux de pluie, ces sachets, à coup sûr, se retrouveront quelque part à une intercession et boucheront les voies de circulation de l’eau. Or l’eau trouvant toujours un chemin, bonjour les inondations, les morts et tous les autres dégâts! Le civisme recommande que les populations respectent les prescriptions du gouvernement au cas échéant les y amener.
Mais ici, Il y a souvent beaucoup de laxisme de la part de certains agents dont la mission est de veiller à l’application des lois et autres textes édictés. Il faut user de la chicote pour faire le bonheur des populations. Le bâton, nous l’avons remarqué en nous référant aux cours d’histoire, aide à la compréhension des idées.
Le gouvernement doit travailler à ce que les actes des personnes qui ne sont pas loin d’être des ‘’terroristes’’ ne sapent pas tout ce qui est en train d’être fait. De nombreuses infrastructures sont sorties de terre. D’autres ont été réhabilitées et plusieurs encore seront réalisées, en particulier le pont du canal de Vridi.
Outre ces infrastructures, il y a la bonne santé de l’économie ivoirienne. L’agence Moody’s a attribué, à nouveau, la notation de long terme Ba3 à la Côte d’Ivoire, le 27 juin, tout en rehaussant sa perspective de stable à positive.
L’agence de notation financière explique que cette note long terme est soutenue par la résilience de l’économie, la diversification croissante et les perspectives de croissance saine. A ce niveau, la Côte d’Ivoire se trouve sur une bonne trajectoire. Le pays, malgré les différents chocs mondiaux, se porte bien.
Pour le maintenir dans cette dynamique, il faut développer de nouveaux réflexes, c’est-à-dire travailler, toujours travailler et respecter les textes édictés. En somme, être de bon citoyen. Pax et bonum ! Paix et bien !