Finance numérique : Des solutions pour une gestion efficace des risques
La Côte d’Ivoire enregistre une forte croissance des transactions financières liées au numérique. Toutefois, cette expansion n’est pas sans risques pour les utilisateurs des services financiers des opérateurs du mobile. Ces risques ont pour noms escroquerie, arnaques etc.
La problématique était au centre d’un atelier organisé conjointement par l’Observatoire de la qualité des services (Oqsf) et l’Agence pour la promotion de l’inclusion financière (Apif), le 7 novembre à Cocody.
La rencontre qui a réuni des acteurs publics et privés avait pour objectifs de permettre aux participants de réfléchir à des pistes de solutions d’une gestion efficace des risques de l’utilisation du numérique par les populations qui y ont de plus en plus recours pour leurs dépôts et retraits d’argent.
Dans son discours devant les participants à cet atelier, Corine Riquet Bamba, de l’Oqsf a noté qu’une enquête menée entre 2022 et 2024 par les services financiers de l’Union économique monétaire ouest-africaine (Uemoa) visait à évaluer le degré des risques auxquels sont exposés les consommateurs.
De cette enquête, l’on retiendra qu’au cours des 12 derniers mois, 31% des utilisateurs du numérique dans les opérations financières ont été confrontés à des interruptions du réseau contre 61% en 2022 quand 6% ont manqué d’informations fiables sur les coûts contre 33% en 2022 et 15%. Sur la même période, 15% des clients interrogés ont affirmé n’avoir pas reçu d’Sms de confirmation de leur transaction contre 30% en 2022.
Elle a souligné que d’énormes efforts restent encore à faire pour bâtir une finance numérique et inclusive, efficace et efficiente afin de protéger les populations. D’où son appel à l’engagement de tous (pouvoirs publics et acteurs du public et du privé) pour mieux gérer les risques.
Le représentant du ministre de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly, Bruno Tano, a exprimé sa gratitude aux organisateurs et initiateurs de cet atelier qui vise à promouvoir l’inclusion financière. « Le système financier ivoirien connait un accroissement rapide surtout pour les paiements digitaux ; ce qui offre des opportunités aux populations d’avoir accès à leur argent sans forcément recourir aux banques classiques », a fait savoir Bruno Tano.
Il a rappelé, à cette occasion, que le gouvernement a créé l’Agence de Promotion de l’inclusion financière de Côte d’Ivoire dont la mission essentielle est de faciliter l’accès des populations ivoiriennes aux services financiers.
La rencontre qui a réuni des acteurs publics et privés avait pour objectifs de permettre aux participants de réfléchir à des pistes de solutions d’une gestion efficace des risques de l’utilisation du numérique par les populations qui y ont de plus en plus recours pour leurs dépôts et retraits d’argent.
Dans son discours devant les participants à cet atelier, Corine Riquet Bamba, de l’Oqsf a noté qu’une enquête menée entre 2022 et 2024 par les services financiers de l’Union économique monétaire ouest-africaine (Uemoa) visait à évaluer le degré des risques auxquels sont exposés les consommateurs.
De cette enquête, l’on retiendra qu’au cours des 12 derniers mois, 31% des utilisateurs du numérique dans les opérations financières ont été confrontés à des interruptions du réseau contre 61% en 2022 quand 6% ont manqué d’informations fiables sur les coûts contre 33% en 2022 et 15%. Sur la même période, 15% des clients interrogés ont affirmé n’avoir pas reçu d’Sms de confirmation de leur transaction contre 30% en 2022.
Elle a souligné que d’énormes efforts restent encore à faire pour bâtir une finance numérique et inclusive, efficace et efficiente afin de protéger les populations. D’où son appel à l’engagement de tous (pouvoirs publics et acteurs du public et du privé) pour mieux gérer les risques.
Le représentant du ministre de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly, Bruno Tano, a exprimé sa gratitude aux organisateurs et initiateurs de cet atelier qui vise à promouvoir l’inclusion financière. « Le système financier ivoirien connait un accroissement rapide surtout pour les paiements digitaux ; ce qui offre des opportunités aux populations d’avoir accès à leur argent sans forcément recourir aux banques classiques », a fait savoir Bruno Tano.
Il a rappelé, à cette occasion, que le gouvernement a créé l’Agence de Promotion de l’inclusion financière de Côte d’Ivoire dont la mission essentielle est de faciliter l’accès des populations ivoiriennes aux services financiers.