Santé : Dr Sarana Amraoui veut redonner la vie aux cardiaques
Pour donner une chance aux personnes atteintes de problèmes rythmo-cardiaques, Dr Sarana Amraoui, spécialiste dans la prise en charge diagnostique et thérapeutique des arythmies cardiaques simples et complexes de l’hôpital américain de Paris, a, au cours d’une conférence animée à la villa Lepic à Cocody, le 12 juillet 2022, donné une nouvelle technique pour mettre fin aux problèmes cardiaques.
Elle a expliqué : « les personnes victimes d’une anomalie du rythme cardiaque ont le rythme cardiaque trop lent. Cette situation nécessite la mise en place d’un Pace-make. Soit les battements de cœur sont trop rapides, on peut dans ce cas, procéder à des techniques d’innovation et de pointe, où l’on rentre dans le cœur en brûlant les cellules pathologiques et on ressort ».
Tout en signalant que cinq patients ont déjà subi l’expérience de cette opération à la Pisam et ont pu ressortir le lendemain, avec un matériel de suivi à distance du rythme cardiaque. Aussi a-t-elle indiqué vouloir partager l’expérience de la nouvelle technique avec les médecins de ce centre hospitalier.
Selon elle, le ratio de personnes malades du cœur qui viennent se faire dépister est de 80% pour les hommes et 20% pour les femmes. Ce qui fait qu’il y a des femmes qui viennent souvent à des stades beaucoup plus avancés.
A sa suite, Dr Antoine Hakimé, radiologue interventionnel, a expliqué la radiologie interventionnelle qui consiste à réinventer la manière d’opérer, avec des interventions sans aucune cicatrice. Cette technique est valable pour résoudre la prostate chez les hommes, les fibromes chez les femmes.
Pour Dr Bernard Ehui, cardiologue et radiologue à la Pisam, cet échange intervient dans le cadre du partenariat entre la structure qu’il représente et des centres hospitaliers de renom tels que l’hôpital américain de Paris.
Tout en signalant que cinq patients ont déjà subi l’expérience de cette opération à la Pisam et ont pu ressortir le lendemain, avec un matériel de suivi à distance du rythme cardiaque. Aussi a-t-elle indiqué vouloir partager l’expérience de la nouvelle technique avec les médecins de ce centre hospitalier.
Selon elle, le ratio de personnes malades du cœur qui viennent se faire dépister est de 80% pour les hommes et 20% pour les femmes. Ce qui fait qu’il y a des femmes qui viennent souvent à des stades beaucoup plus avancés.
A sa suite, Dr Antoine Hakimé, radiologue interventionnel, a expliqué la radiologie interventionnelle qui consiste à réinventer la manière d’opérer, avec des interventions sans aucune cicatrice. Cette technique est valable pour résoudre la prostate chez les hommes, les fibromes chez les femmes.
Pour Dr Bernard Ehui, cardiologue et radiologue à la Pisam, cet échange intervient dans le cadre du partenariat entre la structure qu’il représente et des centres hospitaliers de renom tels que l’hôpital américain de Paris.