
A la fin des échanges, les participants ont fait plusieurs recommandations pour rendre plus performant cet outil. (Ph: Dr)
A la fin des échanges, les participants ont fait plusieurs recommandations pour rendre plus performant cet outil. (Ph: Dr)
Gestion des élèves affectés dans les collèges privés: Un système de contrôle biométrique mis en place
Pour une meilleure gestion des élèves que l’Etat affecte dans les établissements secondaires privés, un système de contrôle biométrique est désormais installé. Cet outil favorisera une rapidité du process mais aussi permettra de payer la juste dette aux fondateurs d'établissements.
Quelques mois après son installation, les acteurs se sont rencontrés pendant trois jours du 13 au 15 juillet 2022, à Grand-Bassam, pour faire une évaluation des acquis en vue de rendre plus performant cet instrument et le déployer sur l’ensemble des collèges privés de Côte d'Ivoire.
« Ce contrôle biométrique ou contrôle en ligne permet de s’assurer de la présence effective des élèves affectés dans les établissements secondaires privés, d’assurer la transparence des subventions de l’Etat ainsi que le paiement de la juste dépense », a indiqué la coordonnatrice du Projet d’amélioration de la gouvernance pour la délivrance des services de base aux citoyens (Pagds), Yao Madeleine. Avant de souligner qu’à ce jour, 1044 collèges subventionnés sont connectés à cette plateforme et la présence de 70% des élèves affectés est assurée en ligne.
Au nom du ministère de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, l’Inspecteur général, Sidibé Hamed Yaya, adjoint à la directrice en charge de l’encadrement des établissements privés, s’est notamment félicité des avantages de l’utilisation de cette plateforme.
A l’en croire, le contrôle des élèves qui débute dès la rentrée c’est-à-dire en septembre se fera en un temps record en vue d’aboutir rapidement aux décisions de paiement des fondateurs. Bien plus, ce système favorisera un assainissement des finances publiques. Car, dit-il, en créant ces dispositions, l’on élimine toutes les possibilités de tricherie. « On fait gagner à l’Etat de l’argent qu’on peut utiliser ailleurs. Je pense que c’est une révolution au niveau de notre secteur », explique-t-il.
Rappelons que l’atelier a été organisé par la Direction de l’encadrement des établissements privés (Deep) pour le compte du ministère de l’Education nationale et de l’Alphabétisation. Il s’inscrit dans le cadre de l’amélioration du système du contrôle biométrique des élèves affectés de l'Etat, qui à ce jour, sont estimés à environ un million.
Il a été recommandé, au terme de cet atelier, que les points focaux dans les établissements encadrent le pointage de l’enfant sous l’autorité du promoteur. Il est aussi exigé qu'un nombre minimum de quarante (40) pointage soit requis pour la validation d’un élève affecté. Et que chaque séquence, l’enfant pointe à l’entrée et à la sortie de l’établissement.
« Ce contrôle biométrique ou contrôle en ligne permet de s’assurer de la présence effective des élèves affectés dans les établissements secondaires privés, d’assurer la transparence des subventions de l’Etat ainsi que le paiement de la juste dépense », a indiqué la coordonnatrice du Projet d’amélioration de la gouvernance pour la délivrance des services de base aux citoyens (Pagds), Yao Madeleine. Avant de souligner qu’à ce jour, 1044 collèges subventionnés sont connectés à cette plateforme et la présence de 70% des élèves affectés est assurée en ligne.
Au nom du ministère de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, l’Inspecteur général, Sidibé Hamed Yaya, adjoint à la directrice en charge de l’encadrement des établissements privés, s’est notamment félicité des avantages de l’utilisation de cette plateforme.
A l’en croire, le contrôle des élèves qui débute dès la rentrée c’est-à-dire en septembre se fera en un temps record en vue d’aboutir rapidement aux décisions de paiement des fondateurs. Bien plus, ce système favorisera un assainissement des finances publiques. Car, dit-il, en créant ces dispositions, l’on élimine toutes les possibilités de tricherie. « On fait gagner à l’Etat de l’argent qu’on peut utiliser ailleurs. Je pense que c’est une révolution au niveau de notre secteur », explique-t-il.
Rappelons que l’atelier a été organisé par la Direction de l’encadrement des établissements privés (Deep) pour le compte du ministère de l’Education nationale et de l’Alphabétisation. Il s’inscrit dans le cadre de l’amélioration du système du contrôle biométrique des élèves affectés de l'Etat, qui à ce jour, sont estimés à environ un million.
Il a été recommandé, au terme de cet atelier, que les points focaux dans les établissements encadrent le pointage de l’enfant sous l’autorité du promoteur. Il est aussi exigé qu'un nombre minimum de quarante (40) pointage soit requis pour la validation d’un élève affecté. Et que chaque séquence, l’enfant pointe à l’entrée et à la sortie de l’établissement.