Autonomisation : Une centaine de femmes d’Azaguié bénéficient d'une formation sur l'entrepreneuriat
Une centaine de femmes réunies en vingt Associations, issues de la commune d’Azaguié, ont pris d’assaut la salle polyvalente de la mairie, le mercredi 21 novembre 2024. Elles y ont pris part à une séance de formation sur l’entrepreneuriat. C’était à l’occasion de la dernière session de rencontres mensuelles initiées par la Fondation Awi (African Women Initiatives).
L’experte en genre, Georgette Zamblé, a mis cette occasion profit pour inculquer aux femmes quelques techniques entrepreneuriales de sortes qu’elles sortent de la mendicité et elles puissent se propulser vers l’autonomisation. « Il ne faut pas s’attendre à ce qu’on vienne toujours vous distribuer de l’argent et des kits. Ce que nous voulons, c’est que vous deveniez des femmes prospères », a-t-elle souligné.
Une autre experte sur les questions de genre, Julienne Eké, a, quant à elle, insisté non seulement sur le changement de mentalité et mais aussi les a exhortées les participantes à une meilleure gestion de leurs activités et de leur association. Dans la même optique, N’Dri Florence, cheffe de zone à l’Agence nationale de développement rural (Anader) a pour sa part relevé le problème de la légalisation des associations. Pour parvenir à cette autonomisation qu’elles appellent de tous leurs vœux, il faut que leur Association soit formalisée. Car selon elle, c’est « un élément primordial ».
Situant le bien-fondé de cette initiative dans la ville d’Azaguié au profit des femmes, la Pca de la Fondation Awi, Mariam Fadiga Fofana, s’est voulue claire : « L’activité s’inscrit dans la droite ligne des missions de la Fondation AWI à savoir se rapprocher de sa cible dont la majorité vit en zone rurale et péri-urbaine en vue de les écouter, de recueillir leurs préoccupations, et y apporter des solutions à travers nos différents projets et programmes », a-t-elle indiqué.
A la fin de la formation, deux d’entre elles ont été honorée par la Fondation. Il s’agit de Mme Ohouo Salomé épse Douapo, agricultrice et couturière qui est élue « Queen Cêwa » du mois de Novembre. La seconde à avoir été honorée est Mme Ako Germaine, créatrice de perles et épouse du chef d’Azaguié Ahi.
Assandé Madeleine, présidente des femmes du district d’Agboville, a tenu à exprimer sa satisfaction mais surtout sa reconnaissance aux organisateurs de cette formation, au nom de l’ensemble de femmes bénéficiaires.
Une autre experte sur les questions de genre, Julienne Eké, a, quant à elle, insisté non seulement sur le changement de mentalité et mais aussi les a exhortées les participantes à une meilleure gestion de leurs activités et de leur association. Dans la même optique, N’Dri Florence, cheffe de zone à l’Agence nationale de développement rural (Anader) a pour sa part relevé le problème de la légalisation des associations. Pour parvenir à cette autonomisation qu’elles appellent de tous leurs vœux, il faut que leur Association soit formalisée. Car selon elle, c’est « un élément primordial ».
Situant le bien-fondé de cette initiative dans la ville d’Azaguié au profit des femmes, la Pca de la Fondation Awi, Mariam Fadiga Fofana, s’est voulue claire : « L’activité s’inscrit dans la droite ligne des missions de la Fondation AWI à savoir se rapprocher de sa cible dont la majorité vit en zone rurale et péri-urbaine en vue de les écouter, de recueillir leurs préoccupations, et y apporter des solutions à travers nos différents projets et programmes », a-t-elle indiqué.
A la fin de la formation, deux d’entre elles ont été honorée par la Fondation. Il s’agit de Mme Ohouo Salomé épse Douapo, agricultrice et couturière qui est élue « Queen Cêwa » du mois de Novembre. La seconde à avoir été honorée est Mme Ako Germaine, créatrice de perles et épouse du chef d’Azaguié Ahi.
Assandé Madeleine, présidente des femmes du district d’Agboville, a tenu à exprimer sa satisfaction mais surtout sa reconnaissance aux organisateurs de cette formation, au nom de l’ensemble de femmes bénéficiaires.