Salon de la Musique d’Abidjan : La 2e édition prévue du 02 au 06 novembre 2022
Après une première édition réussie, le Salon de la musique d’Abidjan (Sama) initié par la Fondation Kultur'Fman a annoncé la couleur de la prochaine édition. Du 2 au 6 novembre 2022, se tiendra la 2e édition, a fait savoir le commissaire général, Guy Pacôme Somian, le vendredi 29 juillet 2022, à l’hôtel Palm-Club.
Plateforme de rencontre, d’échange entre les professionnels et aspirants au métier de la filière musique, le Sama a pour objectif de participer à la vie culturelle en Côte d'Ivoire.
Cette année, le facteur d’inclusion économique et sociale ira vers les populations, les collectivités, les établissements...à travers son concept Sama Academy tour. Il sera marqué de formation de beaucoup de journée et de performances artistiques à travers des scènes émergentes. « Les professionnels montreront le fonctionnement de l’industrie musicale aux artistes en développement », a précisé le commissaire général.
Pour lui, il est important pour les débutants d’avoir quelques éléments de formation et d’informations sur l’industrie musicale. Poursuivant, il a énuméré le Sama digital business pour maîtriser tout le business qu’il y a autour de cette industrie. Des éléments qui permettront aux acteurs de cette industrie de se professionnaliser pour le développement du business de la musique en Côte d’Ivoire et en Afrique.
En marge du lancement dudit événement, les organisateurs ont tenu un panel autour du thème de cette nouvelle édition qui est : « Organisation de l’industrie musicale, quels enjeux pour les acteurs. »
Mme Koné Angama Malouna, directrice de la promotion des arts et de la culture au ministère de la Culture et de la Francophonie, a reconnu que la Côte d’Ivoire est certes un peu en retard sur les autres pays, mais des efforts sont en train d’être fait pour qu’elle ait une industrie musicale forte.
« La Côte d’Ivoire a toujours été la plaque tournante de la musique en Afrique et pour qu’elle soit forte, c’est une question d’organisation interne », a-t-elle révélé. Pour terminer, cet administrateur culturel a rassuré quant à la mise en application de certains textes existant en Côte d’Ivoire qui se fera bien sûr avec les acteurs concernés.
Tout en reconnaissant les efforts fournis, Delor Inabo, opérateur culturel a quant à lui insisté qu’il n’y a pas d’industrie musicale dans ce pays. Ce, faute d’inexistence de certaines entités. « Une industrie culturelle, ce sont des textes de loi...c'est une politique d'assurance », a-t-il laissé entendre.
Cette année, le facteur d’inclusion économique et sociale ira vers les populations, les collectivités, les établissements...à travers son concept Sama Academy tour. Il sera marqué de formation de beaucoup de journée et de performances artistiques à travers des scènes émergentes. « Les professionnels montreront le fonctionnement de l’industrie musicale aux artistes en développement », a précisé le commissaire général.
Pour lui, il est important pour les débutants d’avoir quelques éléments de formation et d’informations sur l’industrie musicale. Poursuivant, il a énuméré le Sama digital business pour maîtriser tout le business qu’il y a autour de cette industrie. Des éléments qui permettront aux acteurs de cette industrie de se professionnaliser pour le développement du business de la musique en Côte d’Ivoire et en Afrique.
En marge du lancement dudit événement, les organisateurs ont tenu un panel autour du thème de cette nouvelle édition qui est : « Organisation de l’industrie musicale, quels enjeux pour les acteurs. »
Mme Koné Angama Malouna, directrice de la promotion des arts et de la culture au ministère de la Culture et de la Francophonie, a reconnu que la Côte d’Ivoire est certes un peu en retard sur les autres pays, mais des efforts sont en train d’être fait pour qu’elle ait une industrie musicale forte.
« La Côte d’Ivoire a toujours été la plaque tournante de la musique en Afrique et pour qu’elle soit forte, c’est une question d’organisation interne », a-t-elle révélé. Pour terminer, cet administrateur culturel a rassuré quant à la mise en application de certains textes existant en Côte d’Ivoire qui se fera bien sûr avec les acteurs concernés.
Tout en reconnaissant les efforts fournis, Delor Inabo, opérateur culturel a quant à lui insisté qu’il n’y a pas d’industrie musicale dans ce pays. Ce, faute d’inexistence de certaines entités. « Une industrie culturelle, ce sont des textes de loi...c'est une politique d'assurance », a-t-il laissé entendre.